L'idée collection du weekend.

Parce qu'on ne peut pas éternellement collectionner des timbres et empiler des boites de camembert, "Soyons-Suave weekend" vous suggère de temps à autre de suaves idées à collectionner, de quoi occuper votre temps libre et épater vos amis tout en restant suave. 

Vous n'êtes pas sans savoir, suaves visiteurs, qu'en matière de collection, nous vous suggérons régulièrement de vous tenir aussi éloignés que possible des animaux qui, même mignons, se révèlent la plupart du temps assez décevants dès qu'ils s'exposent en surnombre. 

Nous vous avons ainsi déconseillés la chouette et l'éléphant, la grenouille, évidemment, au profit, par exemple, du caniche rose ou du flamand rose, ce qui semblerait prouver que nous aimons le rose alors que n'étant pas sectaires, nous ne l'aimons pas plus que l'indigo ou le taupe. 

Puisqu'il n'est pas à proprement parlé un animal, et puisque, surtout, il n'est pas prouvé qu'il existe réellement, il nous semble que l'amoureux des poils que vous êtes peut-être saura se satisfaire d'une collection de Bigfoot, ce timide hominidé supposé vivre dans les riantes forêts du nord ouest américain. 

Attention cependant : le BigFoot n'est pas le Yéti et les confondre serait une grave erreur.  Le méprendre avec l'Almasty serait encore plus regrettable. La suavitude passe aussi par la connaissance des créatures non encore identifiées. Les voici dans l'ordre, prouvant qu'ils n'ont rien à voir : BigFoot, Yéti et Almasty :

Pour en revenir au BigFoot, il nous semble que trois pièces pourraient séduire n'importe qui et formeraient agréablement un début de collection à compléter bien sûr, si les grandes choses velues vous attirent. Et nous ne parlons pas de Tata Suzanne. 

Il s'agit de la décoration de Noël, du BigFoot qui luit la nuit et bien sûr de la version bionic que dut combattre Steve Austin lors d'un affrontement resté dans toutes les mémoires : 

Mais vous découvrirez rapidement que l'univers du BigFoot est foisonnant et d'une richesse insoupçonnée. C'est du moins ce que nous nous sommes dits en ouvrant à Noël dernier nos petits paquets. 

Oh non, vraiment, c'est presque trop mignon pour être vrai.