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vendredi 1 mars 2013

Et maintenant chantons !



Mélanger un titre des Scissor Sisters et un oublié de "Promises Promises", l'unique tentative à Broadway de Burt Bachararch ? Pas de problème...

mercredi 27 février 2013

Et maintenant chantons !



Qu'on se rassure, la saison 4 est toujours sous la protection de Sainte Barbra...

lundi 25 février 2013

Et maintenant chantons.



Début de la semaine "Glee" saison 4 sur Soyons-Suave. C'est frais, c'est printanier avant l'heure et c'est rassurant de vérifier que Sarah Jessica Parker ne ressemble pas encore complètement à sa couverture de l'édition chinoise de Harper's Bazaar du mois de mars...

vendredi 22 février 2013

Et maintenant chantons !



Et voilà. On laisse Glee pendant quelques mois et c'est le drame. Notons tout de même que la peine est plus supportable chantée au milieu de quarterbacks. A vous de trouver, en cas de rupture, une équipe de football américain. 

vendredi 24 août 2012

Et maintenant dansons !


Juste quand nous pensions que Glee ne pouvait plus nous surprendre... Soyons Drag, c'est définitivement la solution. Go girl !

samedi 28 avril 2012

L'idée collection du weekend.

Parce qu'on ne peut pas éternellement décoller des timbres et empiler des boites de camembert, Soyons-Suave vous suggère de temps à autre de nouvelles idées à collectionner, de quoi occuper votre temps libre et éblouir vos amis, tout en restant suave.


Crée en 1948, au départ uniquement pour New-York puis s'adressant, à partir de 1953, à l'ensemble des Etats-Unis, le magazine TV Guide est le télé 7 jours américain, un magazine, comme il est facile de le deviner, consacré uniquement aux programmes du petit écran.

S'il est aujourd'hui une institution (son nom est par ailleurs devenu un terme générique désignant tous les magazines similaires), il ne viendrait à l'idée que de quelques uns de le collectionner : un programme tv se consulte puis se jette, en respectant le tri sélectif, cela va sans dire, ou se conserve pour caler des cartons lors d'un déménagement ou servir de support protecteur lors de travaux de peinture.



Dès sa première parution, reconnaissons tout de même que TV Guide fit des efforts quant au choix de sa couverture. Il fut le premier magazine à publier une photo, un peu inquiétante, du fils de Lucille Ball. Dans les années 90, sa une dévoilant le pire montage photoshop jamais réalisé et surtout sans l'accord des intéressées : la tête d'Oprah Winfrey sur le corps d'Ann-Margret, devint un article hautement recherché.

Et ce sont précisément ces unes que l'idée collection du weekend vous propose d'envisager, mais pas celle du magazine en lui-même mais des tirages réalisés en éditions très limitées en vue de devenir la première page.



En raison de sa fréquence de parution hebdomadaire, TV Guide se devait d'anticiper et dès la fin des années 50, prit l'habitude de faire réaliser ses unes à la chaîne, de très jolis et fort soignés portraits dont un exemplaire sur papier de qualité était envoyé aux antennes locales du magazine.

Puisqu'il n'en existait qu'une cinquantaine en 1960 et que, légitimement, un exemplaire était destiné à la célébrité photographiée, un autre aux archives, sans doute une dizaine à des clients et une autre dizaine aux sponsors, on estime que chacune de ces photos ne fut tirée, au maximum, qu'à une centaine d'exemplaires, uniquement à l'attention de professionnels.

Vous voyez à présent où nous voulons en venir : rares, extrêmement suaves et surtout terriblement originaux, ces tirages spéciaux sont non seulement devenus une sorte de Graal pour les fans des vedettes concernées, mais des pièces à collectionner tout court. Et une fois encore, c'est le nombre d'exemplaires possédés qui va faire toute la différence.








La vie étant cruelle, sachez que toutes les photos ne se valent pas et qu'il vous faudra débourser plus de 500 dollars pour vous offrir cet instant de joie partagée entre Lucille Ball et le couple Taylor-Burton, alors que Dinah Shore, pourtant accompagnée d'un caniche, s'échangera à moins de 50...

Subissant les effets de la mode pour l'illustration et afin, sans doute, de réduire un peu les coûts de fonctionnement, TV Guide abandonnera ces tirages dans les années 70 tout en confiant ses unes à des dessinateurs de renoms, qui peuvent alors devenir une idée collection dans l'idée collection.



Mais tel le saumon, on revient toujours aux origines et depuis les années 2000, TV Guide a su se souvenir qu'une jolie photo, sur un beau papier, était un avantage certain sur la concurrence.




Il n'est pas facile aujourd'hui d'être un magazine de programmes généraliste, Internet et la multiplication des chaînes du câble et du satellite rendant l'exhaustivité compliquée. La solution pour séduire le lecteur reste le papier glacé et la surenchère. Et c'est incroyable le monde que l'on peut entasser sur une si petite couverture...

lundi 19 mars 2012

Et maintenant dansons !


Soudain une évidence nous saute au visage : Glee ne serait-elle pas une série un peu suave sur les bords ? Ce qui est, évidemment, une question rhétorique...

dimanche 10 juillet 2011

Entre nous... et Glee... et la Fox.


Figurez-vous, suaves visiteurs, et nous n'en sommes pas peu fiers, que nous avons reçu il y a peu un message électronique de la Fox ! Vous lisez bien, de la chaîne de télévision elle-même, lointaine descendante de la Twentieth Century Fox, ancien studio de Marilyn ou Gene Tierney. Nous étions en joie !

La lecture de cet email surprise s'est avérée assez décevante puisqu'il y était finalement question, non pas d'une proposition d'adaptation de Soyons-Suave en feuilleton ou magazine quotidien à une heure de grande écoute comme nous pouvions légitimement l'imaginer, mais de violations de droits, de non respect du copyright et de l'annonce de la suppression pure et simple de notre compilation "Soyons suaves à plusieurs voix" consacrée à Glee, série produite par la Fox.

La reconnaissance internationale n'est donc pas encore pour aujourd'hui, quant à la dite-compilation, le fichier a bel et bien été effacé. Mais ne soyons pas amers, dans toute situation il y a forcément une leçon positive à tirer et ce que nous retiendrons de tout cela est que, lorsque les gens de la Fox disent quelque chose, ils le font. Il sera peut-être utile un jour de s'en souvenir.

Anyway, nous voilà donc à présent avec une place vacante dans nos fichiers et l'été étant là, pourquoi ne pas la combler, non pas avec un mais deux nouveaux liens qui dureront le temps qu'ils dureront. "Whipped cream and other delights" étant à l'honneur aujourd'hui, pourquoi ne pas en reprendre une coupe. Voici donc l'original de Herb Alpert and TJB et l'album hommage remixé paru en 2006 par une foule de DJs fort célèbres que nous ne connaissons pas du tout. Mais c'est amusant.


Aussi pour la Crème fouettée c'est ici :



Et pour la crème fouettée refouettée c'est juste là !

mercredi 29 juin 2011

La question suave du jour : comment reconnaître un bon mashup musical ?


Si nous avons déjà évoqué ici-même le mashup qui redonne vie à vos vieilles pochettes de vinyls, peut-être est-il temps de se pencher sur celui qui est en train de se répandre à la vitesse de l'éclair : le mashup musical.

Le principe en est une fois encore fort simple : faire un mashup musical consiste à combiner deux morceaux distincts et souvent n'ayant rien à voir afin d'en former un troisième. C'est finalement très proche de la récupération et nos amis cuisiniers peuvent bien ricaner : ils n'ont pas attendu que le phénomène devienne hip pour réunir un reste de gratin dauphinois et quelques tranches de viande pour en faire un Hachis Parmentier.


On peut aisément imaginer que le mashup musical existe depuis toujours et quelques spécialistes noteront sans doute que les jazzmen depuis longtemps ont pris l'habitude de mêler différents thèmes au cours de leurs improvisations, leurs "boeufs", nous restons en cuisine. Lorsque Ella Fitzgerald interrompt "How High the moon" pour y glisser quelques phrases de "Smoke gets in your eyes", est-ce un mashup ? Lorsque Judy Garland chante "Get happy" aux côtés de Barbra Streisand lancée dans "Happy days are here again", mashup-t-elles sans le savoir ?

Une chose est certaine : "Disco project" du groupe italien Pink project, entremêlant Pink Floyd et Alan Parson Project en 1982 est le premier mashup commercial de l'histoire et l'album des "2 many DJ's" le premier mashup longue durée de la même histoire contemporaine.


Comme nous l'évoquions en introduction, pour que mashup réussi il y ait, il est absolument nécessaire que les deux morceaux choisis en forment un troisième, sinon cela s'appelle un medley ou pot-pourri... nous revenons toujours en cuisine. TheMashupRadio.com ou mashup-charts.com vous fourniront tous les exemples nécessaires de ce qu'il faut et ne faut pas faire. Et nous tenons à vous prévenir : un mashup loupé est absolument épouvantable puisqu'il a l'occasion par deux fois de vous casser les oreilles.

Depuis sa création, la série Glee, qui avouons-le, ratisse suffisamment large pour dominer le monde, a régulièrement témoigné d'un talent certain pour les associations auxquelles on ne s'attendait pas. Cependant, mélanger "Umbrella" de Rihanna et "Singin' in the rain" se tenait par sa thématique commune et pluvieuse, "Unpretty" des TLC et "I feel pretty" de West Side Story possédaient au moins 6 lettres communes. Dans le dernier épisode, la chorale préférée de la planète réunie ceci :



avec ceci : extrait court mais les droits sont bloqués...



Cela donne ceci, qui pourrait être le nouvel hymne de la Grosse Pomme.



Madonna et Bernstein ? Un mashup musical est finalement réussi lorsque vous avez terriblement envie de le télécharger. Dans votre cas c'est sans doute déjà fait : il figure sur la compilation Glee disponible sur nos pages.

mercredi 15 juin 2011

Entre nous... et Glee.


Le fait d'avoir récupéré nos ordinateurs, rendu sa place à Vlad et retrouvé nos archives est un bonheur de chaque instant que nous avons quelques difficultés à ne pas partager avec vous. Il serait sans doute absurde, parce que pendant 10 jours nous nous sommes sentis orphelins, de soudainement vous bombarder de suaves compilations ou albums rares et précieux à télécharger mais c'est tout de même tentant. Contentons-nous de choisir le bon moment.

Or il se trouve que lundi dernier nous évoquions en solution au Quizz de la semaine passée Jane Lynch, qui joue comme chacun le sait à présent dans la série "Glee" et que nous nous sommes assez peu vantés d'être devenu très rapidement dépendant de cette chorale calamiteuse dont le répertoire est si étrangement suave que cela devient même une blague dans la série. Une drag-queen n'aurait pas choisi meilleurs morceaux.


Voici donc notre sélection très personnelle et donc forcément arbitraire des deux saisons écoulées. Vous y retrouverez un peu de Broadway, quelques Beatles, des airs à la mode, des invités, un Burt Bacharach et les Warblers, la chorale concurrente qui fait tout le charme de la deuxième saison. Il n'est pas impossible que vous soyez éventuellement agacés, il n'est pas impossible non plus que vous ayez parfois l'oeil humide. C'es beau, c'est Glee.

1. Funny Girl - Idina Menzel
2. Blackbird - Glee
3. Physical - Glee Olivia Newton John
4. Safety Dance - Glee
5. Telephone - Glee
6. Poker Face - Glee Idina Menzel
7. Thriller/Heads will roll - Glee
8. Take me or leave me - Glee
9. One less bell to answer/A house is not a home - Glee Kristin Chenoweth
10. Forget you - Glee Gwyneth Paltrow
11. Valerie - Glee
12. I feel pretty/unpretty - Glee
13. River deep mountain high - Glee
14. Toxic - Glee
15. Silly love songs - The Warblers
16. Tell me something good - Glee
17. Ain't no way - Glee
18. Defying gravity - Glee
19. I love NY/ New York New York - Glee
20. Somewhere only we know - The Warblers

Les harmonies tant attendues ne sont plus qu'à un clic : c'est juste en dessous. Mais vous aviez compris.


lundi 25 avril 2011

La fin du Quizz de Sophie.


Il n'est pas rare que de belles rencontres se produisent sur Soyons-Suave. Certains suaves visiteurs ont ainsi découvert, par nos liens, des blogs dont ils ne pourraient désormais se passer, il y a quelques mois, notre Maharanée, Claire, débutait un beau roman d'amitié avec le baron Charlus, nous-mêmes faisons, chaque jour, la connaissance virtuelle de très suaves admirateurs. Lundi dernier, Jérôme a rencontré un buste ami.

Et s'il voit cette semaine son nom en noir sur gris sur Soyons-Suave et reçoit toutes nos félicitations les plus enthousiastes, c'est que ce buste était bien celui de Robert Conrad dans "Les mystères de l'Ouest", torse iconique s'il en est, à l'origine de nombreuses révélations et prises de conscience, un catalyseur dont ne peuvent se souvenir qu'avec émotion, tous les spectateurs qui suivirent, lors de sa première diffusion ou lors des innombrables programmations, "the Wild Wild West" !


Débutant sa carrière comme chanteur, Robert Conrad rencontrera le succès dans la série "Hawaiian eye", avant d'exploser littéralement dans "Les mystère de l'Ouest" et d'effectuer un assez beau retour dans "Les têtes brûlées" à la fin des années 70. Ayant donc tenu le premier rôle dans des séries se déroulant respectivement à Hawaï, dans le grand ouest américain et sur une île du Pacifique, il est logique qu'il soit, de loin, l'un des acteurs ayant le plus joué sans chemise, ce qu'un corps particulièrement entretenu bien que petit, rendit des plus agréables pour le téléspectateur moyen et encore plus agréable pour le téléspectateur suave.

Mais quelques aient été ses tentatives afin de rester sous le feu des projecteurs (mini-série, reality-show, accident de la route saoul), Robert Conrad est indissociable de son rôle de James West et ce pour de nombreuses raisons. Le remake de 1999 avec Will Smith (???) a rendu évident le fait que Conrad était l'homme de la situation : un peu raide et d'apparence sans humour, volontaire à la limite de la naïveté, une personnalité sans énormément de relief que contrebalançait parfaitement le flamboyant d'Artemus Gordon et dont on ne moquait dès qu'il se trouvait torse nu et attaché.

Regarder adulte ces Mystères de l'Ouest" qui vous troublaient enfant est une expérience assez enrichissante : tant de vêtements moulants, de scènes de bondage, de chaps en peau et d'empoignades viriles, "Wild wil west" est la série SM qui s'ignore.





Dans ces années 60 attendant la révolution sexuelle, il était sans doute rafraîchissant et terriblement excitant de pouvoir observer un peu de chair dénudée et volontiers velue, ce que confirme un survol des séries les plus populaires de la télévision US : "Surfside" dans laquelle Troy Donahue, Van Williams et Lee Patterson menaient en maillot à Miami un charmant ménage à trois, "Star Trek" dans laquelle le capitaine Kirk devait parfois tomber la combinaison intergalactique, "Cheyenne" dans laquelle il aurait été malvenu de ne pas profiter de la puissance physique de Clint Walker et l’inénarrable "Flipper", sorte de triple plaisir, pour les admirateurs de Brian Kelly le papa, pour les amateurs sous castration chimique de Luke Halpin l'adolescent toujours en petit short et enfin pour ceux du dauphin étrangement collant. Saluons au passage nos amis zoophiles.





Que les producteurs aient joué en toute connaissance de cause sur les sous-entendus et les vices éventuels d'une partie du public semble une évidence : il y a trop de chaînes dans "Wild Wild West" et trop de plans qui traînent sur le corps imberbe du meilleur ami de Flipper pour que cela soit innocent.

Les choses ont évidemment changé et il est heureux qu'en 2011, on ne nous prenne plus totalement pour des idiots, en jouant à demi-mot avec des codes qu'on refuserait d'assumer. Si nous prenons par exemple, la série tv la plus populaire à la surface du globe aujourd'hui, c'est à dire "Glee", les choses sont franches, dites, claires, comme le montrent ces photos promotionnelles de 4 des acteurs principaux :






Sous texte gay ? Pas le moindre. Ambiguïté ? Que nenni ! On regarde "Glee" pour la qualité des scripts et le talent des comédiens, certainement pas parce qu'on espère qu'ils tombent la chemise au détour d'une chanson...

Suave ? Oui, très suave !