Affichage des articles dont le libellé est Jake Gyllenhaal. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Jake Gyllenhaal. Afficher tous les articles

lundi 11 mars 2019

La fin du Quizz de Bruno















Nous réfléchirons plus tard à l'étrange phénomène qui vous fait crier "Javier Bardem" ou "Sergi Lopez" dès lors qu'un peu de poils fait son apparition en couleur sur nos pages, ce qui pourrait presque passer pour de la ségrégation inversée : seul un acteur hispanique pourrait donc être velu et aimer ça... 

Merci Christophe D. de ramener tout le monde dans le droit chemin et voyez comme votre nom a fière allure en noir sur gris cette semaine sur nos pages : notre inconnu était bien Jake Gyllenhaal dans l'énigmatique "Velvet Buzzsaw" de Dan Gilroy. Christophe, bravo, vous gagnez un an de produit Veet et un stock conséquent de petites spatules d'application. Vous êtes fort, vous serez désormais fort et doux. Le bonheur. 



































Au cas où vous l'ignoriez, "Velvet Buzzsaw" est la nouvelle petite chose rigolote "qu'on ne peut voir qu'en exclusivité sur Netflix mais dont tout le monde parle", le nouveau "Bird Box" si vous voulez, sans Sandra Bullock avec foulard sur les yeux mais avec Jake Gyllenhaal nu et bisexuel, ce qui fait qu'on ne perd pas au change et c'est chouette. 

Jake n'est d'ailleurs pas le seul à venir illuminer le générique de ce film d'horreur sur fond de satire du monde de l'art contemporain : René Russo, Toni Colette, John Malkovich pour ne citer qu'eux, tous en grande forme et destinés à périr dans d'atroces souffrances sauf un. Nous sommes suaves, nous ne spoilons toujours qu'à moitié. 



















Casting et interprétations impeccables, gros budget décors, accessoires et compléments capillaires, il est tout de même déroutant de voir une telle débauche pour un film destiné à être diffusé sur une chaîne payante et qui n'est finalement qu'un épisode arty des "Contes de la crypte" dont le sujet est le suivant : 

"un petit groupe de galeristes, artistes et critiques d'art se passionne pour les toiles d'un peintre inconnu et décédé, découvertes par hasard mais qui, habitées par l'âme torturée de leur créateur, se mettent à tuer tout ceux qui tente d'en tirer profit." 

Reconnaissons l'aspect résolument neuf du thème du tableau possédé et embrassons Oscar Wilde en passant. 
















En tout cas, des toiles, il y en a dans "Velvet Buzzsaw" et l'équipe déco a du passer de formidables soirées à peindre les centaines de toiles sinistres représentant principalement des enfants terrifiants et qui rendent tout le monde hystérique, allez comprendre. 

Et tout en écrivant cela, nous nous devons de nous rappeler à nous-même que l'art est hautement subjectif et qu'il nous est arrivé plus d'une fois de vous proposer ce que nous annoncions comme des chefs d’œuvre et qui pouvaient vous laisser totalement de marbre. 

Comme à l'enfant qui repousse son assiette de brocolis, répétons qu'on ne dit pas "C'est nul" mais "Je n'aime pas". Et soudain le monde est plus suave. 




lundi 22 janvier 2018

La fin du Quizz de Lady Cancan



































Souvenons-nous, c'était il y a des semaines, c'est bien simple, c'était en 2017, Bruno pourfendait le dernier Quizz de l'année qui tendait à laisser tout le monde de marbre en s'écriant que ce postérieur, malgré tout dans l'esprit de Noël, appartenait à Jake Gyllenhaal dans "Jarhead". 

Et comme c'était bien cela, Bruno devenait le dernier gagnant d'avant l'arrivée de 2018, ce qui est formidable puisque Bruno fut pratiquement le gagnant du premier Quizz sur nos pages, pratiquement avec beaucoup de guillements mais c'est du moins l'impression que nous avons puisque Bruno a finalement toujours été là. Donc bravo, brava, bises et félicitations. C'est beau, la constance et la fidélité. 























Si nous n'avons pas grand chose à dire sur "Jarhead", réalisé par Sam Mendes et sorti en 2005, c'est peut-être parce que nous ne l'avons pas vu et qu'à ce jour, il ne semble pas que notre existence en ait beaucoup souffert. 

Jusqu'à peu, nous n'avions pas grand chose à dire non plus sur Jake Gyllenhaal, si ce n'est que nous pouvons écrire son nom sans jeter un oeil sur Wikipedia et cela, malgré le film sur "les cowboys qui s'enculent", comme résuma un jour Amanda Lear en parlant de "Brokeback Mountain", Amanda alors dans une courte période de critique cinématographique avisée. 

Et puis nous sommes tombés sur cela : 


































Surprise s'il en est. Pour nous, Jake Gyllenhaal (nous venons de réécrire son nom sans jeter un oeil à Wikipedia, c'est fabuleux), c'était cela...


































... c'est à dire quelques poils de-ci de-là mais rien de foisonnant ou d'ostentatoire.  Et donc nous avons un peu enquêté et voilà le fruit de nos recherches : 





































Nous sommes donc heureux de vous annoncer, à toutes et à tous, cette bonne nouvelle : Jake a fini sa puberté. Que la fête commence !