Affichage des articles dont le libellé est Don Johnson. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Don Johnson. Afficher tous les articles

lundi 9 octobre 2017

La fin du Quizz d'Ivan.























Nous entendons déjà s'élever les plaintes et les remarques acerbes... "Quoi ? Patti d'Arbanville ? Et pourquoi pas Geneviève Chaumont ? Ne devons-nous pas trouver de vrais comédiens et de grands noms ici ?". Suaves visiteurs, d'abord nous n'avons jamais dit de telles choses et un simple survol de la filmographie de Miss d'Arbanville nous permettra d'assurer que l'ancienne muse de Cat Stevens a toute sa place sur nos pages. Et puis après tout, ne faisons-nous pas ce que nous voulons ? 

La victoire d'Irène Agathe n'en est par conséquent que plus éclatante et elle voit son nom en noir sur gris aujourd'hui. Elle reçoit nos félicitations, notre admiration et l'assurance de notre considération distinguée. Irène Agathe est forte. Clap clap clap ! 


































Nous imaginons sans peine que lorsque nous vous aurons expliqué que la capture provenait de la série "The sinner" dans laquelle Patti joue la belle-mère de Jessica Biel, l'apoplexie en guettera certains. Ce sera alors assez proche de notre propre réaction lorsque nous avons aperçu son nom au générique de ce sympathique programme dans lequel le meurtre côtoie la drogue, la prostitution et les maladies incurables... 

Nous avons alors réalisé que mise à part la ritournelle que lui consacra Cat Stevens en 1970, nous connaissions peu de choses d'elle... et serions bien incapables de la reconnaître si d'aventure, quelqu'un avait l'idée farfelue d'en faire le sujet d'un Quizz. 



































Ce que nous ignorions tout d'abord, c'est que Patti d'Arbanville, qui fut occasionnellement mannequin dans ces jeunes années, fut une sorte de Brooke Shields alternative, qui ne se montra pas nue alors qu'elle n'était pas majeure pour Louis Malle puis dans "Le Lagon bleu" mais le fit pour Andy Warhol dans "Flesh" puis dans "Bilitis" de David Hamilton. 

Ce que nous ne savions pas non plus, c'est qu'avec une filmographie un peu anecdotique ("Graffiti party" ou "C'était demain", quand même...), Patti a cependant toujours occupé l'actualité en raison de ses mariages et ses liaisons : Cat Stevens, Don Johnson ou Roger Mirmont, lui donnant même l'occasion de vivre à Paris pendant près de 10 ans. 




































De toutes les façons, si on la cherche vraiment, c'est vers la télévision qu'il convient de se tourner puisque depuis une première apparition en 1980 dans un épisode de "Drôle de dames", elle n'a jamais cessé de travailler, enchaînant les rôles récurrents et les guests d'un jour. On aime d'ailleurs lui faire jouer les mères italiennes pour des raisons qui nous échappent : Rose Boscorelli dans "New York 911", Lorraine Calluzzo dans "Les sopranos" et récemment donc Lorna Tannetti dans "The Sinner". 

Et c'est alors que nous nous demandons comment peut bien faire Patti d'Arbanville, pour enchaîner les tournages et les mariages, tout en s'occupant de ses quatre enfants. On raconte même qu'elle organise régulièrement des dîners où en compagnie de Rosanna Arquette ("Rosanna", Toto), Pattie Boyd ("Layla", Eric Clapton) et Marsha Hunt ("Brown sugar", The Rolling Stones), elles évoquent leur passé de muses. Ce qui doit être très suave. Mais encore des soirées où nous ne sommes pas invités...


vendredi 27 février 2015

La question du jour : quel suave tee-shirt pour Sonny Crockett ?






































Joliment pastels et suavement coordonnés au nuancier art déco de Miami, finalement, tous les tee-shirts convenaient à Sonny Crockett. 

La véritable question, rendue insondable par le port de vestes aux épaulettes que Joan Crawford réclama jusqu'à sa mort n'est-elle pas finalement : tee-shirt, certes, mais avec ou sans manche ? 

































Et vous noterez que nous n'envisagerons même pas l'évident "Un tee-shirt sous une veste ?" dont vous apprécierez, suaves visiteurs, la valeur éminemment rhétorique. 

lundi 7 octobre 2013

La fin du Quizz de Valentine.
















Trois photos ne sont pas de trop pour vous confirmer que nos deux silhouettes sans nom de la semaine dernière étaient bien Tippi Hedren et Don Johnson dans le très daté mais très rigolo "The Harrad Experiment" en 1973, que sans doute personne n'a vu mais ce qui n'empêche en rien de remporter un Quizz. 

Cher RoiJoyeux, vous fûtes le plus rapide pour décrypter les indices et remporter la victoire. Hourra donc et voyez cette semaine, votre nom en noir sur gris sur Soyons-Suave. 


















Même si ce ne sont pas les traits les plus caractéristiques de leurs carrières (mais un des éléments déterminants de l'existence de la seconde), Don Johnson est à jamais lié à Barbra Streisand en raison d'une liaison rapide mais qui donna lieu à un duo et Tippi Hedren n'est jamais très loin d'un félin, et ce depuis le début des années 70. 

Comme personne ne l'ignore, Tippi et Don sont également liés par Melanie Griffith, fille de l'actrice et par deux fois épouse de Don, qu'elle rencontra alors qu'elle n'avait que 15 ans sur le tournage de "The Harrad Experiment" et chez lequel elle partit vivre avec la bénédiction de maman qui croyait en l'amour et en l'émancipation. Ensemble, Melanie et Don eurent une fille, Dakota, que l'on verra bientôt dans l'adaptation cinématographique de "50 nuances de Grey" ce qui, d'une certaine façon, nous ramène au sexe. 























Adapté du roman "scandaleux" de Robert Rimmer, "The Harrad experiment" est, n'ayons pas peur des mots, une nouillerie comme on en produisit beaucoup au début des années 70, c'est à dire lorsque Hollywood, en gros après le succès de "Easy Rider", se persuada qu'on pouvait gagner beaucoup d'argent en réalisant des films peu coûteux sur la "love generation". 

Le principe pouvant être résumé en "Mettons des jeunes gens tout nus", le film dirigé par Ted Post et écrit par Ted Cassidy (nous y revenons dans une seconde) respecte parfaitement ce cahier des charges. La deuxième séquence propose le postérieur de Don Johnson et la troisième une séance de yoga naturiste. Mais le plus simple est peut-être, si vous avez du temps, de vous en rendre compte par vous même. Les cieux étant parfois cléments, le film est en intégralité à peine censurée sur Youtube. 


Pour les autres, disons que "The Harrad Experiment" nous permet de suivre quelques semaines de la scolarité de Sheila à la Harrad Academy, université dirigée par Tippi Hedren et son époux James Whitmore qui prônent une liberté sexuelle absolue chez les étudiants, ce qui commence par l'obligation de partager sa chambre avec un colocataire du sexe opposé. 

Sheila y fera l'apprentissage du sexe mais tombera amoureuse de Don Johnson, jeune recrue venue là uniquement pour la partie sexuelle du cursus et non le cheminement intellectuel qui en découle. Car il y a, derrière toute cette débauche, un concept : il faut coucher pour savoir qui on est ! 

Voilà Voilà. Le ton est de toutes les façons donné par les premières minutes au cours desquelles Sheila découvre sa chambre, puis le parc du campus et enfin prend un arbre entre ses bras. Ce qui est une façon comme une autre de prévenir le spectateur que Sheila sera grandement déçue. 














Si vous vous demandez ce que fait Tippi en tenue légère face à un Don Johnson pour une fois habillé dans le film (de nombreuses scènes de nu intégral seront coupées pour les USA mais conservées pour la sortie en Grande-Bretagne), sachez que cette séquence permettait à l'ancienne Marnie de montrer qu'elle possédait toujours une taille fine et de donner une leçon à Don en lui proposant de s'envoyer en l'air sur la pelouse de l'université. 

Il refuse et part ensuite se réfugier dans sa chambre, troublé, ce qui est le signe d'une pudeur qu'on ne peut soupçonner après 1h20 de projection. 
















Don finira par comprendre qu'on fait aussi l'amour avec son esprit ce qui équivaudra à recevoir un Master puisque tel était le but du cursus. 

On ne peut qu'être étonné que tant de gens répondirent d'accord lorsqu'on leur proposa de participer à "The Harrad Experiment", qui sera un échec au box-office et est presque invisible depuis. Tippi Hedren, James Whitmore, déjà, le jeune Don Johnson, mais qui était encore fou, inconscient et loin de Miami mais également Gregory Harrison dans ses débuts, Bruno Kirby (futur ami de Harry dans "Quand Harry rencontre Sally) et enfin Ted Cassidy auquel on ne connaissait pas de talent de scénariste.




















Bruno... Gregory... Ted... Si on ajoute à cela que dans les figurants se cache également la très jeune Melanie Griffith, cela fait finalement un film assez suave pour se transformer un Quizz qui bouge, ou en partie de cache-cache. Un film Soyons-Suave finalement...

dimanche 9 août 2009

La fin du quizz.





Il s'agissait bien de l'homme qui contribua à faire des années 80 une décennie que le bon goût oublia : Don Johnson, le flic à Miami, l'homme aux manches retroussées. Mais à sa décharge, sa contribution à la mode s'inscrivait dans un élan général, aux côtés du tee-shirt déchiré de Jennifer Beals dans "Flashdance" et de la mèche de cheveux dépassant du tchador de Sally Field dans "Jamais sans ma fille".

Les photos surprenantes étaient tirées de la pièce de théâtre qui allait le révéler au monde et à Mélanie Griffith : "Fortune and men's eyes", produite, mise en scène et interprétée par Sal Mineo, un drame gay en prison dont les scènes de viol, nombreuses, ne rivalisaient qu'avec les scènes de douche où les acteurs apparaissaient nus.

Félicitations à notre visiteur anonyme qui pourra, dans les prochains jours, remettre son titre en jeu face à, entre autre, Claire, dans notre prochain : "Le quizz anonyme". Mais en attendant, ne nous privons pas d'autres clichés de cette pièce dans laquelle il était, semble-t-il, suave d'être en slip kangourou.