mercredi 22 mai 2019

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un intérieur un peu raccommodé. 

L'Instant Grrr

Et maintenant dansons !



Cela faisait longtemps que nous n'avions pas utilisé Soyons-Suave afin de tenter de nous débarrasser d'une ritournelle qui persiste dans notre esprit. Parce que là, c'est coincé coincé. 

La photo mystère du mercredi.


Ne nous demandez pas ce qu'il se passe dans cette image, nous n'en avons aucune idée. 

La question suave du jour : le magazine Cinémonde voyait-il la vie en bleu ?


































Formidable revue créée en 1928, Cinémonde connaîtra au cours de ses quarante années d'existence (ou presque si on considère une pause pendant la Seconde Guerre Mondiale) des hauts et des bas, des interruptions et de fugaces renaissances avant de s'éteindre définitivement en 1971. 

Un peu trop grand public ? Certes. Très axée sur les vedettes ? Evidemment. Plus visuelle que littéraire ? Certainement pas : Cinémonde accueillera dans ses pages des gens aussi divers que Renoir, Carné, Joseph Kessel, Blaise Cendrars ou Max Ophuls.

Malgré tout, Cinémonde sera la revue qu'on punaise sur ses murs ou dont on colle des pages dans des cahiers. Puisque avec elle, la vie est définitivement plus bleue. Illustrations :  








































Notons la qualité du spectre et la richesse du champ chromatique. Merci Cinémonde. 

Et la prochaine fois sur nos pages : Ciné Revue et le parme.


Mais avant de poursuivre, une retouche maquillage...


C'est mercredi : soyons LGBT !

Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne". 

C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.




Le Brushing du jour.


































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette neuf cent cinquante neuvième édition, Goldie Hawn présente le modèle intitulé "Pas si simple". 

lundi 20 mai 2019

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir une BALALAÏKA, qui est exactement comme une balalaïka mais en plus grand. 

Le Quizz de Mirabelle.





















Amusons-nous ce soir grâce à Mirabelle qui propose un Quizz inédit, non pas parce qu'il s'agit d'une photo mystère mais parce que jamais encore nous n'avions songé exploiter cette piste fort suave et fort riche. 

Qui s'amuse au tableau noir, craie en main sans pour autant négliger manucure et bijoux coordonnés ? Indices mercredi en cas de panne. Un seul nom par proposition et bien entendu Mirabelle ne joue pas. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?







 Non ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois un nouvel ou une nouvelle amie, ce sera déjà hautement satisfaisant.

Il aurait été suave qu'on pense à m'inviter...


































Nous dirions même mieux : il eut été suave que l'on pensât à nous inviter ! 

Et maintenant dansons !



Et réparons immédiatement le fait que toutes les vidéos publiées de ce classique de nos pages aient été désactivées. Franchement, qui a osé ? On ne touche pas à Jane maintenant que Doris n'est plus là... Enfin 95 ans, préparons-nous doucement au pire. 

Pendant ce temps, à Hollywood...


































Sissy est dorée comme un abricot mais est-ce la saison ?

La fin du Quizz de Kranzler.























Pour ne rien vous cacher, nous avons eu un peu peur que ce Quizz tire en longueur, mais c'était sans compter sur Mirabelle qui est capable de proposer, récuser et démasquer une photo mystère en moins de temps qu'il ne faut pour dire Nina Companeez. 

Mirabelle, puisqu'il s'agissait bien de Micheline Dax et Fanny Ardant, voyez votre nom en noir sur gris cette semaine sur nos pages et recevez nos félicitations les plus admiratives et sincères. Et doublées : deux personnages, deux réponses donc deux salves. C'est logique. 




































Il nous semble logique que l'évocation de Nina Companeez et de ses productions télévisuelles des années 70, 80 et 90 provoque une certaine nostalgie, qui peut être doublée d'une touche de perplexité et d'étonnement lorsqu'on réalise la place très relative qu'on lui accorde aujourd'hui. 

On s'aimait alors avec délicatesse, on badinait beaucoup, on se quittait sans heurt, on se retrouvait parfois dans de grandes maisons de vacances qui sentaient la tarte aux pommes. C'était un peu comme chez Claude Sautet mais sans la tabagie, l'alcool et les drames personnels. Et sans Romy Schneider. 

Si on observe de surcroît que les films à l'incroyable charme de Michel Deville, dont Nina Companeez fut pendant 10 ans la scénariste attitrée, ne semblent pas exciter plus que cela les historiens du grand écran ou les écoles de cinéma, alors on veille à ce que la nostalgie ne se transforme pas en amertume, puisque, et quelque soit son âge, on est toujours trop jeune pour être amer. 





















Diffusé sur Antenne 2 en 1982, "Le Chef de famille" pourrait être un prototype des œuvres de Nina Companeez, qui n'aimait rien moins que les grandes familles et les femmes fortes. Et les castings surprenants puisqu'il n'y avait sans doute qu'elle pour imaginer qu'Edwige Feuillère puisse être la mère de Micheline Dax et elle-même mère de Fanny Ardant. 

Et il serait malvenu d'oublier Dominique Blanchard dont les plus théâtreux se souviennent sans doute qu'elle fut la protégée et l'ingénue préférée de Louis Jouvet. Et deux Molière, quand même...



































Si les séries de Nina Companeez ont mis comme aucune autre les femmes à l'honneur, des femmes originales, indépendantes et au phrasé souvent particulier (Edwige, Fanny et Micheline, ne l'oublions pas...), ce n'est pas sans rapport avec le fait que la plupart de ses oeuvres aient été produites par Mag Bodard, originale elle-même et un temps seule femme productrice du cinéma français dont la vie méritait tellement un livre qu'on lui en a d'ailleurs consacré un. 

Une femme à l'écriture, la même à la réalisation, une femme à la production et des actrices comme s'il en pleuvait, de toutes les générations et venant d'horizons fort différents. C'est peut-être cela qui nous rend nostalgiques alors que c'était au début des années 80 et que cela semblait presque normal.  

Sur ce nous allons regarder encore une fois "Les Dames de la Côte" qui nous a présenté tant d'actrices et d'acteurs qu'un seul merci ne suffirait pas. Quelqu'un, d'ailleurs, a des nouvelles de Denise Grey ? 


Le String de la semaine.

Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image. 


































Et cette semaine, notre ami le string se demande s'il n'en fait pas un peu trop dans la célébration de la ficelle. 

Le Brushing du jour.

Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette neuf cent cinquante huitième édition, Julie Andrews présente le modèle intitulé "Madame Playmobil". 

C'est lundi !


































Mais avant toute chose : saluons un basset hound !

mercredi 15 mai 2019

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave vous propose de reprendre tous en chœur, allez : trois, quatre : 

L'Instant Grrr


Et maintenant dansons.



Et ajoutons : enfin une version longue... Car la version que nous connaissions était vraiment beaucoup trop courte. 

La photo mystère du mercredi.

































Ne nous demandez pas ce qu'il se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée. 

La question du jour : est-il toujours suave de découper ?


































Certains d'entre vous se souviennent peut-être qu'entre 2011 et 2013, Soyons-Suave a été pris d'une passion non maîtrisée pour les poupées à découper, ces charmantes petites choses qui permirent, jusqu'aux années 60, de poser ses ciseaux sur à peu près tout et tout le monde et d'habiller et déshabiller à loisir les créatures les plus ensorcelantes. 

Et pour le vérifier, nous ne pouvons que vous conseiller de suivre le tag "paperdolls" qui doit se situer quelque part en bas à droite de votre écran et qui vous mènera vers 98 billets référencés. 

Des ampoules à répétition nous avaient un peu fait délaisser cette saine occupation. Totalement guéris, nous avons dernièrement replongé dans l'univers fabuleux et parfois inquiétant des poupées de papier et laissez-nous vous dire que cela n'a rien perdu de son charme. Illustrations :









  
































Nous avons bien la confirmation que tout se découpe et tout se colle. Même ce que dans nos rêves les plus fous...

En tout cas, vous, vous faites ce que vous voulez mais nous, nous savons ce que nous faisons ce soir. Il suffit juste de retrouver les ciseaux.