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jeudi 27 juillet 2023
mercredi 25 août 2021
mercredi 29 juillet 2020
Le trio du jour.
Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois bijoux un peu culcul, offerts par Frank S. à Mia F. lors de leur mariage, qui durera moins de 2 ans.
lundi 22 juillet 2019
Et maintenant dansons !
Que les dorisdayphobes qui nous lisent se rassurent immédiatement, cette semaine n'est pas consacrée à notre idole malheureusement trop tôt disparue (97 ans, c'est jeune, bien trop jeune...) mais à la chanson "Close your eyes" dont nous avons fait la connaissance sur un album de Doris, le très jazzy "Duet : Doris Day and André Previn and the André Previn trio", sorti en 1962.
Si les mêmes dorisdayphobes ont eu malgré tout la curiosité d'écouter ce qui se trouve ci-dessus, ils ont été obligés de reconnaître que nous n'avons pas là un titre classique de miss Day, qui enregistrait déjà en 1941 et cessera toute aventure discographique en 1967. Point de ballades un rien sirupeuses ("Sentimental journey", son premier hit en 1945), de gentilles mélodies qui peuvent à l'occasion prendre totalement le contrôle de votre esprit ("Que sera sera..."), non, là, la contrebasse craque, le piano s'envole, la batterie roucoule.
Pour paraphraser Michel Legrand : ça balance !
Si la métamorphose de Doris Day en chanteuse de jazz ne dura qu'un seul album, c'est à André Previn que nous devons cette parenthèse enchantée, l'homme aux 50 bandes originales, aux 4 oscars, aux multiples Grammy, aux 5 mariages et aux 6 enfants avec Mia Farrow. Reconnu non pas comme un jazzman mais comme un musicien classique jouant le jazz comme personne, André consacra la fin de sa carrière à la musique classique et quitta ce monde à l'âge de 89 ans en février dernier, trois mois avant Doris.
Nous lui saurons toujours gré en tout cas d'avoir offert à Doris le premier album qu'elle aima de la première à la dernière note, dont elle apprécia chaque seconde passée en studio pour cette simple raison : André lui laissa entièrement le choix des chansons ce qui, en 20 ans de carrière, était une première.
Il est enfin amusant de découvrir que lorsque les chanteuses peuvent librement sélectionner les chansons qu'elles vont enregistrer, "Close your eyes" fait régulièrement partie de la short list, peut-être, comme nous l'expliquait un jour une amie qui fait vibrer ses cordes vocales pour vivre, parce que c'est un plaisir à interpréter. Elle mentionnait justement "Close your eyes" et cette phrase qui n'en finit pas : "Something dreamy for dancing while we're here romancing it's love's holiday" tout en descendant délicatement. Quant elle choisit elle aussi les titres de son unique album studio en 1957, Dolores Gray aussi, craqua. On la comprend.
mercredi 13 juin 2018
La question du jour : comment suavement célébrer les 50 ans de "Rosemary's baby" ?
Cela peut sembler difficile à croire mais il y a 50 ans (le 12 juin 1968 pour être exact, nous sommes le 13 juin 2018 donc flûte quoi) sortait sur les écrans "Rosemary's baby" de Roman P. (nous ne sommes plus certains d'être autorisés à écrire l'intégralité de son nom...).
Revue récemment (mais cela n'est pas significatif puisque nous visionnons les contractions de Mia Farrow au moins une fois par an), l'adaptation du roman d'Ira Levin est toujours aussi extraordinaire et rappelons pour mémoire qu'elle partagea les devantures des cinémas avec ceci, ce qui la rend, si cela est possible, encore plus extraordinaire.
Il y aurait eu de nombreuses façons de célébrer cet anniversaire : avoir un enfant avec Satan, préparer des boissons énergétiques au goût prononcé, égorger une chèvre, mais nous avons finalement choisi d'exhumer un très vieux billet datant du 9 juillet 2010 et qui appartient à une défunte série qui vous proposait de revisiter, façon "Elle Déco", certaines célèbres demeures vues au cinéma.
Anticipant d'éventuels commentaires moqueurs ou grincheux, rappelons que recycler, c'est suave. Et puis c'est pour le bien de la planète !
Et maintenant rions !
"Rosemary Woodhouse nous présente sa symphonie en jaune"
9 juillet 2010


Rosemary et Guy Woodhouse ont toujours été attiré par l'ancien, par tout ce qui a une âme, aussi n'ont-ils pas hésité une seconde lorsqu'ils ont visité ce grand appartement de 4 pièces en plein coeur de Manhattan.
"Ce qui nous a frappé ce sont les proportions et le charme de l'ensemble, quelque chose que les constructions modernes ne peuvent pas recréer" explique la propriétaire, qui s'est entièrement chargée de la rénovation et de la décoration.
"Ce qui nous a frappé ce sont les proportions et le charme de l'ensemble, quelque chose que les constructions modernes ne peuvent pas recréer" explique la propriétaire, qui s'est entièrement chargée de la rénovation et de la décoration.

Le plan classique du lieu, un long couloir desservant les pièces de vie, n'a pas intimidé Rosemary, qui s'est plutôt laissée séduire par les grandes baies donnant sur la ville, une cuisine spacieuse, prolongée par un cagibi et, luxe suprême, une cheminée pour les longues soirées d'hiver.
"A l'origine l'appartement était immense mais il a été harmonieusement découpé en deux logements. Je crois que nous possédons les anciennes pièces du personnel. C'est très amusant".
Un personnel qui ne se plaindrait pas en tout cas s'il découvrait aujourd'hui la façon dont la maîtresse de maison a transformé le lieu.
"A l'origine l'appartement était immense mais il a été harmonieusement découpé en deux logements. Je crois que nous possédons les anciennes pièces du personnel. C'est très amusant".
Un personnel qui ne se plaindrait pas en tout cas s'il découvrait aujourd'hui la façon dont la maîtresse de maison a transformé le lieu.


"J'ai vraiment essayé d'unifier les espaces, par l'utilisation importante, bien que subtile du jaune, ma couleur préférée". Et c'est vrai que tout est jaune chez Rosemary et Guy, des rideaux aux accessoires de la cuisine, et même l'électroménager, qui n'a pas été simple à trouver.
"Nous aimons la simplicité, nous voulions un intérieur qui nous ressemble" s'excuse presque l'apprentie décoratrice, évoquant les meubles scandinaves du salon et cette étonnante tête de lit en briques simplement peinte en blanc. "Une idée de Guy... la seule !" plaisante Rosemary.
"Nous aimons la simplicité, nous voulions un intérieur qui nous ressemble" s'excuse presque l'apprentie décoratrice, évoquant les meubles scandinaves du salon et cette étonnante tête de lit en briques simplement peinte en blanc. "Une idée de Guy... la seule !" plaisante Rosemary.
Finalement avec peu de moyens, des idées et beaucoup de goût, le jeune couple est parvenu à transformer un appartement vieillot en cocon chaleureux et moderne. Mais il reste une dernière touche à apporter. "Je dois m'occuper encore de la pièce de télévision... pour en faire une chambre d'enfant".
Rosemary et Guy vont en effet bientôt agrandir leur famille. Mais une chose est certaine : pas de longues conversations pour savoir si la nursery sera rose ou bleue. Vous l'aurez deviné. Elle sera jaune bien sûr.
Rosemary et Guy vont en effet bientôt agrandir leur famille. Mais une chose est certaine : pas de longues conversations pour savoir si la nursery sera rose ou bleue. Vous l'aurez deviné. Elle sera jaune bien sûr.
lundi 2 octobre 2017
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois un invité au bal Noir et Blanc de Truman Capote à l'hôtel Plazza en 1966, ce sera déjà hautement satisfaisant.
Et souvenons-nous aussi qu'il fut organisé en l'honneur de Katharine Graham ce dont, y compris à l'époque, personne n'avait absolument rien à faire. Truman included...
vendredi 10 avril 2015
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette six cent cinquantième édition, Mia Farrow présente le modèle intitulé "Avant la tonte".
samedi 22 novembre 2014
Une caresse avant de se quitter.
C'était le 106e numéro de "Soyons-Suave Weekend" et ce fut un plaisir. Comment demeurer loin de vous plus longtemps... Nous sommes passés par la forêt vous savez !
lundi 3 novembre 2014
La fin du Quizz de Daisy.
Parfois, la première est la bonne. Alors que vous cherchiez, cherchiez et cherchiez encore, la réponse était là sous vos yeux. Notre enturbannée était bien Mia Farrow dans "Radio Days" de Woody Allen, mais nous comprenons aisément toutes vos propositions.
Cependant, c'est Marianne qui voit son nom en noir sur gris cette semaine sur Soyons-Suave, Marianne dorénavant surnommée "Vif-argent" sans que nous ayons besoin d'expliquer pourquoi. Félicitations et respect sincère.
Si nous ne parlons pas souvent de Woody Allen (il ne possède même qu'une seule entrée sur nos pages, partagée avec Ginger Rogers...), ce n'est pas parce que nous ne l'apprécions pas mais plutôt parce que nous n'y pensons pas. La chose peut paraître étrange, d'autant qu'il est très loin de nous être étranger.
Pour tout vous dire, nous avons connu, mais sans doute comme tout le monde, notre période Woody, et vénéré certains de ses films. Sans parler de "Manhattan" ou "Annie Hall", nous pouvons assez régulièrement nous offrir "Guerre et Amour" ou "La rose pourpre du Caire". Nous perdons cependant sa trace aux alentours de "Tout le monde dit I love you", sorti en 1996.
Au milieu d'une filmographie impressionnante, "Radio Days" occupe une place à part et vous aurez beau dire ce que vous voudrez, c'est le film de l'homme aux lunettes que nous emporterions sur une île déserte (avec équipement approprié, évidement), tant nous aimons absolument tout dans cette petite chose, de la musique à Dianne Wiest, à l'apparition de Diane Keaton en passant par Mia Farrow avec laquelle ce n'est jamais pourtant totalement gagné.
Et puisque nous sommes dans les confidences, dans une autre vie, nous eûmes une petite carrière radiophonique dont l'une des manifestations s'appelait "Minuit avec Roger et Irène", pâle copie d'un des shows dont il est question dans "Radio Days".
Tout n'est donc que nostalgie dès qu'il est question de ce film, même si, comme nous le savons tous, elle n'est plus ce qu'elle était, et depuis longtemps.
lundi 25 août 2014
lundi 5 mai 2014
17 fois Cécile Cassard ?
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