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mercredi 21 août 2024

Et maintenant chantons !


A la fin des années 60, pratiquement tout ce qui sort des studios Motown se transforme en or massif, mais estampillé Detroit en raison du son très particulier des productions maison. Ceci explique sans doute que peu de succès Motown ait été repris par d'autres artistes au moment de leur sortie, comme cela se faisait pourtant régulièrement, ce qui nous permet de garnir avec jubilation nos sagas musicales de la semaine. 

Nous avons à ce titre regardé de près les numéros 1 des Supremes : "Stop in the name of love, datant de 1965, rien la même année, une petite chose en 1966, un peu plus en 68, "You can't hurry love", sorti en 1966, rien avant 1970, ou encore "The Happening", 1967, une cover de Trini Lopez en 68 et plus rien avant 1979 !. Comparons avec, par exemple, "Downtown" de Petula Clark, tube du début 1965 : la même année, 16 versions ! 

Mais avec ses sonorités bien plus gospel, "You're all I need to get by" ne sonne pas tant Motown que simplement soul alors on s'engouffre et c'est l'avalanche de reprises par la crème de la musique noire américaine. Illustrations : 


Ce n'est pas avec cette somptueuse version alternative, restée inédite jusqu'en 2007, qu'Aretha Franklin refera de "You're all I need to get by" un numéro 1 mais elle le fera, permettant au titre d'être propulsé dans les années 70 comme un classique, à peine 4 ans après sa création. 

Et lorsque justement, en 1970, Diana Ross décide d'abandonner les Supremes et d'offrir au monde son premier album solo, consciente qu'on l'attend franchement au tournant, elle ne prend aucun risque et réquisitionne Ashford et Simpson, qui lui composent "Reach out and touch", qui sera son premier single, mais surtout, elle reprend "Ain't no mountain high enough" et "You're all I need to get by" qui ont déjà fait leurs preuves. 

Lorsque l'album sobrement intitulé "Diana Ross" sort accompagné de "Reach out", c'est la déception puisqu'il ne s'écoule qu'à 500 000 exemplaires. Mais lorsque Motown libère "Ain't no mountain" puis "You're all I need" comme 2e et 3e singles, les ventes montent à presque 2 millions. Diana seule peut donc vendre, à condition d'avoir les bonnes chansons. Et ça fonctionnera ainsi jusqu'en 1984. Après cette date, ce sera plus compliqué. 

lundi 16 décembre 2019

Et maintenant chantons !



C'est la plage d'ouverture de notre compilation "Suave Noël 2019" qui sera accessible et dévoilée mercredi. Autrement dit : c'est reparti pour 10 jours de clochettes ! 

lundi 20 mai 2019

mercredi 14 novembre 2018

lundi 29 janvier 2018

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir une redéfinition du mot "simplicité". 

mercredi 27 septembre 2017

Et maintenant dansons !



Nous réalisons avec un calme relativement impérial que la première fois que nous avons entendu cette chanson, c'était il y a 35 ans. 

mercredi 24 juin 2015

La question suave du jour : Diana Ross et les Supremes peuvent-elles nous aider en géométrie ?


















Puisque Soyons-Suave tente de rester coûte que coûte à la pointe de la suavitude, il nous a semblé important, pour ne pas dire capital, de nous pencher sur cette suave et révolutionnaire théorie, qui pourrait entrer prochainement dans les nouveaux programmes suite à la réforme du collège, et qui voudrait que Diana Ross et les Supremes soient LA solution pour nos chers petits ayant des difficultés à appréhender l'espace. 

On ne parle pas assez géométrie sur nos pages, comme le regrettait encore récemment une amie euclidienne, mais c'est tout simplement parce que nous attendions le bon sujet, capable de faire entrer ici-même, angles et distances sans que cela n'évoque de trop mauvais souvenirs à nos chers visiteurs. 



































Le grand jour étant arrivé, venons-en aux explications. 

Quiconque connait les Supremes sait au moins une chose,  non pas que Diana Ross était un chameau tyrannique mais que le groupe féminin ayant eu le plus de succès au monde maîtrisait à perfection la droite. Observez les clichés ci-dessus : rien ne dépasse, on part d'un point A pour parvenir à un point C sans accroc, généralement en passant par un point B parfaitement aligné. Notons que Diana est souvent ce point B mais ce n'est pas systématique, elle peut également être le point de départ, ou d'arrivée. 























La ligne droite maîtrisée, les Supremes sont rapidement passées au parallélisme, notion un peu plus complexe mais toujours parfaitement effectuée. 

Et c'est alors que survient l'idée de génie : trois points donc trois sommets, reliés entre eux, à des distances variables, n'est-ce pas la porte ouverte au triangle ? Aux triangles devrions-nous préciser, car là encore, nos demoiselles de Detroit réussissent un tour de force. Isocèles, rectangles, équilatéraux, scalènes même : ce n'est plus un girls band, c'est un cours magistral. 




































Quid du reste ? Mais il arrive. Que ce soit avec l'aide d'amis ou en y mettant beaucoup de bonne volonté, les Supremes sont également capables de nous offrir de très généreux carrés et quelques ovales que n'aurait pas renié Descartes. Illustrations : 


































Ajoutons pour finir quelques figures qui restent à déterminer et qui pourraient très bien se prêter à des analyses en classes supérieures, l'ensemble étant sans doute un peu complexe pour des pré-adolescents : 
























Si la dernière image représente sans doute un trapèze, c'est en tout cas un polygone, à n'en pas douter. 

Il nous semble donc que l'on peut, sans hésiter, répondre oui à la question du jour : Diana Ross et les Supremes peuvent définitivement aider les plus récalcitrants en géométrie. Et au pire, elles peuvent permettre, à ceux qui ne comprendraient toujours rien, de réaliser que les matières générales ne sont pas pour eux. Car, rappelons-le, il n'y a pas de honte à choisir une filière professionnelle. 






















Voilà pourquoi très prochainement, nous nous demanderons en quoi Les Supremes peuvent nous aider à obtenir notre Bac "Métiers de la mode", option "Couture floue". 

lundi 30 mars 2015

17 fois Cécile Cassard ?








































Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois une petite chose qui scintille par Bob Mackie, ce sera déjà hautement satisfaisant. 

vendredi 3 octobre 2014

La Question du jour : alors Diana ? Cette séance avec Wallace Seawell ?






































Eh bien très bien, vraiment ; on a mis des perruques, des vêtements qui brillent, on a même pris Kiki, non, c'était très sympa. 

lundi 19 mai 2014

Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq cent soixante septième édition, Diana Ross présente le modèle intitulé "Curaçao". 

samedi 23 novembre 2013

Vous n'allez tout de même pas sortir en cheveux ?

































Ce n'est pas parce que nous sommes samedi qu'il ne faut pas faire un effort. Diana Ross montre l'exemple et propose le modèle "Je ne peux pas j'ai piscine".

vendredi 12 juillet 2013

Et maintenant dansons !



En espérant que tout cela ne tourne pas à l'orage, peut-être une de nos Diana Ross & the Supremes préférées et qui resta dans les archives de la Motown pendant 30 ans ? 

vendredi 29 mars 2013

Le Brushing du jour.






















Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette quatre cent quarante deuxième édition, Diana Roos présente le modèle intitulé "Hair is in the air", également appelé dans certains salons "Everywhere I look around". 

lundi 1 octobre 2012

17 fois Cécile Cassard ?



























Ce serait trop. Contentons-nous de 10 fois Diana Ross à la gouache et au fusain, c'est déjà très satisfaisant.