Soyons-Suave est heureux de vous offrir un baiser.
vendredi 29 novembre 2019
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos.
Jean-Michel, 2 ans et demi, voit pour la dernière fois son tonton Maurice.
Le vendredi, c'est Scarabées !
Parce que nous n'avons jamais été réellement convaincus de la suavitude des Fab Four, tentons, chaque vendredi, de remédier à cela en parcourant le monde sans pour autant trop nous éloigner de Liverpool.
Mais puisqu'on vous dit qu'elle vous aime !
Le trio du vendredi.
Parce qu'à trois c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, "Soyons-Suave" vous propose trois soirées potentiellement festives et férocement gastronomiques.
Ava Gardner présente l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.
C'était l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette neuf cent quatre vingt douzième édition, Shirley MacLaine présente le modèle intitulé "Dégoulinades".
mercredi 27 novembre 2019
Le Quizz de Gatsby : le point et les indices.
Mais franchement, où avons-nous la tête : nous contemplons nos publications du jours pour finalement réaliser que le Quizz n'est pas tombé et que nous avons totalement négligé de faire le point et publier les indices. Réparons ce moment d'égarement.
Notre amoureuse du satin n'est donc ni Sophia Loren, ni Anne Bancroft. Elle est toujours parmi nous et possède un nombre de publications respectable sur nos pages.
Mais plutôt que de rester vague, voici les indices qui sont au nombre de deux :
Indice n° 1 :
Indice n° 2 :
Nous pouvons dormir tranquille, à présent tout est limpide, non ? A vos cellules grises.
Et maintenant dansons !
57, 55 et 50 ans : mieux qu'une cure de jouvence, il est à présent officiel que la House Music conserve parfaitement ses interprètes.
La photo mystère du mercredi.
Ne nous demandez pas ce qu'il se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée.
La question suave du jour : existe-t-il un âge pour abandonner les modèles réduits ?
Normalement, et depuis le temps, vous devez nous voir venir avec nos gros sabots (ce qui est une expression puisque nous ne possédons pas le moindre sabot, non, même pas fourrés) et nos questions vaguement rhétoriques. Si nous nous interrogeons, c'est généralement qu'il n'y a pas lieu de se triturer les méninges et en ce qui concerne l'interrogation du jour, évidemment qu'il n'y a pas d'âge pour affectionner les modèles réduits.
Située dans le fort sympathique comté du Sussex, l'entreprise "Chisel and Mouse" est un rêve pour qui aime les choses jolies mais petites, fidèles à l'original mais en moins grand. Spécialisée depuis 2011 dans la reproduction de classiques de l'architecture, britannique mais pas que, "Chisel and Mouse" semble une bénédiction alors que, on ne le répétera jamais assez, Noël approche. Illustrations :
Moules affinés grâce à la 3D, remplissage en plâtre et finition manuelle, les modèles réduits de "Chisel and Mouse" sont tout simplement des merveilles, qu'on aimerait évidemment collectionner.
Il existe des éditions limitées, il existe même la possibilité de faire réaliser, pour un prix que nous ignorons, la réduction du bâtiment de son choix. Il y a surtout l'envie de choisir dans le catalogue principal afin de faire plaisir à ceux qu'on aime.
Aussi ajoutons pour finir que nous avons une certaine tendresse pour l'immeuble Capitol Records et la tour Trellick. Cela dit en passant, bien évidemment.
C'est mercredi : soyons LGBT !
Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne".
C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette neuf cent quatre vingt onzième édition, Ginger Rogers présente le modèle intitulé "Le Broadway Baby".
lundi 25 novembre 2019
Le Quizz de Gatsby.
Suaves visiteurs, ne voyez pas dans le Quizz de Gatsby une réaction au message "c'est le Quizz le plus facile que j'ai vu" accompagnant notre précédente photo mystère, mais plutôt une subite envie de bas, qui, comme tout le monde le sait, ne se commande pas.
Qui donc reste pudique en se couvrant de soie ? Indices mercredi en cas de panne, Gatsby ne joue pas et ne tente même pas d'aider ses ami(e)s et évidemment, un seul nom par proposition. A vos cellules grises.
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois une bonne flambée, ce sera déjà hautement satisfaisant.
Cache-cache : saurez-vous retrouver Joan Crawford dans cette image ?
Gagné ! Elle était dans on ne sait pas très bien quoi en fait mais c'était une très bonne cachette.
Et maintenant chantons !
Un seul album pour Capitol en 1967, chanteuse préférée de Judy Garland, propriétaire d'un club à San Francisco qui lança la carrière de Johnny Mathis : il n'est pas impossible qu'on ne parle pas assez d'Ann Dee.
La fin du Quizz de Mirabelle.
Il est parfois difficile de tenir sa langue, ou sa plume et nous en savons quelque chose. Aussi n'en voulons pas à Mirabelle d'avoir posté un clin d'oeil alors que le Quizz n'en était qu'à ses premiers balbutiements. Elle nous a promis d'être plus patiente à l'avenir, ce qui n'enlève en rien à Gatsby sa victoire éclatante.
Car oui, il s'agissait bien de Jude Law dans "Minuit dans le jardin du bien et du mal", Jude période pré-"Ripley" donc, au cours de laquelle le jeune comédien expérimenta de nombreuses choses y compris le mariage et la paternité. Gatsby, vous voilà donc de retour dans la lumière, ce qui est une bonne chose en cette période où les jours raccourcissent. On ne vantera jamais assez les bienfaits de la luminothérapie. Bravo !
Sorti en 1997, "Minuit..." est sans aucun doute le film qui donna l'envie à une quantité de gens qui n'en avait jamais entendu parler, de prendre immédiatement un billet d'avion pour la ville de Savannah et, accessoirement, de se précipiter sur la première compilation disponible des chansons écrites par Johnny Mercer.
Sur ce dernier point, remercions le réalisateur, Clint Eastwood qui simplifia la vie de tous les amateurs de musique en accompagnant son film d'une BO de rêve où se croisent K.D. Lang, Tony Bennett, Diana Krall ou Rosemary Clooney. Et Clint lui-même... Nous vous laissons seuls juges quant au résultat.
Echec au box-office, "Minuit..." n'en est pas moins un film cher à notre coeur, au casting absolument parfait dans lequel brille l'extraordinaire Lady Chablis que Clint lui-même trouva si formidable qu'il l'autorisa à réécrire toutes ses scènes et à improviser dès qu'elle le souhaitait.
Et pour ceux qui n'aurait jamais encore eu l'occasion de le voir ou de lire le livre dont il est l'adaptation, il suffit de savoir qu'il y est question de musique, de meurtre, de vaudou, d'alcool et de relations coupables, qui prennent une saveur particulière lorsqu'on observe avec recul la suite de la carrière de Kevin Spacey.
Il convient tout de même de préciser que l'histoire repose sur des faits réels, le procès pour meurtre de l'antiquaire Jim Williams, accusé d'avoir assassiné son secrétaire particulier et amant mais si populaire à Savannah qu'il fut acquitté, non pas une mais quatre fois des mêmes accusations par différentes cours de l'Etat de Géorgie.
Nous avons été un peu surpris par l'avalanche de commentaires sur la supposée inclinaison de Jude Law pour les boissons fortes qui a suivi la publication du Quizz, aussi, parce que nous sommes avant tout des investigateurs de la vérité, nous avons mené notre propre enquête avec, comme résultats, les clichés que vous pouvez observer ci-dessus.
Et il nous semble que Jude est en fait victime d'un malentendu. La clef semble se trouver dans l'adjectif "fort". Ce n'est finalement pas le degré d'alcool qui parait l'intéresser mais avant tout la puissance.
Et la preuve semble irréfutable, non ?
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