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dimanche 31 décembre 2023

Pour le plaisir !


Soyons-Suave est très heureux de lever bien haut sa coupe et de vous souhaiter le plus suave des réveillons. Nous vous embrassons encore et encore, toujours surpris que vous soyez là après toutes ces années (et que nous soyons également là, ce qui tombe bien). 

Des bises, une caresse et à très vite. 

lundi 20 mai 2019

La fin du Quizz de Kranzler.























Pour ne rien vous cacher, nous avons eu un peu peur que ce Quizz tire en longueur, mais c'était sans compter sur Mirabelle qui est capable de proposer, récuser et démasquer une photo mystère en moins de temps qu'il ne faut pour dire Nina Companeez. 

Mirabelle, puisqu'il s'agissait bien de Micheline Dax et Fanny Ardant, voyez votre nom en noir sur gris cette semaine sur nos pages et recevez nos félicitations les plus admiratives et sincères. Et doublées : deux personnages, deux réponses donc deux salves. C'est logique. 




































Il nous semble logique que l'évocation de Nina Companeez et de ses productions télévisuelles des années 70, 80 et 90 provoque une certaine nostalgie, qui peut être doublée d'une touche de perplexité et d'étonnement lorsqu'on réalise la place très relative qu'on lui accorde aujourd'hui. 

On s'aimait alors avec délicatesse, on badinait beaucoup, on se quittait sans heurt, on se retrouvait parfois dans de grandes maisons de vacances qui sentaient la tarte aux pommes. C'était un peu comme chez Claude Sautet mais sans la tabagie, l'alcool et les drames personnels. Et sans Romy Schneider. 

Si on observe de surcroît que les films à l'incroyable charme de Michel Deville, dont Nina Companeez fut pendant 10 ans la scénariste attitrée, ne semblent pas exciter plus que cela les historiens du grand écran ou les écoles de cinéma, alors on veille à ce que la nostalgie ne se transforme pas en amertume, puisque, et quelque soit son âge, on est toujours trop jeune pour être amer. 





















Diffusé sur Antenne 2 en 1982, "Le Chef de famille" pourrait être un prototype des œuvres de Nina Companeez, qui n'aimait rien moins que les grandes familles et les femmes fortes. Et les castings surprenants puisqu'il n'y avait sans doute qu'elle pour imaginer qu'Edwige Feuillère puisse être la mère de Micheline Dax et elle-même mère de Fanny Ardant. 

Et il serait malvenu d'oublier Dominique Blanchard dont les plus théâtreux se souviennent sans doute qu'elle fut la protégée et l'ingénue préférée de Louis Jouvet. Et deux Molière, quand même...



































Si les séries de Nina Companeez ont mis comme aucune autre les femmes à l'honneur, des femmes originales, indépendantes et au phrasé souvent particulier (Edwige, Fanny et Micheline, ne l'oublions pas...), ce n'est pas sans rapport avec le fait que la plupart de ses oeuvres aient été produites par Mag Bodard, originale elle-même et un temps seule femme productrice du cinéma français dont la vie méritait tellement un livre qu'on lui en a d'ailleurs consacré un. 

Une femme à l'écriture, la même à la réalisation, une femme à la production et des actrices comme s'il en pleuvait, de toutes les générations et venant d'horizons fort différents. C'est peut-être cela qui nous rend nostalgiques alors que c'était au début des années 80 et que cela semblait presque normal.  

Sur ce nous allons regarder encore une fois "Les Dames de la Côte" qui nous a présenté tant d'actrices et d'acteurs qu'un seul merci ne suffirait pas. Quelqu'un, d'ailleurs, a des nouvelles de Denise Grey ? 


mercredi 30 avril 2014

La question du jour : comment vont les octogénaires ? Première partie.



















N'allez pas croire que nous en tirons de hâtives conclusions mais il apparaît qu'une fois encore, certaines suaves créatures aient attendu que nous soyons en vacances pour disparaître, en catimini comme Andréa Parisy ou avec plus de retentissement comme Micheline Dax. 

En elles-mêmes, ces disparitions, aussi tristes soient-elles, n'entravent pas la bonne marche de ce blog puisque vous savez, suaves visiteurs, que nous donnons rarement dans la nécrologie... ce qui nous a toujours semblé logique étant donné que 90% des personnes apparaissant sur nos pages sont déjà décédées. Mais enfin, Micheline, 90 ans, Andréa, 78 ans, et dans un genre différent, Bob Hoskins, 71 ans, nous avons l'intuition que les octogénaires doivent frémir, pris entre deux feux. 







































































En fait pas du tout. A respectivement 80, 81, 82, 84, 84, 85 et 88 ans, Richard, Michael, Debbie, Gene, Tippi, Jane et Angela vont parfaitement bien, assument fièrement l'âge d'une retraite qui ne sonnera qu'avec le chant du cygne. 

Ah et bien sûr il y a Kim Novak. Qui assume peut-être un peu moins bien. Mais 81 ans quand même.