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En tout cas dans "Les Innocents", incontournable de Jack Clayton réalisé en 1961, Deborah Kerr s'épuise à monter et descendre des escaliers, généralement dans le noir de surcroît. Deborah Kerr était fort suave mais guère prudente, si vous permettez notre humble avis. A la limite du suicidaire...
2 commentaires:
Surtout avec son strabisme divergent!!!
Après la Pampan.. je me sens comme libéré!
Mais continuez, je vous aime!!
dans "comme un torrent" aussi, même qu'elle s'accroche à la rambarde. Et que dire du "tour d'écrou"... mais pourquoi la laisse t on ainsi dans l'escalier, pauvre d'elle ?...
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