Soyons-Suave est heureux de vous présenter Sonia, démonstratrice expérimentée de tabourets de salle de bains.
vendredi 26 février 2021
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos.
Jean-Michel, 37 ans, lors d'une passagère phase whisky, barbe taillée et poupée de collection.
Le vendredi, c'est Scarabées !
Parce que nous n'avons jamais été réellement convaincus de la suavitude des Fab Four, tentons chaque vendredi de remédier à cela en parcourant le monde, sans pour autant trop nous éloigner de Liverpool.
C'est en préparant un guacamole que nous nous sommes soudain rappelés de l'existence de Tuck et Patti. Aucun rapport nous direz-vous, effectivement. Ce qui ne nous empêche pas de nous demander : mais comment vont-ils ?
La question suave du jour : est-on vraiment en beauté avec un savon ?
Avec un savon, on ne sait pas mais avec Lux, c'est certain. Et si même Michèle Alfa le recommande...
Barry White présente l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.
C'était l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille cinquantième édition, Mercedes, notre mannequin cheveux, présente le modèle intitulé " Le rouleaux à gogo"
mercredi 24 février 2021
Et maintenant dansons !
La vidéo ci-dessus est l'équivalent d'un couscous garni : le tube "Levitating" de Dua Lipa, remixé et agrémenté d'une participation vocale de Madonna, interprété par la finaliste de Drag Race saison 12 Gigi Goode et dansé en arrière plan par Symone, concurrente fort intéressante de Drag Race saison 13.
Le remix officiel est également heureux d'accueillir Missy Elliott, coupée ici. Mais enfin c'est déjà tout à fait satisfaisant pour un mercredi.
La photo mystère du mercredi.
Ne nous demandez pas ce qu'il se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée.
La question suave du jour : les cheveux de Bonnie Tyler tentent-ils de nous dire quelque chose ?
Vous n'êtes pas sans savoir, suaves visiteurs, que nous sommes parfois sujet à de violentes prises de conscience, concernant généralement des oublis inqualifiables et parfois même des omissions que nos pages, elles-mêmes, ne parviennent pas à expliquer. Et c'est ainsi qu'après 11 années d'existence, nous réalisons que nous n'avons jamais accordé à Bonnie Tyler, et d'une, et à ses cheveux, et de deux, la place qu'ils méritaient.
Aussi galloise que Tom Jones, Shirley Bassey ou Penelope Fillon, Bonnie, née Gaynor Hopkins et chantant un temps sous le pseudonyme de Sherene Davis, nous enchante pourtant depuis près de 45 ans, ce qui est un temps infiniment long pour quelqu'un dont on prétendit jadis qu'elle devait son grain de voix si particulier à la consommation quotidienne de graviers.
Et gageons d'ailleurs qu'elle-même rit souvent de se voir toujours là, quand on pense qu'en 1983, "Total eclipse of the heart" était en fait un comeback désespéré.
S'il y a beaucoup de choses remarquables chez Bonnie Tyler, son enfance, son entrée dans le monde merveilleux de la musique, sa mâchoire fort carrée, ses millions d'albums vendus à travers le monde, son allure de tenancière de pub quelque part à Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, nous nous devons d'évoquer ses cheveux, qui une fois encore, résument parfaitement une vie, pardon, une trajectoire, et allons même plus loin : une œuvre.
Et le plus simple pour illustrer notre propos est de laisser parler les images : illustrations donc :
Que nous apprend donc cette existence en cheveux, cette vie par le bulbe et la décoloration Schwarzkopf ? Et bien tout d'abord qu'on est jamais trop blond ! Ensuite que le succès aime la boucle et que beaucoup de succès entraîne beaucoup et parfois même trop de boucles ! Et enfin que la maturité mène au lisse.
Et si c'était là une magnifique métaphore des années qui passent, une incarnation du tempus fugit que Virgile n'aurait pas vu venir, Virgile dont on sait très peu de chose quant à sa nature de cheveux d'ailleurs : la sérénité entraîne la mèche aussi plate que la mer un soir d'automne.
Et si aujourd'hui Bonnie ne se déplace jamais sans son Babyliss, c'est tout simplement qu'elle va bien. Tant mieux pour elle.
C'est mercredi : soyons LGBT !
Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne".
C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.
Ah, toutes nos excuses, on nous signale à l'instant qu'il s'agit vraiment de Sylvie Vartan...
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille quarante neuvième édition, Debbie Reynolds présente le modèle intitulé "Kermesse à l'école".
lundi 22 février 2021
Pour le plaisir.
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois une actrice s'étant retrouvée dans un Molière à Broadway, et pas des moindres : Tartuffe, L'Ecole des femmes, Le Misanthrope, ce sera déjà hautement satisfaisant.
Cache-cache : saurez-vous retrouver Sean Connery dans cette image ?
Gagné ! Il était dans l'escalier !
Et maintenant chantons !
Non seulement notre brushing du jour sait chanter mais vous l'avez peut-être vu sans le savoir dans "Deadpool" ou la série "Empire". Quoi qu'il en soit "Being alive", c'est un très bon credo.
La question suave du jour : merci qui ?
Si depuis de nombreuses semaines, la vie quotidienne semble parfois un peu lourde, nous tenions, en ce jour de reprise de nos suaves activités, remercier chaleureusement trois jeunes femmes qui ont incontestablement contribué à rendre nos journées plus sautillantes et nos soirées beaucoup plus dancefloor, même à partir de 18 heures : Miley Cyrus, Dua lipa et l'inoxydable Kylie M.
Et à ce titre, nous n'hésitons pas une seconde à rejoindre les nombreuses voix qui se sont écriées que MDK (car ce sera beaucoup plus simple de faire référence à Miley, Dua et Kylie en les transformant en acronyme) avait littéralement sauvé 2020 et les premières heures de 2021, musicalement parlant bien entendu, puisque personne n'ignore que pour le reste, c'est évidemment vers Pfizer qu'il conviendra de se tourner.
Trois jeunes femmes donc, trois albums, sortis alors que justement, plus personne ne sortait du tout, et soudain le prise de conscience que ce qui finalement manquait à nos vies, ce n'était pas un masque qui n'embrume pas les lunettes mais un revival 80's.
Il doit y avoir 5 tubes dans le "Plastic Heart" de Miley, autant dans le "Future Nostalgia" de Dua (et encore plus dans l'import japonais), quand le "Disco" de Kylie n'est finalement qu'un seul tube composé de 10, 12 ou 18 plages selon que vous opterez pour la version ordinaire ou l'exemplaire Deluxe.
Et tout ceci nous permet d'évoquer rapidement la question que vous nous posez parfois, suaves visiteurs, au hasard de vos passages sur nos pages, vides depuis bien trop longtemps : tout va bien ! Si si, tout va très bien, le duo déménagement-emménagement s'est formidablement bien passé, nous habitons désormais un charmant village un peu retiré et où Internet oublie parfois de se rendre, nous apprivoisons peu à peu l'existence à la campagne et l'étendue de notre parc (car nous avons désormais des terres...) et nous tentons de ne pas prononcer la terrible phrase : "C'est difficile tout de même de trouver de bons artisans" car ce n'est pas suave.
Et si tout va si bien, mais n'allons pas plus loin dans l'évocation de notre bonheur au risque de lire qu'un "tout va mal" aurait plus logiquement expliqué notre long silence, c'est en partie grâce à MDK, qui nous a accompagné durant ces semaines d'intense changement et qui a surtout confirmé ce que nous pensons depuis toujours, à savoir que l'espoir ne peut pas mourir, tant qu'il y aura des jeunes femmes, avec force sequins, pour nous faire danser.
Et décrocher au passage un 2000e disque d'or.
Le String de la semaine.
Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image.
Et cette semaine, notre ami le string a bien du mal à quitter son joli petit coin tranquille. Mais il faut dire que c'est bien là le piège, avec les jolis petits coins tranquilles...
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille quarante huitième édition, Leslie Uggams présente le modèle intitulé "Mais c'est vraiment supposé rester comme ça ?"
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