vendredi 2 août 2019

C'est vendredi : sortons dîner !
















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir !

Et maintenant chantons !



Si depuis le début du mois de juillet et de nos sagas musicales, obsessionnelles et estivales, nous répétons que le succès d'une chanson n'est à priori complet que lorsqu'on en fait une version orchestrale aux arrangements célestes, il semblerait qu'il faille ajouter que le succès d'une chanson n'est finalement complet que lorsqu'on en découvre une version en néerlandais. 

Et quelle joie d'accueillir pour la première fois sur nos pages la délicieuse Jo Leemans, qui fut pendant des décennies la Doris Day flamande et continue d'ailleurs de l'être puisque, à 91 ans, elle est toujours parmi nous. 

Ne cachons pas que nous comptons très fort sur nos suaves visiteurs de l'autre Belgique (c'est une blague, hein, nous savons qu'il n'y en a qu'une...) pour nous expliquer cependant pourquoi la comparaison à Doris Day, ou bien si cela n'est dû qu'au fait que Jo était blonde et eut un immense succès avec sa reprise de "Que sera sera" en 1956. 





































Récapitulons : un triomphe pour Sarah Vaughan, une jolie poignée de versions françaises, des interprétations disco ou reggae et des traductions en pratiquement toutes les langues... Pas mal pour une chanson jugée au départ très bête et sans grand intérêt. 

Il reste donc beaucoup de choses à découvrir sur notre compilation de fin de semaine, qui reprend tout ce que vous avez pu écouter depuis mardi plus évidemment quelques surprises. Disons qu'avec Margaret Whiting et Catarina V, les choses sont encore plus suaves. 













10 mélodies au coeur brisé et pour télécharger autant de souffrance, vous savez comment faire. 

En été, mangeons de la pastèque !


































Avec ou sans pépin, c'est divin !

Soyons plastique !


Le trio du jour.




































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, "Soyons-Suave en vacances" est heureux de vous offrir trois couples qui s'adorent de Max Ginsburg. Qui d'autre ? 

Pendant ce temps, à la piscine...


Jack Lord est l'invité de la semaine...

Et en compagnie de madame, de son petit nom Marie de Narde, d'origine française, styliste et responsable des tenues impossibles de son mari, ils vous disent bonjour. 

jeudi 1 août 2019

Jack Lord est l'invité de la semaine...

Et il vous dit bonsoir. Et à demain.

C'est jeudi : sortons dîner !

















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir !

Et maintenant chantons !




S'il y a beaucoup à dire sur ce que le disco apporta à la musique, on est obligé de lui reconnaître d'avoir parfois ressuscité d'anciens succès qui étaient retombés, soit dans l'anonymat le plus total, soit dans la terrible catégorie des "musiques qu'écoutaient mes parents" ou pire, "mes grands parents" ou encore pire "tata Raymonde". 

Sheila rebootant "Singin' in the rain" (1929), Paradise Express faisant danser les foules sur "Poinciana" (1944), Gloria Gaynor s'époumonant sur "How high the moon" (1940), c'est aux charmantes soeurs Yandall que revint la difficile tâche de faire réapparaître sur le devant de la scène "Broken Hearted melody" en 1978 après avoir disparu pendant presque 10 ans. 

Intéressant trio que celui formé par Adele, Mary et Pauline Yandall, les Supremes néo-zélandaises qui furent parmi les premières chanteuses originaires des îles Samoa à devenir de véritables célébrités. Et même s'il y a peu de chance d'avoir entendu leur immense tube, la reprise de "Sweet Inspiration" des Sweet Inspirations en dehors de l'hémisphère sud, célébrons tout de même leur sens de l'harmonie et leur pacific touch. 

















Beaucoup plus étonnant est de découvrir qu'au même moment, "Broken Hearted melody" devenait un immense tube reggae, ce que personne, y compris Sarah Vaughan, n'avait sans doute vu venir, même dans les volutes de la plus corsée des cigarettes qui font rigoler.

Car s'il y a bien quelque chose que nous n'aurions jamais rattaché à Hal David et au Brill Building, c'est bien le mouvement rastafari. Ou reggae dancehall. Quelle grave erreur. 

C'est l'été : soyons interlopes !


































Un peu de trouble n'a jamais fait de mal à personne.

Pendant ce temps, à la piscine...


Le trio du jour.




































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, "Soyons-Suave en vacances" est heureux de vous offrir trois Jack avec chapeau. 

Soyons plastique !


Jack Lord est l'invité de la semaine...


Et il vous dit bonjour !