Soyons-Suave est heureux de vous offrir une très grosse envie d'eau pétillante.
vendredi 19 juin 2020
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos.
Jean-Michel, 26 ans, ne fait pas du tout confiance aux fermetures éclair.
Le vendredi : c'est Scarabées !
Parce que nous n'avons jamais été réellement convaincus de la suavitude des Fab Four, tentons, chaque vendredi, de remédier à cela en parcourant le monde sans pour autant trop nous éloigner de Liverpool.
Oh Will... Will... chante-nous l'annuaire s'il te plait...
Ah, on nous signale qu'une telle chose n'existe plus et nous voilà bien embêtés parce que franchement, "Oh Will... Will... chante-nous pagesjaunes.fr/pagesblanches" ne sonne pas du tout pareil.
Le trio du vendredi.
Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave vous propose une pause nicotine avec Edwige.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille trente neuvième édition, Linda Blair présente le modèle intitulé "Le Diable Rouge".
mercredi 17 juin 2020
Pour le plaisir.
Virna Lisi est heureuse de proposer un toast, en notre honneur, tout simplement, ce qu'elle fait chaque 17 juin depuis maintenant 11 ans.
La photo mystère du mercredi.
Ne nous demandez pas ce qu'il se passe dans cette image, nous n'en avons pas la moindre idée.
La question suave du jour : alors, ça fait quoi d'avoir 11 ans ?
Suaves visiteurs, figurez-vous qu'aujourd'hui même, c'est notre anniversaire, nos 11 ans, puisque le 17 juin 2009 paraissait le premier billet de ce blog, une entrée en matière un peu timide et encore faiblement illustrée mais qui tenait à la fois de la charte et de la profession de foi. Et si la curiosité est votre seconde nature, vous pouvez consulter ce post historique (n'ayons pas peur des mots) ici-même.
11ans ! C'est à la fois amusant et terrifiant puisque nous n'avons pas vu défiler les saisons, sans doute parce que le temps s'est un peu arrêté sur nos pages... et que, reconnaissons-le, les semaines se ressemblent quelque peu. Et c'est peut-être pour cela aussi, avec son Brushing quotidien, son String du lundi, sa trilogie du mercredi, son Jean-Michel du vendredi et toujours cette joie d'offrir finale, que Soyons-Suave est toujours un peu le même et pourtant jamais vraiment le même. Ce qui ne veut pas dire grand chose mais nous trouvions que la formule sonnait bien.
Enfin, si tout de même, cela n'est pas totalement dénué de sens si l'on en croit le délicieux messages reçu il y a quelques semaines d'un suave visiteur qui était heureux de nous retrouver par hasard alors qu'il avait jusqu'à oublié notre existence et nous remerciait d'être toujours présent, inchangé, comme au dernier jour de sa fréquentation.
Il terminait en ajoutant : "Merci d'être toujours le même et toujours là, malgré les années : vous êtes le Parthénon de la Suavitude !". Eh bien permettez-nous d'ajouter que nous sommes bien d'accord avec lui.
Comme 11 ans, c'est un peu le temps des bilans, nous sommes allés fouiller dans les diverses fonctionnalités de notre sympathique hébergeur pour découvrir que nous pouvions accéder au top 10 des billets les plus consultés depuis 2009 : ce sont les 8 images qui viennent de vous séparer de nos précédents paragraphes, auxquelles s'ajoutent un album de Glee à télécharger et une question qui ne va pas tarder à pointer le bout de son nez.
Une brève analyse de ces photos, proposées dans leur ordre de consultation (149 000 visites pour Ursula, largement en tête par exemple), nous confirme que le suave visiteur lambda de Soyons-Suave aime autant les huîtres que les escargots et est un peu coquin, ce que nous savions déjà.
Mais pour filer la métaphore du Parthénon, il aime aussi les chefs d'oeuvre en péril puisqu'à la sixième position des pages les plus fréquentées, nous trouvons ceci :
Et c'est finalement une bonne nouvelle. Pas pour Jane Russell, qui avait sans doute mieux à offrir, et son rouge à lèvres fuyant, mais parce que vous nous étonnez continuellement, suaves visiteurs, et c'est aussi pour cela que nous sommes toujours là.
Donc merci à vous pour ces 11 années. Nous n'écrirons pas "A 11 nouvelles années à venir" parce que cela nous paraît hautement improbable même si, finalement, on ne sait pas. Car demain est un autre jour. After all...
C'est mercredi : soyons LGBT !
Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne".
C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille trente huitième édition, Mercedes, notre fidèle mannequin cheveux, ainsi que Brigit, sa cousine bavaroise (Mercedes a une famille très cosmopolite), présentent le modèle intitulé "C'est notre anniversaire !"
lundi 15 juin 2020
Le Quizz de Pruneauxyz
Ahlala mais c'est trop facile !!! Vraiment ? Eh bien célébrons ceux de nos suaves visiteurs qui savent être à l'heure le lundi soir et vont donc remporter en un tour de main ce nouveau Quizz.
Qui est-ce ? Vous le savez très bien. Indice cependant mercredi en cas de panne, un seul nom par proposition et bien entendu, Pruneauxyz ne joue pas. A vos cellules grises.
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois un magazine consacré à la culture... physique, ce sera déjà hautement satisfaisant.
cache-cache : saurez-vous retrouver Elizabeth Taylor dans cette image ?
Gagné ! Elle était bêtement derrière le rideau.
Et maintenant chantons !
Ce n'est évidemment qu'un avis personnel mais il nous semble qu'on apprend beaucoup mieux lorsque Virginia Mayo se charge de l'enseignement à distance...
La fin du Quizz de LouisD
Le Quizz du lundi n'en finira jamais de nous étonner et en ce qui concerne le dernier en date, avouons que nous avons eu de quoi nous réjouir puisque nous sommes passés en 13 messages et en moins de 24h de Spencer Tracy à Deborah Kerr !
Sous le chapeau se cachait bien Elaine Stritch, voilà pourquoi Pruneauxyz voit cette semaine son nom en noir sur gris sur nos pages et reçoit nos plus sincères félicitations. Que cette victoire nous rappelle qu'il faut toujours suivre nos intuitions même si elles semblent parfois farfelues. pruneauxyz, bravo !
Avec une carrière qui s'étend sur exactement 70 années, nous aurions pu choisir de nombreux films (enfin pas si nombreux non plus) mais c'est finalement la Elaine Stritch de "30 Rock" que nous avions envie de célébrer, Elaine alias Colleen Donaghy, mère d'Alec Baldwin, attendue à chaque épisode du show et ne décevant jamais et qui lui permettra de décrocher son troisième Emmy.
Pendant 7 ans, Elaine Stritch montra à un public, qui en grande partie la découvrait, pourquoi elle était considérée comme la plus grande "scene stealer" de la planète, en usant de toute la technique et les artifices à sa disposition afin de transformer même où scène où elle n'avait aucune réplique en show Stritch.
Remercions la personne qui a eu la suave idée de compiler les meilleurs moments d'Elaine de 2006 à 2013 dans "30 Rock". Il est franchement difficile de se lasser de ces 2mn de cours magistral.
Si certains ont levé un sourcil en lisant qu'une bonne partie du public découvrit Elaine dans "30 Rock", rappelons-nous qu'en 2006, au moment où fut lancée la première saison de la série, Stritch commençait à peine la cinquième ou sixième partie de sa carrière, amorcée par le comeback du siècle et son one woman show "Stritch at Liberty" en 2002.
Pendant les années 70, Elaine était en Angleterre où elle tournait la sitcom "Two's company", de retour aux USA au milieu des années 80, elle ne fit que quelques apparitions à la télévision pour se concentrer sur le cinéma qui ne lui offrit que de sympathiques secondes rôles. Elle peinait à retrouver de grands textes sur les planches. Et surtout elle avait 80 ans !
"30 Rock" offrit à Stritch l'exposition à laquelle elle avait sans doute rêvé mais qu'elle n'avait jamais pu obtenir. Est-ce un hasard : elle décéda un an après la fin de la série, à 89 ans, dans son sommeil.
Ses triomphes, car il y en eut, Elaine les connut tous à Broadway, un par décennie entre 1950 et 2000 à l'exception des années 80. Et ce fut suffisant pour transformer Stritch en monument du théâtre américain, doublé d'une réputation épouvantable de diva, accentuée par ses relations un peu trop amicales avec l'alcool, dont elle se débarrassa dans les années 90.
Connue, célébrée, redoutée et parfois même black-listée, Elaine Stritch peaufina pendant 70 ans ce personnage qui finalement lui fit connaître la gloire quand d'autres entrent en maison de retraite et il fallut un cancer pour qu'elle se retire définitivement des planches.
Voilà pourquoi il nous semblait judicieux de finir cet hommage par quelque chose que l'on voit finalement si rarement qu'on peut même être amené à se demander si une telle chose a un jour existé : Elaine jeune !
Ce n'est donc pas une légende : Elaine Stritch fut jeune un jour.
Pendant les années 70, Elaine était en Angleterre où elle tournait la sitcom "Two's company", de retour aux USA au milieu des années 80, elle ne fit que quelques apparitions à la télévision pour se concentrer sur le cinéma qui ne lui offrit que de sympathiques secondes rôles. Elle peinait à retrouver de grands textes sur les planches. Et surtout elle avait 80 ans !
"30 Rock" offrit à Stritch l'exposition à laquelle elle avait sans doute rêvé mais qu'elle n'avait jamais pu obtenir. Est-ce un hasard : elle décéda un an après la fin de la série, à 89 ans, dans son sommeil.
Ses triomphes, car il y en eut, Elaine les connut tous à Broadway, un par décennie entre 1950 et 2000 à l'exception des années 80. Et ce fut suffisant pour transformer Stritch en monument du théâtre américain, doublé d'une réputation épouvantable de diva, accentuée par ses relations un peu trop amicales avec l'alcool, dont elle se débarrassa dans les années 90.
Connue, célébrée, redoutée et parfois même black-listée, Elaine Stritch peaufina pendant 70 ans ce personnage qui finalement lui fit connaître la gloire quand d'autres entrent en maison de retraite et il fallut un cancer pour qu'elle se retire définitivement des planches.
Voilà pourquoi il nous semblait judicieux de finir cet hommage par quelque chose que l'on voit finalement si rarement qu'on peut même être amené à se demander si une telle chose a un jour existé : Elaine jeune !
Ce n'est donc pas une légende : Elaine Stritch fut jeune un jour.
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