soyons-suave: mars 2015

lundi 30 mars 2015

Pour le plaisir.

Soyons-Suave est heureux de vous offrir du très beau Limoges.

Nous devions nous y attendre : le Quizz de l'Anonyme est particulièrement gratiné, même si... mais arrêtons-nous, voilà longtemps que nous avons promis de ne plus conjecturer sur la facilité éventuelle d'une photo mystère.

Donc : qui sort de l'eau avec grâce ? Qui va bientôt prendre un verre étonnement frais en plein soleil ? Qui prouve donc l'intérêt de la bouteille Thermos ? Indices mercredi en cas de panne. Un seul nom par réponse. Et même si ce qui suit va sembler absurde : l'Anonyme ne joue pas. A vos cellules grises.

17 fois Cécile Cassard ?

Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois une petite chose qui scintille par Bob Mackie, ce sera déjà hautement satisfaisant.

Il aurait été suave qu'on pense à m'inviter !

Nous dirions même mieux : il eut été suave que l'on pensât à nous inviter !

Et maintenant chantons !

Edie Adams est tout de même la seule personne dont nous pourrions acheter les publicités...

Pendant ce temps, à Hollywood...

Helmut s'est mis au twirling bâton...

La fin du Quizz d'Ivan.

Et c'est au moment où on s'y attend le moins que surgit soudain un anonyme, sûr de lui, au raisonnement imparable. Et donc oui, mystérieux visiteur, l'homme à l'imper dans sa gondole était bien Cliff Robertson dans "The honey pot", film ô combien suave de 1966 et de Mankiewicz.

Alors même si cela claque moins qu'un patronyme déclaré, ami(e) Anonyme, vois ton nom en noir sur gris cette semaine sur Soyons-Suave et reçois nos plus chaleureuses félicitations. Nous te tutoyons. En fait nous ne savons pas pourquoi.

Si "The honey pot" alias "Guêpier pour trois abeilles" a, il faut le dire, un peu vieilli, certaines choses demeurent et lui confèrent encore aujourd'hui un charme particulier. Déjà il y a Venise, et nous pourrions pratiquement nous arrêter là, d'autant que nous avons déjà précisé qu'il s'agissait d'un film du divin Joseph.

Mais comment ne pas évoquer ce casting étourdissant, ce "what a cast !" qui jaillit alors que défile le générique... Rex... Susan... Capu... (oui, nous l'appelons Capu)... Maggie... et Edie Adams, que nous aimons plus que de raison.

Edie est d'ailleurs plus grande que les autres, ce qui n'est que justice.

Et Cliff donc, qu'on peut avoir tendance à oublier au milieu d'un tel firmament. Mais justement, n'est-ce pas là un trait caractéristique de la carrière de celui qui nous quittait en 2011, un jour seulement après son 88e anniversaire et après avoir ressuscité grâce à Spiderman ? Prenons un exemple à l'aide de "Love has many faces" que nous aimons presque autant qu'Edie Adams.

Dans "Love has many faces" donc, Cliff embrasse Lana Turner, il séduit Stephanie Powers, porte du blanc au soleil et arbore un bronzage en tout point parfait. Et ?

Nous avons beau faire un effort, nous l'oublions systématiquement au profit de Lana, certes, mais également de Hugh O'Brian.

Une histoire de taille de ski sans doute...

Le String de la semaine.

Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image.

Et cette semaine, notre ami le String se dit que si le vert est définitivement couleur d'espérance, même et surtout dans les vestiaires d'une salle de sports, le blanc, c'est tout de même élégant.

Le Brushing du jour.

Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette six cent quarante cinquième édition, Anna Mae Wong présente le modèle intitulé "Une frange sinon rien.

C'est lundi !

Et disons-le : bof bof bof. Météorologiquement parlant bien sûr. Heureusement, comme à chaque fois, reste la plume. Mais quelque chose nous dit que dans le cas présent, même la plume...