On ne les connait pas vraiment mais profitons de l'été pour ouvrir nos horizons et découvrir ces jeunes pousses de la suavitude qui feront, peut-être, le monde de demain.
Il y a quelques années, dans la banlieue de San Francisco, le jeune Matthew Camp (nous supposons qu'il s'agit d'un pseudonyme...) s'ennuyait et rêvait d'une vie plus trépidante. Il sauta donc dans un bus en direction de New-York et célébra ce nouveau départ en s'offrant un charmant tatouage : une abeille, ou peut-être une mouche.
En très peu de temps, Matthew, qui a passé du temps en salle de sports et augmenté sa collection de dessins indélébiles, va devenir la star des gogo-boys new-yorkais et s'imposer comme l'atout réussite de la moindre soirée. On le veut, on l'exige, on l'implore. Mais lui, que veut-il ?
Eh bien, Matthew veut tout et avant tout qu'on ne l'enferme pas dans une case. Il se déshabille pour vivre certes, mais il sait coudre, il sait jouer, il pense avoir un nez et adore tatouer. Aujourd'hui il est tout cela : il est acteur, il a lancé sa collection de blousons de cuir, dessiné des tee-shirts en série limitée, a ouvert un salon de tatouage et sorti un parfum de sa composition, présenté dans un flacon ressemblant, à ce qu'on nous a dit, à un flacon de poppers.
Un homme complet, un homme à suivre, un homme de la Renaissance, comme le diraient nos amis anglo-saxons.
4 commentaires:
On vous en dit des choses...
Nous invitons à la confidence, que voulez-vous :)
Sans vous, notre été eut été si banal. Grâce à vous, il est délicieusement Camp ! Ce que c'est que d'être suave tout de même...
Un homme de la Renaissance, comme vous y allez ! ;-)
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