Soyons-Suave est heureux de vous offrir quelques infirmières. Et sur ce, nous allons retrouver notre lit...
mercredi 30 janvier 2013
C'est mercredi : soyons LGBT !
Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne".
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette quatre cent vingtième édition, John Travolta présente le modèle intitulé "Fever", également appelé dans certains salons "C'est bien la peine de ramener de l'étranger des maladies qu'on peut très bien trouver chez soi".
vendredi 25 janvier 2013
Pour le plaisir.
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible de passer un vendredi sans des nouvelles de Jean-Michel, notre très cher ami qui chaque fin de semaine, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photo.
Jean-Michel, 32 ans, se spécialise en psychologie canine.
La question suave du jour : Audrey Hepburn pensait-elle aux méfaits du soleil ?
C'est vendredi : soyons Peplum !
Parce qu'il est plus agréable de terminer la semaine en tenue légère, célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette quatre cent dix-neuvième édition, Catherine Deneuve présente le modèle intitulé "Vent du large".
mercredi 23 janvier 2013
Et maintenant dansons !
Nous n'avions pas vu autant de panache depuis "Paris is burning" en 1990. Et il est toujours bon de connaitre quelqu'un de professionnel.
La question du jour : est-on plus suave en pratiquant le yoga ?
Plus suave, c'est difficile à dire, mais tous ces gens soudainement capables de se regarder sous la voûte plantaire, c'est indéniablement agaçant. Et non, nous ne sommes pas jaloux.
C'est mercredi : soyons LGBT !
Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne".
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette quatre cent dix-huitième édition, Joan Fontaine présente le modèle intitulé "The Golden Helmet", également appelé dans certains salons de la Butte "Le casque doré".
lundi 21 janvier 2013
Le Quizz de Fabrice.
Suite à sa première victoire, Fabrice est un peu fébrile. La photo mystère sera-t-elle intrigante ? Sera-t-elle difficile ? Sera-t-elle suave ?
Pas de doute concernant le dernier point puisqu'il est inutile de présenter Marlene D., ici en charmante compagnie. Mais justement : qui a opté pour le velours côtelé quand Marlene triomphe en skaï ? Gageons que vous saurez en un tour de main reconnaître le monsieur qui est toujours parmi nous. Mais c'est tout ce que nous dirons. Pour le reste vous êtes seuls. Alors à vos cellules grises.
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 10 publicités montrant que l'alcool est le meilleur ami du couple, ce sera déjà hautement satisfaisant. Et de tous les couples...
Et maintenant chantons !
Déjà maintes fois publiée mais si ce n'est pas un temps à rester chez soi pour faire un tapis, alors c'est que tout espoir de s'adonner aux plaisirs des loisirs créatifs est perdu à jamais.
La fin du Quizz de MikeBench
Parfois nous n'avons pas grand chose à faire et c'est extrêmement reposant. Fabrice est non seulement notre grand gagnant mais il a, de plus, eu la délicatesse de donner toutes les informations importantes et nécessaires à une fin de Quizz. La dame (et non le monsieur même si le doute était permis) était bien Pola Negri dans "The Moon-Spinners/La Baie aux Émeraudes", film Walt Disney datant de 1964.
Fabrice, par notre voix, l'Association des Amis de Pola Pour La Vie, la relativement confidentielle "AAPPLV" vous remercie. Car tant que pour 9 "Pola Qui ?", il demeurera 1 "Negri bande d'abrutis" (c'est pour la rime bien sûr), la légende continuera de vivre.
"La Baie aux émeraudes", adapté du roman de Mary Stewart, sorte d'Enid Blyton spécialisée dans les chevaliers de la Table Ronde, n'a pas laissé d'empreinte particulière dans l'Histoire du cinéma, si ce n'est pour un détail : on y voit, pour la dernière fois sur les écrans, Pola Negri, sortie d'une retraite de 20 ans pour faire plaisir à son ami Walt Disney, avec lequel elle avait mené plus d'une croisade très républicaine.
La star du film était bien Hayley Mills, qui depuis 7 ans régnait en star adolescente absolue chez Mickey mais l'occasion était trop belle. Et puis on ne remet pas en lumière une recluse sans en profiter. Une bonne partie de la publicité du film se fit donc autour du retour de Pola que tout le monde avait oublié.
En 1926, les choses étaient fort différentes et à moins de vivre dans une yourte, personne n'ignorait qui était Pola Negri, première importation européenne à Hollywood, bien avant Garbo ou Dietrich. Rivale officielle de Gloria Swanson à la Paramount, Negri était connue comme une tragédienne et une star au comportement volcanique et aux amours très médiatiques qui après Charlie Chaplin, avait fait succomber Rudolph Valentino à la mort duquel elle devint sa veuve non officielle.
Quelques biographes ironiques précisent assez fréquemment que son meilleur rôle fut incontestablement celui qu'elle joua au moment des funérailles de Valentino : elle enchaîna 5 syncopes au cours du service funéraire et traversant les Etats-Unis en train en compagnie du cercueil pour un second office en Californie, elle s'évanouit devant les photographes à chaque arrêt en gare.
Ne soyons pas mauvaise langue et reconnaissons que Pola Negri eut une trajectoire, certes météorique, mais admirable : vedette en Allemagne et notamment devant la caméra de Lubitsch, elle deviendra une star à Hollywood à partir de 1923, qu'elle quittera en 1928 pour retourner (dans tous les sens du terme) en Allemagne et en France, devenant au passage l'actrice préférée d'Hitler.
Son retour aux USA à la fin des années 30 est plus à envisager comme une retraite, à l'exception de l'objet filmique non identifié qu'est "Hi Diddle Diddle", cousin pas très éloigné de "Hellzapoppin'" dans lequel Pola montra qu'elle n'était pas qu'une tragédienne mais également une actrice comique, dans le rôle d'une interprète wagnérienne qui fait même fuir les motifs du papier peint lorsqu'elle chante.
Décédée en 1987 au Texas où elle passa les 30 dernières années de sa vie en compagnie de son "amie" Margaret West, Pola Negri figure enfin sur le liste très suave et quelque peu infortunée des actrices ayant refusé d'incarner Norma Desmond dans "Sunset Boulevard" de Billy Wilder.
Et puisque tout le monde sait que le rôle finit entre les bras graciles de Gloria Swanson sa prétendue rivale de toujours, réjouissons-nous de trouver là une chute à l'ironie si suave qu'on la croirait fabriquée de toute pièce. Alors que pas du tout.
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