Si on peut toujours s'étonner de la candeur avec laquelle les fan magazines des années 40 évoquaient la "cohabitation amicale" de Cary Grant et Randolph Scott, l'analyse des clichés des deux "très bons amis" montrent un quotidien serein, tranquille, toujours harmonieux. Les colocataires jouaient au backgammon quand ils ne s'installaient pas piano, cultivaient leurs formes sans négliger les tâches ménagères. Et parfois ils s'accordaient une cigarette au coucher du soleil.
Rien que de très innocent finalement. Deux frères. Deux grands enfants...
5 commentaires:
De nos jours, en tout cas au Canada, ces "co-locataires" seraient considérés comme conjoints de faits au bout d'un de cohabitation fraternelle... ;-)
au bout d'un AN*
Voilà pourquoi le Nouveau Monde est toujours si nouveau...
Je ferais bien leur vaisselle... et le dernier cliché est teeellleeement romantique! (et sans doute évocateur, même pour l'époque, de la profondeur de la cohabitation).
Ils font quand même plus rêver que le bottom situé au-dessus, non?
Surtout s'ils étaient versatiles...
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