Nous nous souvenons parfaitement de notre première rencontre avec l'obsession de la semaine, la chanson "You'd better love me" dont nous reparlerons plus longuement demain et qui va de toutes les façons nous occuper jusqu'à vendredi.
Nous naviguions mollement sur l'album "Come alive" de Joanie Sommers, afin de comprendre ce qui a fait de cette charmante jeune chanteuse à la voix de velours l'une des attractions des années 60 et des années 60 seulement, puisque sortant son premier titre en 1959, elle arrêta sa carrière en 1970.
Nous étions à deux doigts de l'assoupissement lorsque soudain, au milieu des reprises attendues pour un disque datant de 1966 "The shadow of your smile, Call me, Watch what happens", la surprise, que vous pouvez écouter ci-dessus et que nous n'avions jamais entendue.
Nous étions à deux doigts de l'assoupissement lorsque soudain, au milieu des reprises attendues pour un disque datant de 1966 "The shadow of your smile, Call me, Watch what happens", la surprise, que vous pouvez écouter ci-dessus et que nous n'avions jamais entendue.
Joanie Sommers, qui est toujours active à 78 ans, connut deux moments de gloire qui furent aussi sa croix. Un immense tube tout d'abord, en 1962, avec "Johnny get angry", idéal pour twister malgré son étonnant solo de kazoo mais très éloigné de son répertoire composé de standards de jazz et de reprise de Broadway. Et un contrat d'exclusivité avec Pepsi dont elle sera la voix pour un nombre incalculable de publicités, faisant d'elle une incarnation malgré elle des années 60 quand elle se demandait pourquoi elle n'était pas née 10 ans plus tôt.
Curieuse carrière donc, faite d'une dizaine d'albums magnifiquement produits par les plus grands noms de l'époque, de concert dans les salles les plus chics des USA et de participations aux shows les plus prestigieux de la télévision américaine, pour que finalement, on lui demande inlassablement de chanter son unique tube yéyé, ou de reprendre un Pepsi.
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