lundi 31 mars 2014

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un massage pectoral. 

Le Quizz de Daisy.















Pour son Quizz de ce soir, parce qu'elle est d'humeur rêveuse, parce que nous avons changé d'heure ou tout simplement parce qu'elle en a envie, Daisy nous propose une photo un brin onirique, que vous reconnaîtrez immanquablement si vous connaissez le film dont elle est tirée. Et si on ne le connais pas ? Well... disons ce que cela va être un peu plus compliqué. 

Qui court à en perdre haleine mais en faisant voler sa cape ? Qui ne résiste pas à l'appel d'une deux roues ? Qui s'évanouit à l'idée seule d'un casque intégral ? Indices mercredi en cas de panne. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?





















Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois Jean et Jean, ce sera déjà hautement satisfaisant. 

Cache-cache : saurez-vous retrouver Liberace dans cette image ?

































Gagné ! Il était dans les plumes. 

Et maintenant chantons !



Et nous aussi on vous embrasse.

Pendant ce temps, à Hollywood...

































Debbie Reynolds a 15 ans. Si...

La fin du Quizz de Valentine.





















Mais qu'il est doux de vérifier que vous connaissez, suaves visiteurs, vos classiques. L'alitée était bien Ethel Merman dans "Airplane", sa dernière apparition au cinéma qui ne trompa pas Daisy Gamble. 

Daisy, vous voyez votre nom en noir sur gris sur Soyons-Suave et recevez nos plus chaleureuses félicitations. Valentine nous fait savoir qu'elle vous embrasse. Vous voilà couverte d'honneurs et d'affection. Mais que voilà un joli lundi. 


































Sorti en 1980, "Airplane" également appelé "Flying high" ou "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?" était une réaction salutaire à l'invasion des films catastrophes impliquant des avions et qui terrorisèrent copieusement les spectateurs des années 70. 

Pourtant, c'est le scénario d'un film de 1957, "Zero Hour !" que les frères Zucker et Jim Abraham pompèrent allègrement, n'en changeant pratiquement rien. Le voir aujourd'hui en connaissant par cœur "Airplane" est d'ailleurs une expérience assez troublante. Et si les scénaristes purent autant s'en inspirer, c'est que le film était produit par la Paramount, qui produisit également "Airplane" et sans s'en plaindre. D'un budget de 3 millions, le film en rapportant plus de 80 en première exclusivité. C'est ce que l'on appelle une jolie culbute. 



A 72 ans, Ethel Merman, prouvant au passage un sens de l'humour qu'on n'aurait pas forcément deviné, faisait donc là sa plus courte apparition dans un film et sa dernière, elle disparaîtra en 1984 des suites d'un cancer du cerveau.

Mais elle ne fut pas la seule à venir faire coucou dans ce qui aurait pu être un flop retentissant, après tout les trois réalisateurs n'avait encore rien fait si ce n'est écrire "The Kentucky fried movie" réalisé par John Landis en 1975. Parmi tous les gens qui se promènent dans "Airplane", en plus d'Ethel bien sûr, savourons l'apparition de Maureen McGovern en nonne chantante très "Airport 75", Maureen qui prouvait, elle aussi, qu'elle savait rire, étant en quelque sorte miss Film Catastrophe pour avoir chanté les génériques de "L'Aventure du Poséidon" et "La Tour infernale".




















Ah. C'est bon de savoir rire.

Une dernière chose : lors de sa sortie en France, la scène avec Ethel Merman fut d'abord coupée, les distributeurs considérant que ce gag n'évoquerait rien au public hexagonal. Pardonnons leur, ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient. Et maintenant dansons !

Le String de la semaine.

Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image. 

































Et cette semaine, le string, qui est prévoyant, a décidé de commencer à s'entraîner en vue de son stage d'optimiste à Pâques à La Baule. 

Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq cent cinquantième édition, Siouxsie Sioux présente le modèle intitulé "Le Jeanne Mas". A moins que cela ne soit l'inverse...

C'est lundi !

































Et notre ami le poulpe est formel : semaine agréable, temps clément, températures supportables. De quoi se plaint-on ? 

vendredi 28 mars 2014

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir la perspective de délicieux frissons... ou de pleurs, ce sera à voir. 

Nous vous laissons méditer. A lundi et suave weekend. 

Connaissez-vous Jean-Michel ?

Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos. 

































Jean-Michel, 28 ans, n'a pas encore totalement compris le principe du selfie. 

Et maintenant dansons !



Vous allez sans doute avoir du mal à nous croire et pourtant : nous avons une chanson préférée de Barry White et c'est celle-ci... même si nous écoutons plus volontiers la version de 7m12 mais que des droits nous empêchent de placer sur Youtube. 

C'est vendredi : soyons Peplum !


















Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée. 

La question suave du jour : mais qu'est-ce que c'est que cette comète ?

































A partir de 1955, année de son mariage avec Alfred Steele, sa quatrième union après Douglas Fairbanks Jr, Franchot Tone et Phillip Terry, on vit très souvent Joan Crawford le cou illuminé d'une comète scintillante. Etant sous doute l'actrice la plus occupée en soirée du tout Hollywood, Joan, qui devait toujours être impeccable, avait à sa disposition des tiroirs de bijoux et des malles de parures fantaisies qu'elle achetait littéralement au kilos. 

On pouvait donc en la voyant toujours s'interroger : est-ce du vrai ? est-ce du toc ? Une question en tout cas qu'on ne se posait pas, c'est si elle aimait sa comète. Illustrations à travers les années : 




























Alfred Steele était donc un époux dévoué et un homme attentionné, qui laissa à sa veuve, en disparaissant prématurément en 1959, non seulement des actions Pepsi Cola et un poste au conseil d'administration mais également un bijou par lequel elle allait célébrer sa mémoire. 

Seulement voilà... La comète ne fit pas son apparition en 1955 mais bien avant, aux Oscars de 1952, déjà, et avant cela, lors d'une escapade en 1947. 

















Diantre, ce n'était donc pas un cadeau d'Alfred ? Un simple bijou alors, une fantaisie dont l'attrait perdura dans le temps ? 

Joan Crawford déclara une seule fois avoir reçu cette petite chose en cadeau, afin de célébrer son Oscar pour "Mildred Pierce" en 1946. Mais de qui ? De quelqu'un de cher, très cher. Et aujourd'hui encore, le mystère demeure...


Que lit-on ce weekend ?





















Le guide marabout Flash est votre nouvel ami. 

Rob Lowe présente le retour de l'Instant Maillot.



































C'était le retour de l'Instant Maillot et on applaudit le courageux parce que ce n'est pas la canicule non plus. 

Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq cent quarante neuvième édition, Françoise Dorléac présente le modèle intitulé "Butterfly". 

mercredi 26 mars 2014

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un premier prix. 

L'Instant Grrr


Et maintenant dansons !



Cette bouche...

La photo mystère du mercredi.

















Ne nous demandez pas ce qui se passe sur cette image, nous n'en avons pas la moindre idée. 

La question du jour : Richard Simmons est-il un peu inquiétant ?
















Honteusement méconnu dans notre pays quand sa notoriété est tout bonnement invraisemblable aux USA, Richard Simmons est à lui tout seul, une incarnation du rêve américain, la preuve que le short va avec tout et qu'on peut vivre parfaitement heureux sans une indéfrisable. 

Adolescent obèse, complexé et malheureux (il envisagea de devenir prêtre, mais n'en tirons aucune conclusion hâtive), il eut un jour la révélation suivante : je vais perdre 50 kilos, ouvrir une salle de gymnastique et convaincre mes compatriotes que mincir et, plus généralement, rester en forme est finalement très rigolo. 




















Désormais mince et le cheveu fou, Richard, qui est toujours de très très bonne humeur, ne tarda pas à devenir une curiosité et finalement une personnalité, révélé, entre autre, par la télévision. 

Rions mais tout de même : Richard, en 35 ans de carrière, a publié des dizaines de VHS et DVD, autant de livres et animé des milliers de séminaires. C'est d'ailleurs la chose dont il est le plus fier : avoir fait perdre aux américains environs 12 000 tonnes de graisse. Ce n'était pas une révélation, c'était en fait une mission divine. 


A 65 ans, Richard, qui est célibataire et ne parle jamais de sa vie privée, si ce n'est pour préciser qu'il a trop de choses à offrir au monde pour ne le réserver qu'à une seule personne, semble si apaisé et en phase avec lui-même que son Facebook est ouvert à tous.

Qu'y voit-on ? Eh bien pour revenir à la question du jour, des choses qui peuvent sembler inquiétantes. Illustrations :


























Mais le sont-elles vraiment ? Bien sûr que non. Richard Simmons n'est pas inquiétant, il est simplement un esprit sain dans un corps sain.

Avec parfois, une robe bustier violette.

















Et pour la page Facebook officielle, c'est ici et c'est, comment dire, un voyage...