Puisqu'il n'est pas conseillé de rester une journée entière entre quatre murs et que l'air frais est en tout point salutaire, "Soyons-Suave weekend" vous propose d'aller vous aventurer dans de nouvelles contrées, découvrir d'autres suaves horizons.
La ballade du jour est sans doute la plus brève mais également la plus étrange jamais proposée : Christina Crawford alias "Celle dont on ne doit pas prononcer le nom" a décidé de fêter le 35e anniversaire de la publication de son chef d'oeuvre "Mommie dearest" en montant sur scène, accompagnée de films de famille montés à la manière d'un documentaire et de répondre aux questions du public.
Tout cela est parfaitement expliqué ici même, sur le site de l'événement qui conduira Christina à New York dans les jours prochains.
Nous avons cru comprendre que les deux heures de représentation reviennent également sur d'autres livres de la fille (adoptive) de, consacrés aux violences familiales (??!) et à sa reconstruction personnelle après nous savons tous quoi.
Dire que nous sommes en état de choc est en deçà de la réalité. Christina, vraiment...
6 commentaires:
Burn witch, burn!
Valentine, ne soyez pas rancunière, c'est mauvais pour le teint.
:)
le film qui a coûté sa carrière à Faye Dunaway. On ne s'attaque jamais impunément aux mythes, surtout lorsqu'ils sont mensongers
Elle est presque aussi laide que la fille de Bette Davis dans sa croisade contre l'antéchrist qui est selon elle noir et homosexuel et peut-être même bien juif. On dirait la grand'mère de Christelle Carrington.
mais le plus surprenant de tout ceci est cette "carrière" faite sous le patronyme de Crawford qui n'était jamais que le pseudonyme de sa "tortionnaire" Un peu comme si les victimes survivantes de Dutroux faisaient carrière sous son nom. Quelle conne celle-là! je m'excuse de le dire même si ce n'est pas suave! Celine lasaga
Céline : Amen !
Enregistrer un commentaire