Mais avant toute chose : saluons un basset hound !
lundi 26 septembre 2016
vendredi 23 septembre 2016
Pour le plaisir.
Et pour finir, Soyons-Suave est heureux de vous faire part d'une annonce de la plus haute importance.
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qu chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos.
Jean-Michel, 32 ans, redécouvre le charme irrésistible du mobile...
Et maintenant dansons !
Et supposons que l'étude approfondie de cette vidéo est obligatoire pour l'obtention de sa carte professionnelle de réalisateur/monteur.
La question suave du jour : que penser des cravates de Fred MacMurray ?
Au cours des presque 50 années que dura sa carrière, qui débuta très modestement en 1929 pour prendre fin en 1978, le sympathique Fred MacMurray, un temps l'acteur le mieux payé d'Hollywood, offrit au monde un festival de soies savamment nouées et parfois de matières synthétiques mais toujours parfaitement arrangées.
Oui, Fred MacMurray, l'amant transi de Barbara Stanwyck dans "Assurance sur la mort" et le patron volage de Jack Lemmon dans "La Garçonnière" fut ni plus ni moins que l'ambassadeur de la cravate à l'écran. Il aurait vécu au XVIIe qu'il aurait incontestablement été Monsieur Jabot. Etant résolument du XXe siècle, la cravate s'imposait.
Comme la plus simple élégance l'exige, Fred opta le plus souvent pour une cravate rayée, parfois discrètement, parfois de manière plus tranchée, mais toujours de bon goût.
Est-ce à dire qu'il était incapable de fantaisie ? Bien sûr que non. Fred n'hésita pas à alterner motifs et imprimés, avec une nette préférence pour les petites touches allant du point au gentil carré.


Et parfois même, il disait "Flûte" et affichait un motif cachemire, voire même avant-gardiste, en rebelle qu'il était malgré les apparences et sa longue carrière chez Disney.
IL n'y a donc rien à penser des cravates de Fred MacMurray si ce n'est qu'elles étaient parfaites.
Fred MacMurray étant lui-même parfait sans. Un homme suave, définitivement.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette sept cent quarante cinquième édition, Kim Novak présente le modèle intitulé "Sous tous les angles".
mercredi 21 septembre 2016
Et maintenant chantons !
Whitney is alive et elle s'est offert une légère augmentation mammaire. Cependant, admirons le talent incomparable de Necole Luv Dupree. La chansons débute à 2m50.
La question suave du jour : et alors, ces Emmys 2016 ?
Nous commentons rarement ici-même les diverses cérémonies de prix de la télévision ou du cinéma, qu'elles soient d'ailleurs américaines ou européennes, mais la 68e soirée des Emmy Awards, qui s'est déroulée le 18 septembre dernier, Emmys qui récompensent les meilleures prestations et réalisations du petit écran US, a déclenché dans nos locaux une de ces joies tellement absurdes qu'il convenait de la partager.
Oui, ce premier paragraphe est étrangement long et compliqué alors disons les choses plus simplement : alors que nous savons qu'un prix remis à une actrice ou un réalisateur ne change strictement rien à notre suave quotidien, le 18 septembre, nous avons tout de même été bêtement heureux, pour les raisons suivantes :
Nous aimons d'amour Sarah Paulson et avons été ébahis par sa prestation dans "American Crime Story", alias "OJ Simpson l'a fait". Bien joué Sarah !
Après 4 saisons, on a enfin compris qu'il était devenu impossible de ne pas reconnaître le talent à la limite de la schizophrénie de Tatiana Maslany, qui dans "Orphan Black", joue simplement 8 rôles.
On peut être naturellement cerné et tout de même remporter une statuette. Et ce n'est là que l'une des nombreuses particularités de Rami Malek.
Ru Paul !
Pour la quatrième fois, Maggie Smith a jugé que 12 heures d'avion pour un bidule savamment plaqué, c'était beaucoup trop.
Trois regrets cependant : que Ru Paul ne soit pas venu comme ça :
Que Rami n'ait pas plus endossé son amour pour les toges et les tuniques :
Et enfin qu'on ait encore oublié de nourrir Judith Light :
Mais malgré tout cela : quelle belle soirée !
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