dimanche 27 novembre 2011

L'Infirmière du dimanche.

Nous sommes très heureux de vous présenter notre amie, "l'infirmière du Dimanche", dont l'altruisme, le dévouement et l'uniforme virginal sauront rendre encore plus suave cette journée de célébration.


Et pour sa trente-troisième journée de travail, l'Infirmière du dimanche a vérifié son stock de Nautamine.

Vous n'allez tout de même pas sortir en cheveux ?


Parce que le Weekend, au moins, on peut faire un effort, Ursula Andress vous propose l'option "Ramage doré".

samedi 26 novembre 2011

Un café avant de partir ?


Mais alors noir et sans sucre pour nous. Merci !

Soyons-Suave vous fait gagner 90mn.


Dans son immense suavitude, Soyons-Suave vous propose de gagner 90mn (c'est une moyenne) en vous présentant en 5 photos, un film un peu éloigné de nos suaves préoccupations quotidiennes, garanti sans Joan, Bette ou Lauren et que par conséquent vous pourrez vous abstenir de voir. Comme nous vous en présentons les grandes lignes et la fin, vous pourrez cependant en parler. Ne dites rien, cela nous fait plaisir.

Cette semaine, notre choix s'est porté sur "Twilight 1 : Fascination", réalisé en 2009 par Catherine Hardwicke d'après les romans de Stephenie Meyer et il était temps que nous nous nous penchions sur la chose puisque le quatrième volet vient de sortir en salles. Mais de quoi est-il question ? Est-ce si bête naïf qu'on le dit ? Voyons cela en 5 instants choisis.


Isabella (Bella en fait, c'est plus court) est une adolescente maussade qui vit dans une petite ville de l'Etat pluvieux de Washington et qui ne comprend pas le trouble qui la saisit lorsqu'elle s'assoit en cours de sciences aux côtés d'Edward, un de ses camarades qui, lui, manque de vomir en la voyant.


Bella est finalement rassurée lorsqu'elle comprend que Edward est un vampire, voilà pourquoi il était incommodé par son odeur, en fait celle du sang. Mais Edward est lui aussi perplexe. Il ne souhaite pas boire Bella mais l'aimer. Ils s'engagent donc dans une relation passionnée en sautant d'arbres en arbres dans la forêt.



Bella découvre la vie fantastique des vampires qui ne sont pas tous aussi gentils que la famille d'Edward. Un terrible trio rode, ressemblant étrangement aux Black Eyed Peas, de vrais vampires assoiffés de globules et particulièrement ceux de Bella.


Edward comprend que son grand amour est en danger et qu'il doit la protéger. Il le fait en affrontant ses dangereux congénères qu'il tue tous, à l'exception de Fergie. Mais au cours du fatal combat, Bella est mordue. L'issue est irrémédiable : elle va se transformer.



Edward, qui désire Bella mais doit s'en tenir à une relation platonique sinon il sort les crocs pourrait voir là la solution à sa frustration. Mais il sait, enfin se souvient, que la vie est précieuse. Il sauve donc Bella en empêchant la métamorphose, préférant compromettre leur bonheur puisque l'existence n'est jamais simple pour les couples mixtes.

"Twilight 1" est un film plein de promesses, au niveau déjà de son scénario dont l'intérêt est de poser les bases des films à suivre. C'est comme un long prologue ou une préface qui n'aurait pas été écrite par un universitaire : c'est sans doute passionnant mais personne ne la lit à moins d'y être obligé.

Et puis c'est la perspective de voir enfin en chair et en mouvements, non seulement les deux acteurs principaux dont on nous dit qu'ils sont les nouveaux James Dean et Liz Taylor mais surtout, dans le rôle du meilleur ami de Bella, Taylor Lautner, qu'étrangement nous avions remarqué sans savoir vraiment qui il était. Illustrations :



Eh bien Taylor Lautner, dans "Twilight 1", en fait c'est cela : c'est le jeune garçon au-dessus de la chaise roulante et du chapeau.


Finalement c'est bien fait pour nous : cela nous apprendra à regarder des photos dont le sujet n'a pas encore finit sa croissance.

L'instant Mode du Weekend.



Serions-nous passés à côté de la visière transparente ?

C'est samedi : soyons musical !


La semaine dernière, nous avons partagé avec vous, et avec un plaisir décuplé par celui qu'il vous a visiblement procuré, une pierre de notre panthéon musical. Permettez-nous, en ce samedi, de vous confier une de nos obsessions. Une de plus direz-vous et vous n'aurez pas tort.

Et accueillons pour cela Sammy Davis Jr qui en 1970 enregistra, dans l'indifférence générale, son seul et unique album pour la firme Motown (seul un maxi renouvellera l'expérience en 84, "Hello Detroit"), qui apprécia tant le résultat qu'elle le tua dans l'oeuf. Résultat : un album maudit, qui à ce jour attend toujours une réédition en cd. Un album rare donc, un album suave.


"Something for everyone" est un pur divertissement qui permet à Sammy Davis de reprendre quelques tubes imparables de l'époque dans son style inimitable c'est à dire très Harlem rencontre Las Vegas. C'est pop et soul, suffisamment accessible pour pouvoir même être joué dans un ascenseur et surtout, nous arrivons à l'obsessions sus-mentionnée, l'album propose une version groovy de "Wichita Lineman", énorme succès de Glen Campbell que, pour des raisons qui nous échappent, nous écoutons au moins une fois par mois alors qu'elle est assez déprimante.


"Something for everyone" est un album qui tient ses promesses : un petit quelque chose pour chacun, des fans d'Elvis à ceux de Stevie Wonder, sans oublier le rouet de Blood Sweat and Tears repris par à peu près tout le monde et le clin d'oeil à l'ami Frank dans la version la plus rapide que nous ayons entendu de "My way" avant Nina Hagen.

Idéal en fond sonore pour un BBQ entre amis par un beau jour d'été, il n'y a pas de raison pour que ce disque ne fasse pas le bonheur d'une soirée "Grillons des châtaignes dans l'âtre".

1. Spinning wheels
2. You'd better sit down kid
3. For once in my life
4. My way
5. Wichita Lineman
6. And when I die
7. In the ghetto
8. You've made me so very happy
9. Hi-heels sneakers

Et pour télécharger tout cela au format zip, vous savez comment faire.


Vous n'allez tout de même pas sortir en cheveux ?



Parce que le Weekend au moins, on peut faire un effort, Sharon Tate propose l'option "Caesar Palace".

Bienvenue dans Soyons-Suave Weekend !



Comme chaque samedi, Soyons-Suave devient "Soyons-Suave Weekend", c'est à dire la même chose, mais en plus "fin de semaine", un supplément détente qui vous permettra, sans erreur, d'affirmer que, oui nous sommes samedi, crévindiou nous sommes dimanche.

Et au programme de ces deux jours : une invitation musicale à danser avec Sammy Davis Jr, des chapeaux, du café, une touche Brazil, un mariage de courte durée, de la mode, une promenade, le premier chapitre d'un crépuscule et une caresse.

De belles histoires, de douces musiques, de chatoyantes couleurs pour vos yeux. C'est le weekend. Restons suaves !

vendredi 25 novembre 2011

Pour le plaisir.



Soyons-Suave est heureux de vous offrir Legohedge.

Il aurait été suave qu'on pense à m'inviter...



Nous dirions même mieux : il eut été suave que l'on pensât à m'inviter...

Pendant ce temps, à Hollywood...



On s'arrange pour que l'espace aussi soit propre...

La question suave du jour : peut-on tout se permettre à une soirée déguisée ?






Nous n'aimons guère apporter de réponse définitive à nos interrogations quotidiennes, pensant qu'il est plus toujours plus suave de laisser une porte ouverte ou à défaut une fenêtre mais là, affirmons que non, on ne peut pas tout se permettre à une soirée déguisée.

Et ce n'est pas parce que c'est vendu dans le commerce que c'est portable !

Et maintenant découpons !



La Paper Doll du vendredi a une grande capacité pulmonaire.

Ursula Andress présente l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.




C'était l'Instant Fourrure de Soyons-Suave.

Le Brushing du jour.


Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette deux cent soixante dix-huitième édition, Deborah Kerr nous propose un modèle intitulé "Court mais long".