vendredi 12 juin 2020

Soyons Peplum !



































Célébrons la toge, la tunique et même la serviette nouée.

Le Trio du vendredi.

























Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave vous propose trois yéyées venues d'ailleurs... 

Que lire ce weekend ?























Le guide Marabout est notre ami. Il sait tellement de choses...

Rod Taylor présente l'Instant Maillot de Soyons-Suave.





































C'était l'Instant Maillot de Soyons-Suave.

Le Brushing du jour.



































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille trente sixième édition, Claudia Cardinale présente le modèle intitulé "Que l'on touche à la liberté..."

lundi 8 juin 2020

Pour le plaisir.


































Soyons-Suave est heureux de vous offrir une Grace Kelly en Frank Sinatra. 

Et nous le prouvons. 


Le Quizz de LouisD























Une nouvelle fois, nous voilà dans l'incertitude face à ce nouveau Quizz, qui nous parait à la fois d'une grande difficulté et en même temps totalement évident, sans doute parce que nous connaissons la réponse... ce qui peut jouer. 

Essayons tout de même : qui porte à merveille le Fédora et arrive à point nommé le lendemain de la fête des mères ? Oops, nous en avons déjà trop dit. Indices mercredi en cas de panne, un seul nom par proposition et bien entendu LouisD ne joue pas. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?








































Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois un très joli flacon, ce sera déjà hautement satisfaisant. 


Cache-cache : saurez-vous retrouver Audrey Hepburn dans cette image ?


Gagné ! Elle était tout simplement au milieu !

Et maintenant dansons !



Et soudain l'envie d'un thé... ou d'un massage... ou les deux.

Pendant ce temps, à Hollywood...

Lauren s'offre une King Size et ça faisait longtemps...

La fin du Quizz de Chipie IV
























Enfin ! Oui, enfin nous pouvons redonner à Elsa Martinelli son identité, ce qu'elle attendait avec une certaine impatience depuis le 21 mai, ce qui est évidemment une façon de parler puisqu'elle nous a en fait quitté en 2017 à l'âge de 82 ans. Et comme en y réfléchissant, voilà une bien curieuse façon de débuter la célébration d'un pourfendeur de photos mystères, ajoutons qu'Elsa est toujours vivante dans nos cœurs. 

LouisD, voyez votre nom en noir sur gris sur nos pages et recevez nos plus sincères félicitations, que nous vous adressons d'une voix émue à laquelle se joint celle tout autant tremblotante de Gatsby, n'en doutons pas. Au risque de nous répéter, vous êtes tous si forts. C'est beau. C'est émouvant. C'est suave. 




































Lorsqu'on analyse l'affiche de "La menace", il est sans doute inutile de préciser qu'il s'agit d'un film sorti en 1961, tant tout, nous disons bien absolument tout, semble évoquer ce début des années 60 qui fleure encore bon les années 50. Énumérons d'ailleurs pour illustrer nos propos : Gérard Oury, Frédéric Darc, Alain Poiré, Robert Hossein et Marie-José Nat. Ajoutons notre étoile du jour Elsa Martinelli : non vraiment, nous ne pouvons être ni en 1958, ni en 1967. 

Parce que tout ce joli monde est encore bien jeune et en phase d'expérimentation : deuxième long métrage de Gérard Oury, premier rôle principal pour Marie-José Nat, alors certes, troisième collaboration en 4 ans entre Frédéric Dard et Robert Hossein mais premier film purement français d'Elsa. Plus on y pense, plus ce film est émouvant. 
























Ceci peut évidemment paraître un tantinet paradoxal puisque le scénario de "La Menace", adapté du roman de Dard "Les Mariolles" n'est pas particulièrement destiné à nous tirer les larmes : un gang de mobylettes, bizarrement absentes des affiches du film mais bien là sur les couvertures du roman, un tueur en série, une jeune femme perdue, une épouse qui ne voit rien et la dérive de la jeunesse. 

C'est noir et un tantinet social. Allons jusqu'à un chouia "Fureur de vivre" avec Marie-José en James Dean. Et cela remporta le prix annuel du film de suspense. 



























Nous n'avions jamais réalisé jusqu'à aujourd'hui qu'Elsa Martinelli et Robert Hossein formèrent pratiquement un couple de cinéma, partageant par quatre fois le même générique et s'offrant même en 1970 un duo discographique que nous vous invitons à écouter rapidement si la chose manque à votre culture générale. 



Et terminons par Elsa, quand même, qui contrairement à certaines de ses consœurs transalpines, vieillit fort aimablement et visiblement assez naturellement, s'offrant même dans ses dernières apparitions un côté Diana Rigg qui ne nous avait jamais frappé auparavant. 






Diana Rigg donc. Sommes-nous seuls sur le coup de cette suave ressemblance ? Même si c'est le cas, ce ne sera pas la première fois.


Le String de la semaine.

Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en String. Chaque lundi, la preuve en image. 



































Et cette semaine, notre ami le String est simplement heureux d'être de retour et nous partageons bien évidemment sa joie. 

Le Brushing du jour.



































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette mille trente cinquième édition, Eleanor Parker présente le modèle intitulé "Soyons Fous Soyons Roux". 

C'est lundi !



































Mais avant toute chose : saluons un basset hound !