Restons couchés : alors, c'était bien ?

Parce que de l'autre côté du blog c'était divin, à s'en confondre avec le canapé.

Qui suis-je ?

Pas trop d'efforts cette semaine mais agitons tout de même nos cellules grises : je suis connue mais seuls les gens qui m'ont vu sur scène savent que je fais parfois des imitations, comme ici Barbra Streisand, un numéro que je n'ai jamais enlevé de mon tour de chant depuis la fin des années 60. Et, détail dont je suis assez fière, je rentre toujours dans le costume original ce qui fait que je ne suis pas Kathleen Turner. J'attends vos suaves suggestions.

Le string de la semaine

Même si l'idée semble impossible, on peut cependant être suave en string. Chaque semaine la preuve en image.

On comprendra qu'après avoir sillonné sous un soleil cuisant toutes les grandes artères d'une charmante bourgade, le string de la semaine ait quitté sa fanfare pour s'allanguir un instant sur une table basse.

Restons couchés : mais si par hasard le téléphone se met à sonner ?

Eh bien vraiment ce n'est pas un problème.

Restons couchés : mais entretenons tout de même notre forme avec Mae West.

Mae West n'est pas que la créatrice de l'immortelle réplique "As-tu un pistolet dans ta poche ou es-tu content de me voir" ou l'interprète de la version définitive de "Twist and Shout" que vous pouvez écouter et écouter encore en vous rendant ici : http://bi-queen.way.over-blog.com/ en saluant de ma part BBJane.

Non, c'est également une femme qui savait être suave et prendre soin d'elle et de son physique si voluptueux qu'on continue encore aujourd'hui d'appeler des "Mae West" les gilets de sauvetages se gonflant à l'air comprimé.

Puisque nous sommes cette semaine en mode off et qu'il est néanmoins impensable de laisser s'avachir nos biceps : suivons notre monitrice d'un jour. Vous n'avez besoin pour cela que de deux haltères mais 1,5 litres d'eau minérale ou un yorkshire feront l'affaire et d'un lit d'une largeur suffisante, disons au bas mot équivalente à un terrain de tennis.

Et ne nous laissons pas distraire par la présence malheureuse d'une femme de chambre qui aurait choisi ce moment précis pour s'adonner au repassage. Merci Mae.

Restons couchés !

Soyons-Suave est en mode un peu lent ces jours-ci mais avec des circonstances atténuantes : c'est l'été, il fait chaud (enfin il faisait chaud) et la vie parfois... Est-il nécessaire d'en dire plus ? Voilà pourquoi nous proposons une fin de semaine encore plus suave que d'ordinaire, avec un seul mot d'ordre : économisons notre énergie !

Mais comme il n'est pas question non plus de nous transformer en moule, accordons-nous quelques distractions tranquilles et savoureuses. Pour commencer : amadouons notre litterie en caressant un plaid ! En flattant une couverture, nos nuits n'en seront que plus suaves.

Soyons-Suave s'associe à la joie des nouvellement bacheliers.

Et bien sûr, pour ce soir, sans modération.

Vacances différentes : prenez un motel !

Pas ce soir mon chéri.

Le monde est injuste ! Malgré des siècles de luttes acharnées, il demeure des domaines dans lesquels la femme n'est toujours pas l'égale de l'homme. Face à la maladie par exemple, alors que l'homme doit redouter l'insignifiant cancer de la prostate, la femme affronte l'ostéoporose, le fibrome, le syndrome premenstruel et la descente d'organes. Mais parmi tous ces maux, s'il en est un qui peut revendiquer le titre de plus insidieux, c'est la migraine ! On aura beau faire, il sera inutile de tenter de lutter contre ces élancements dans la boîte crânienne, ces pulsations derrière l'oeil, ces troubles de la vision menant parfois jusqu'à la nausée.

On ne peut qu'attendre, attendre que cela passe. Et s'il n'y a qu'un conseil à donner, c'est de tenter, même terrassée par la douleur, par politesse et élégance, de rester suave. Illustrations :

Il n'y a, une fois encore, qu'Olivia de Havilland qui devra suivre le stage d'été : "Je n'embête pas mon entourage avec mes problèmes de céphalée".

Ce qu'on ne doit pas faire.

L'école est finie

Pour fêter la fin de l'année scolaire, Soyons-Suave vous offre une institutrice.

La fin du quizz

La réponse était donc Marlène Dietrich, en gala devant les militaires US basés à Berlin en 1945. Bravo Claire, ton nom est à présent en blanc sur noir dans Soyons-Suave, dont les initiales, SS, ne sont qu'un facheux concours de circonstance ! Et tu auras deviné ta récompense en ayant découvert Richard Chamberlain en short.

Comment choisir mon maillot si je suis un garçon ?

Pour les garçons, vous l'aurez compris, aucune hésitation possible : ce sera le short et rien d'autre !

Comment choisir mon maillot si je suis une fille ?

Nous en parlions à propos de notre tentative de relancer la mode du ski nautique, le choix du maillot en période estivale est capital. La forme, la taille, la matière, le motif : tout est important. Aussi, avant de faire n'importe quoi, observons et prenons des notes.

Mitzi, qui présente un modèle bustier-combishort sait que l'accessoire différencie la femme de l'animal, aussi elle pense à jeter sur ses épaules un mince filet d'algues.

Même à la plage, Barbara ne se sépare pas de sa culotte gainante.


Claudette fait oublier sa notoire absence de cou par un motif bambou très attractif.

Si Romy commet l'erreur des lignes horizontales, elle pense à agrandir sa silhouette par un bandeau-turban qu'elle relève haut afin d'exposer sa ligne d'implantation capillaire qui ne doit jamais être blanche.

En résille et graphique, Ann peut bronzer et s'adonner à son jeu de réflexion préféré.

Seule Olivia devra s'inscrire au cours d'été "Je maîtrise les matières". Car en milieu aquatique on dit non à la laine crochettée.

Qui suis-je 2 ?

Allez, un peu plus de jambe comme indice...

En juillet, pensez à vous hydrater !