Soyons-Suave est heureux de vous offrir la collection Jason Voorhees printemps-été 2014.
lundi 30 juin 2014
Le Quizz de Charlus.
Il n'aura échappé à personne que Charlus, notre baron préféré, est un cinéphile averti avec une affection toute particulière pour certaines actrices, un peu sorties de l'inconscient collectif mais chères aux cœurs de ceux qui, grâce à elles, éprouvèrent leurs premiers frissons.
N'en disons pas plus et demandons-nous simplement : qui court ainsi dans l'escalier ? Qui semble de toute évidence sortie en chemise ? Indices mercredi en cas de panne. Autant vous dire que nous n'avons aucune idée de la difficulté de ce Quizz. Donc en attendant : à vos cellules grises !
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois un film inspiré par le poème "Enoch Arden" écrit par Lord Alfred Tennyson en 1864, ce sera déjà hautement satisfaisant et pas si courant.
Et maintenant dansons !
Ce qu'il y a de formidable avec le nouveau Mariah Carey, c'est qu'il existe avec rap et sans rap. Mais toujours avec violons disco et un visuel tout à fait naturel qui nous confirme qu'avec des jambes d'approximativement 110 cm et un buste de 90 cm, Mariah Carey mesure bien 2 mètres.
La fin du Quizz de Céline de la Saga.
Eh bien, ce Quizz fut bien plus rude que prévu et donna une nouvelle fois l'occasion d'un bras de fer entre vous, suaves visiteurs. Mais si les créatures les plus sophistiquées furent convoquées, seul notre Baron préféré sut remettre Cyd Charisse sous le turban signé Jean Louis.
Charlus, vous voyez donc cette semaine votre nom en noir sur gris sur Soyons-Suave et nous sommes certains que vous accorderez une suave accolade à Stéphane G., qui brûle et brûle encore. Charlus, vous n'ignorez rien de notre affection, Stéphane, découvrez notre commisération. Nous croyons en vous. Allez !
Film maudit, film inachevé, film testament de Marilyn, nous ne vous ferons pas l'affront, suaves visiteurs, de raconter, une nouvelle fois, les milliards d'anecdotes et le cauchemar que fut le tournage de "Something's got to give" qui vit, en 1962, Marilyn affronter une Fox désespérée de perdre de l'argent avec "Cléopâtre" et un George Cukor peu convaincu par le projet et sa blonde interprète.
Marilyn renvoyée pour absences répétées, on engagea Lee Remick pour la remplacer ce qui entraîna le départ de Dean Martin et Cyd Charisse. On réembaucha finalement Marilyn mais qui eut la mauvaise idée de décéder dans la nuit du 4 au 5 août 1962. Avec dorénavant entre les mains 500 minutes de film inutilisables, des costumes, des décors et un semblant de script, la Fox fit ce qu'elle jugea le plus efficace : elle transforma "Something's got to give" en "Move over Darling" qui, lors de sa sortie en 1963, devint l'un des plus gros succès de l'année.
Etant plus concis que nous ne l'avons jamais été, ajoutons tout de même que, restaurées et remontées, les images de "Something's got to give" montrent une Cyd Charisse assez mauvaise et une Marilyn d'une beauté renversante mais nous ne vous apprenons rien en écrivant cela.
Et puis il est quasi certain que vous avez déjà vu ceci. Et si ce n'est pas le cas, c'est l'occasion ou jamais :
On peut dire ce que l'on veut de Doris Day et, puisque nous serons d'accord pour affirmer qu'il serait totalement absurde de la comparer à Marilyn, reconnaissons qu'elle est formidable dans "Move over Darling", qui est très drôle, très 1963 drôle, certes, mais bien plus divertissant que ce que laissent entrevoir les 37mn de "Something's got to give".
Et si l'on doit regretter quelque chose, ce n'est pas d'avoir remplacé Marilyn par Doris (la première étant morte), Cyd par Polly Bergen (Cyd étant assez calamiteuse) ou Dean Martin par James Garner (le dernier étant plutôt yummy), mais bel et bien de ne pas avoir repris Tom Tryon dans le rôle de l'homme avec lequel l’héroïne passe plusieurs années sur une île déserte. Chuck Connors nous semble encore aujourd'hui le plus gros mystère de "Move over Darling". Et nous ne parlons même pas du maillot léopard.
Le String de la semaine.
Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image.
Et cette semaine, si le String de la semaine est très content de son weekend en village-vacances, il reconnait qu'il n'est pas toujours évident de retrouver du premier coup son bungalow.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq cent quatre vingt deuxième édition, Pamela Tiffin présente le modèle intitulé "Big is better".
C'est lundi !
Si météorologiquement parlant, la semaine va encore être agitée, cela n'empêche pas le poulpe du lundi de penser que les soldes d'été ont débuté. Et d'être prêt.
vendredi 27 juin 2014
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque vendredi, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos.
Jean-Michel, 22 ans, va à présent pouvoir considérablement améliorer sa technique en crawl.
La question suave du jour : Beverly Sills peut-elle nous sensibiliser à l'art lyrique ?
Si vous êtes des habitués de Soyons-Suave, vous n'ignorez pas que, et sans en tirer la moindre fierté, nous sommes d'une ignorance crasse dès lors qu'il est question de musique classique, lyrique ou symphonique. Est-ce parce que très jeune, nous avons trois soirs de suite fait de la figuration dans ce qui fut sans doute l'une des plus poussives productions de "Lohengrin" de Wagner (quand à une semaine près, nous aurions pu être dans "Violettes impériales"), allez savoir.
Quoi qu'il en soit, le monde des mezzos et des coloratures nous semble aussi obscur que l'univers de la physique quantique, à quelques exceptions près cependant. Soprano suprême de la fin des années 60 jusqu'à sa retraite en 1978, l'américaine Beverly Sills nous a toujours intrigués, peut-être parce qu'elle fit la couverture de Time magazine accompagnée du titre "The Queen of opéra", peut-être parce qu'elle chanta dans le Muppet Show, peut-être parce qu'elle sembla avoir un faible pour les costumes de scène les plus improbables. Illustrations :
Chanter du Rimsky Korsakov, soit. Mais avec un chandelier sur la tête, voilà !
Si nous ne nous sommes toujours pas décidés à écouter en entier un enregistrement de Beverly, nous avons depuis quelques jours regardé suffisamment de photos d'elle pour que plus jamais, nous ne commettions à nouveau cette grave erreur : la prendre, selon les angles et les années, pour Dolores Gray, Eydie Gorme ou la journaliste Liz Smith.
Encore le fruit de notre imagination vous direz-vous ? Observons maintenant Beverly peu de temps avant sa disparition en 2007 :
Ah ! Quand même non ?
Enfin, pour répondre à la question du jour, il faudra sans doute encore un peu de temps pour que même Beverly nous sensibilise à l'art lyrique. Elle nous a en tout cas confirmé l'importance d'une tenue adaptée à chaque circonstance, ce qui est déjà ça.
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq cent quatre vingt unième édition Dyan Cannon présente le modèle intitulé "Vermicelles".
lundi 23 juin 2014
Le Quizz de Céline de la Saga.
"Le Quizz de Céline ? Est-ce à dire qu'elle ne peut pas jouer ?". Suaves visiteurs, c'est aussi vrai qu'on pourrait tuer pour cette tenue. Cette semaine Céline est off, précipitez-vous.
Nous cherchons donc une dame qui non seulement sait s'habiller mais sait coordonner la moindre pièce de sa garde-robe. Vous la connaissez, vous l'aimez, nous aussi. Indices mercredi en cas de panne. A vos cellules grises.
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 8 fois une femme dessinée par René Bouché, ce sera déjà hautement satisfaisant.
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