jeudi 31 juillet 2025

Ginette Leclerc est l'invitée de la semaine...












Et elle vous dit bonsoir. Et à demain.  

Nous sommes jeudi : sortons dîner !


 








Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant chantons !


Exactement à l'opposé de ce que nous écrivions hier, la diva House du jour pourrait servir de poster à toutes les divas house de la planète. Voguant allégrement vers ses 73 ans, Pepper Mashay, écrit parfois, et c'est encore plus délicieux, Pepper MaShay (la majuscule fait alors toute la différence), vivotait au fond d'un studio comme choriste lorsque vers la trentaine, on eut l'idée de lui faire enregistrer un single. 

C'était en 1995, la House et les grosses voix étaient partout et on savait pouvoir compter sur Miss Mashay, qui avait déjà, comme choriste, su combler les attentes de gens aussi divers que Céline Dion, Tina Turner, Lennie Kravitz, Cher ou Bob Dylan. 

Alors certes, on ne lui fit pas enregistrer les choses les plus raffinées ni les plus mélodieuses, on lui confia même cette über House qui ne prend son sens qu'en boite de nuit, alcoolisé, mais qu'on imagine mal écouter au calme chez soi. Enfin c'est évidemment possible. La suavitude est, elle-aussi, insondable. 






















Depuis 1995 et ce premier single, Pepper ne s'est pour ainsi dire jamais arrêtée, une trentaine de singles, trois albums, quelques numéros 1 dance, des tournées, et des gayprides, beaucoup de gayprides, puisque presque la moitié de ses titres finirent par apparaître dans la bande son de la série "Queer as folk". 

Pepper est devenue une icone, une sympathisante de la cause, une alliée et surtout la reine de la house catégorie B, que la petite fille qu'elle était et qui écoutait en boucle Janis Joplin ne pensait sans doute jamais devenir un jour. 

C'est l'été : assommons un mammouth !


 


















Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolithique ! 

Le trio du jour.




 

Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois femmes du boulanger. 

Pendant ce temps, à la piscine...


 

Soyons plastique !


 

Ginette Leclerc est l'invitée de la semaine...


 


















Et blonde, et en Harcourt, elle vous dit bonjour ! 

mercredi 30 juillet 2025

Ginette Leclerc est l'invitée de la semaine...


 


















Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes mercredi : sortons dîner !


 








Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Il est bon et doux, et même réconfortant de réaliser que toutes les divas House ne sont pas forcément quinquagénaires et qu'en couveuse, de jeunes pousses à la glotte puissante préparent la relève. 

Teni Tinks, à peine 30 ans, née aux USA mais élevée et résidant toujours à Londres, est sans doute l'une des voix les plus excitantes de la scène actuelle, et qu'elle ait été choisie par The Shapeshifters pour les accompagner depuis 2018 est un signe qui ne trompe pas.   

Et comme, en plus, elle a l'insigne honneur d'apparaître dans les vidéos, quand de nombreuses voix House se résument à un vague nom sur une pochette, tous les espoirs sont permis : Teni est là et bien là. 


































Evidemment, Teni est présente sur à peu près tous les réseaux sociaux existants aussi vous pourrez la suivre dans toutes ses activités, en tournée avec Christina Aguilera, à l'anniversaire de sa soeur ou attendant son fish n' chips. Et c'est toujours satisfaisant. 

Et en attendant qu'une éventuelle carrière solo décolle, vous pouvez réécouter sans vous lasser le tube de 2021, "You ain't love", qui résonne au moins une fois par semaine dans notre campagne fleurie. Et qui n'est en rien une déclaration à qui que ce soit. Tout va très bien, merci :)

C'est mercredi : sortons les ficelles !


 












Et cette semaine, notre ami le string n'échappe pas aux traditions : à la plage, il ramasse forcément des coquillages. 

Le trio du jour.


































































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir, en partie, pourquoi Ginette fut un temps considérée comme une actrice légère. 

Soyons plastique !


 

Pendant ce temps, à la piscine...



Ginette Leclerc est l'invitée de la semaine...

Et elle vous dit bonjour ! 

mardi 29 juillet 2025

Ginette Leclerc est l'invitée de la semaine...




















Et elle vous dit bonsoir. Et à demain.  

Nous sommes mardi : sortons dîner !


 


















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Nouvelle semaine, nouvel hymne, nouvelle diva House, et c'est bien ce qui est pratique avec notre thème de l'été, c'est que nous ne risquons pas rester en panne de voix. Et en ce qui concerne Barbara Tucker, qu'on pourrait croire surgie des années 60 alors que pas du tout, nous voilà face à une authentique D.I.V.A, productrice, chorégraphe, DJ, et évidemment chanteuse sans quoi nous n'en parlerions pas.

Dire que Barbara règne sur la House depuis plus de 30 ans serait encore en deçà de la réalité puisqu'elle a tout fait, s'installant à Ibiza quand elle n'est pas en studio à New York, alignant 6 numéros 1 des charts dance et toujours en activité : son dernier hit date de 2017 et elle n'a visiblement pas l'intention de s'arrêter.

Comme c'est souvent le cas, son premier essai fut aussi son plus gros triomphe, le très enthousiasmant "Beautiful people" de 1994 mais nous avons une affection particulière pour "Stop playing with my heart" de 2000. Et ça tombe bien : il arrive !

C'est l'été : assommons un mammouth !


Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolithique !

Le Quizz de l'été volume 4


 


















Il fallait donc le grand retour de Gatsby pour que tombe enfin le 3e Quizz estival ! Car le film mystère était bien "Cleopatra Jones", alias "Dynamiste Jones" en version française (???), production de 1973 dans laquelle Shelley montrait qu'à 53 ans, on peut encore devenir une reine des arts martiaux. 

Gatsby, en plus de nos félicitations les plus sincères, vous voilà à la tête de 2 points, juste derrière Nina et Irène, 3 points chacune. Inutile de dire que tout est encore possible. L'été est encore si jeune. 





















Toujours assez drôle aujourd'hui, et remercions pour cela Shelley Winters, "Cleopatra Jones" ne dut son existence qu'au succès de "Shaft" qui lança toute une série de films qu'on rangera plus tard dans la catégorie "Blaxploitation". Ici l'héroïne est mannequin le jour, agent secret la nuit et combat le crime organisé. 

Ce sera l'un des nombreux rôles de méchantes de Shelley Winters, qui se spécialisa même un temps dans les tenancières de bordel. Mais ici elle est rousse, elle est cuir et très méchante. Ce qui rend la scène finale encore plus alléchante. 


Mais il est déjà temps de nous attaquer au nouveau quizz qui se présente ainsi : 






















Il est probable que ce sera aujourd'hui une épreuve de rapidité plus que de réflexion. A vos cellules grises ! 

Soyons plastique !


 

Pendant ce temps, à la piscine...


 

Ginette Leclerc est l'invitée de la semaine...


 


















Et elle vous dit bonjour !

vendredi 25 juillet 2025

Cary Grant était l'invité de la semaine...


Oui mais voilà, c'est fini. Il fume une dernière cigarette avec l'aimable participation de Randolph Scott, qui se devait d'être là et il s'en va vers de nouvelles aventures. C'était en tout cas formidable de l'avoir avec nous pendant cette semaine, d'autant qu'il a vraiment de très suaves amies.

Mais ne soyons pas tristes puisqu'il sera remplacé, non pas dès lundi puisque nous serons absents, mais dès mardi par... Ginette Leclerc ! Rien à voir donc. Inutile de vous dire qu'il va y avoir des sourires à pleines dents et des tenues légères. 

D'ici là nous vous embrassons. Soyez sages et évidemment, soyez suaves.




Nous sommes vendredi : sortons dîner !


 









Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Terminons cette nouvelle semaine consacrée aux Divas de la House par quelques contre-exemples qui ne manqueront pas de vous interpeler. Soyons cependant précis : nous sommes toujours en compagnie de divas et nous dansons toujours sur des rythmes house. Disons que nos trois invitées sont parvenues jusqu'à notre été un peu par accident, sans forcément en avoir été prévenues et même bien après leur disparition : magie du remix. 

Dusty Springfield, qui fit en son temps beaucoup danser, était décédée depuis presque 20 ans lorsque "Spooky", qui date de 1968, refit son apparition grâce au DJ peut-être néerlandais Quinten 909, qui lui offrit une seconde jeunesse. Enfin une troisième, et sans doute même plutôt une dixième, le titre ayant été copieusement pillé depuis son lancement. 

Pour Barbara St Clair, nous pouvons parler d'une résurrection puisque surnommée la reine de la soul de Buffalo, après une carrière plus que confidentielle (sauf évidemment à Buffalo), elle coulait une retraite paisible lorsque son unique petit succès, "Teacherman", de 1976, donna naissance au gigantesque tube "Epsilon Girls" tiré de l'album du DJ allemand Andy Hart en 2014. Et c'était très très bien. Sauf que Barbara venait juste de nous quitter lorsque la chose sortit dans les bacs. 


Nous ne savons pas exactement ce qui se passa dans la vie de Randy Crawford en 1998, Randy Crawford qui nous accompagne depuis que nous avons 12 ans, mais soudain, elle eut envie de faire danser. 

Ou plutôt, le DJ turc Mousse T, à peine sorti de son tube mondial "Horny" (Je suis excité), eut envie de faire bouger Randy et lui produisit un album entier, dont le bijou est la reprise du slow de Rose Royce "Wishing on a star", transformé en hymne pour club, ce qu'il va devenir assez vite. Randy avait été une des déesse de la soul, elle devenait à présent house. 

Un an plus tard, Mousse T approchera Tom Jones et parviendra à le convaincre d'enregistrer "Sex Bomb". Carton intersidéral. Entre "Horny" et "Sex bomb", la prière à une étoile de Randy était nettement moins débridée, dans les paroles en tout cas. Et un bonheur n'arrivant jamais seul, en plus du mix original, un remix club de 9mn fut mis à la disposition des foules en délire, dont nous avons fait partie. Vous savez quoi, voici les 2 : 

Que manger ce weekend ?




 

















Une grande salade à la mayo ? C'est pratique, c'est frais et c'est beau ! 

Le trio du jour.








































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir un peu de rab'. Sinon franchement, c'est gâcher ! 

Soyons plastique !


 

Pendant ce temps, à la piscine...



Cary Grant est l'invité de la semaine...


 


















Et avec l'aimable participation colorisée de Carole Lombard et Marlene Dietrich, il vous dit bonjour ! 

jeudi 24 juillet 2025

Cary Grant est l'invité de la semaine...


 


















Et avec l'aimable participation de Grace Kelly et dans un style très collé-serré aujourd'hui, il vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes jeudi : sortons dîner !


 








Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Si la diva du jour de notre été House est bien née à Philadelphie, a été biberonnée au gospel et a très vite compris que la piste de danse était l'avenir de la chanteuse au début des années 90, elle n'est pas à proprement parler une diva de la House mais de la Dance. 

Nous espérons que vous ne verrez rien d'insultant dans cette petite restriction mais ce n'est pas exactement la même chose. Pourtant Lonnie Gordon a une grosse voix, elle affectionne particulièrement les "yeahyeahtyeahohoh" que nous entendons depuis presque trois semaines et elle a très peu enregistré de slow larmoyant. 

Cela tient donc au fait que, mariée à un britannique et donc expatriée en Angleterre à la fin des années 80, Lonnie va être signée par le label de Stock, Aitken et Waterman, le trio derrière Rick Astley, Kylie Minogue, les Bananarama et des dizaines d'autres chanteuses et chanteurs oubliés et qu'ils vont lui offrir un numéro 1, qui aurait tout autant pu être chanté par n'importe quel poulain de leur écurie. Cela fonctionne, cela fait danser, c'est un peu électronique mais c'est tout de même plus pop que techno. 


Après un nombre surprenant de tubes, qui n'obtiendront cependant jamais la popularité de "Happenin' all over again", Lonnie va décider de prendre sa carrière en main. Elle rejoindra le cirque du soleil à Las Vegas puis va fonder son propre label. L'aventure ne sera pas exceptionnelle mais cela lui permettra de continuer à enregistrer des disques jusqu'au début des années 2010. Depuis c'est moins folichons. Heureusement, on inventa un jour la gaypride.

Mais que fait donc Lonnie dans cet été et au beau milieu des ces renversantes divas ? Une réponse : "I'm gonna catch you". En 1991, souhaitant peut-être un break dans l'enchaînement des ritournelles un peu prévisibles de Stock, Aitken et Waterman, elle céda aux appels de producteurs italiens et enregistra ce gospel house sur lequel nous avons beaucoup, mais alors beaucoup dansé. 

Et nous sommes certains que nous ne sommes pas les seuls. 

C'est l'été : assommons un mammouth !

Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolithique !

Le trio du jour.




 












Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir de quoi finir le mois sans difficulté. 

Pendant ce temps, à la piscine...


 

Soyons plastique !