Il était normalement prévu que nous évoquions hier les problèmes que nous rencontrons avec les canaris. Ne vous méprenez pas, nous n'avons, personnellement, rien contre ces adorables petites choses d'un jaune certain, il se trouve simplement que nous avons découvert qu'il était improbable de cohabiter avec eux en bonne intelligence.
Nous reviendrons mercredi sur les raisons qui nous poussent à dire cela, tout en vous prouvant qu'on peut décider de laisser envahir son intérieur par des canaris sans atteindre à sa suavitude. Passé entre les mains d'un taxidermiste, d'un céramiste ou d'une tricoteuse, même néophyte, c'est finalement là que le canari prend toute sa valeur. Illustrations :
N'est-il pas adorable ? N'est-il pas silencieux lorsqu'il est en feutrine ? Et propre lorsqu'il se décline en bakélite ? Soyons-en certains : le canari se prête divinement à une collection, dont la pièce maîtresse pourrait même être la directrice du FMI... mais uniquement si vous en avez les moyens.
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