lundi 21 septembre 2009

Le quizz de l'anonyme.



C'est donc reparti pour une nouvelle semaine de neurones en ébullition et de recherche de confirmations sur le net afin de répondre à la question désormais rituelle : mais qui est donc cette jeune et jolie brune, dont la vie changea lorsqu'elle se retrouva en couverture de ce magazine et dont nous dissimulons le nom sans quoi cela serait vraiment trop facile ?

Ce sourire... ces fossettes... ces yeux pétillants... Une chose est certaine : tout cela est français et ce sera le seul et unique indice. Nous attendons vos suaves réponses.

Les coulisses de Soyons-Suave

Nouvelle rubrique hebdomadaire, rejoignant ainsi le string et les chapeaux de Joan Crawford, il nous a semblé intéressant de révéler, sans trop en dire non plus, dans quelles conditions Soyons-Suave était fait, répondant par là même aux nombreuses questions qui inondent notre adresse électronique, pour rappel soyons-suave@hotmail.fr.

Pour cette première parution, il nous est immédiatement apparu que nous devions rendre hommage à Josie, notre chère Josie, qui tape les posts que vous êtes un peu plus chaque semaine à consulter. D'une humeur égale, toujours souriante et disponible jour et nuit, malgré son temps partiel chez Arlette Gruss, Josie est la Kalashnikov du clavier.

La pensée suave du jour.


Ava Gardner porte bien les rayures et le gros pétard.

Il aurait été suave qu'on pense à m'inviter !

La fin du quizz



La femme à la cigarette, c'était bien elle : Michèle Mercier, l'indomptable, la flamboyante, l'angélique, celle que certains appellent d'ailleurs notre Michèle, preuve de son appartenance à notre patrimoine culturel, visitée, espérons-le, le week-end dernier lors des journées du patrimoine justement.

Etrange vie et étrange carrière, luxe, calme et volupté, amour, gloire et beauté et puis... et puis... les années qui passent et Angélique qui ne vieillit pas, elle. Quelle beauté tout de même que Michèle dans les années 60, impeccable, suave, si suave. Des yeux, une bouche, un corps : nous pourrions passer des heures à lui organiser des galleries.

Mais c'était un quizz et c'est notre ami anonyme qui voit son nom en blanc sur noir sur Soyons-Suave, une victoire sans appel qui ne fut pas sans provoquer de nombreux remous dans les commentaires. Qui es-tu, toi qui n'a pas de nom ? Sais-tu que tu as failli brouiller des amis ? Te réjouis-tu d'avoir transformé Soyons-Suave en salon où l'on cause ?

Quoi qu'il en soit, bravo. Soyons-Suave t'offre trois Michèles en sus.

Quatre pattes ou deux ailes : quel animal de compagnie choisir ?

Vous êtes seul(e)s et cette solitude vous pèse ? Vous résistez difficilement à une visite dans un refuge SPA ? Vous cherchez désespérement un nouvel accessoire qui ne soit ni un sac ni un chapeau ? Peu importe la raison, votre choix est fait : vous avez pris la décision d'adopter un animal de compagnie. Mais commence alors le dilemme : un nouvel ami, soit, mais que choisir ? Pas de panique, nos invités vous montrent quoi faire pour combler vos attentes en restant suave.



Dusty a choisi un petit singe, c'est adorable, presque humain et très sociable une fois qu'on lui a appris à ne plus lancer son caca.



Pour des raisons qui sont les siennes et sur lesquelles nous ne reviendrons pas, Rudolph a préféré un cheval. Pensez à prévoir un box conséquent et aéré, le foin engendrant souvent ballonnements, coliques et diarrhées.



Pour Louise ce sera un koala et rien d'autre. Plus doux que le kangourou et moins agressif que le dingo, c'est le panda des terres australes.



Audrey a porté son dévolu sur un âne de poche qu'elle emmènera sur les tournages dans son sac Givenchi.



La tortue sied à Ann-Margret, d'autant qu'elle est souvent livrée avec accessoires : ici le parasol mais également disponible le hamac ou la petite Powerplate.

mercredi 16 septembre 2009

Choisissez un chapeau avec Joan Crawford.

Chaque semaine, comme son homologue le string, Joan Crawford, une des femmes les plus élégamment chapeautées, vous apprend à choisir un bibi. Pour cette cinquième leçon, les mots à retenir sont : "Casquette, Pâquerette et alouette (oui c'est une vraie plume)". Tous ensemble : "Casquette, Pâquerette et alouette (oui c'est une vraie plume)". Merci Joan.





Pour quelle raison vouloir être une "Supreme" ?








Comme pour les hôtesses d'accueil dans les salons automobile (voir plus bas) : la tenue, c'est la seule raison qui nous apparaît évidente... Quoi que... peut-être qu'éventuellement... la perpective de faire carrière malgré une scoliose ou une arthrose de la hanche... car la Supreme est toujours un peu penchée et c'est peut-être cela finalement qui la rend si suave.

Rectification !



Une information de dernière minute nous étant parvenue, il semblerait que la raison majeure pour vouloir être une Supreme soit les produits dérivés.

Et heureux les petits génies qui ont gardé intact un emballage du très rare pain de mie tout blanc "Supremes" : ils sont aujourd'hui potentiellement très riches.

lundi 14 septembre 2009

Le quizz de TJB



Le regard noir et le cheveux court. la cravate au vent et la cigarette alerte. Qui est donc cette étrange créature qui régna sans compétition sur les années 60 ???

Si d'aventure ce quizz vous paraît évident, réjouissez-vous, vous serez peut-être notre prochain gagnant, le titre de la rubrique est à prendre et avouons-le, c'est surtout le pretexte pour une prochaine sompteuse galerie mettant en scène notre suave inconnue.

Le véritable drame de Jayne Mansfield

Jayne Mansfield, la femme au QI de 163, l'actrice qui maîtrisait non seulement 5 langues mais également le piano et le violon, malgré la meilleure volonté du monde, ne savait pas s'asseoir !

Jayne savait jouer, Jayne posait comme personne, Jayne transfigurait la moindre robe mais elle était incapable d'utiliser ce qui est, pour la grande majorité d'entre nous, comme une évidence : une chaise, un tabouret, un fauteuil...



Voilà pourquoi une certaine bizarrerie se dégage de nombreux clichés la mettant en scène. Puisqu'elle est debout, pourquoi cette chaise ? Puisqu'elle n'est ni assise ni couchée, que fait-elle sur ce lit ? Comment tient-elle sur cet accoudoir ? S'allonge-t-on sur un gros chapeau ?







Il fallut toute la persuasion de son époux Mickey Hargitay, monsieur Univers 56 et ex-boy de Mae West pour qu'enfin on la découvre assise, sur son épaule, certes, mais tout de même posée. L'amour est capable de tout mais nous supposons également de nombreuses heures d'entrainement.


La pensée suave du jour.



Si Liz Taylor a la taille très fine, elle a aussi de gros coussins !

Ce n'est pas que nous comptons mais tout de même...

Il semblerait, nous disons bien, il semblerait qu'en l'espace de quelques jours, le nombre de visiteurs de Soyons-Suave soit passé de 2000 et quelques à plus de 12000 ! ! ! Passée la surprise, nous avons opté pour un bug de notre compteur, qui semble être l'explication la plus rationnelle. Mais si quelqu'un a un autre éclaircissement à apporter, il est le bienvenu !

12000 ! Franchement !! C'est trop suave pour être vrai !!!

samedi 12 septembre 2009

Que trouve-t-on en bas d'une échelle ?



Inutile de présenter cette célèbre photo sur laquelle Rock Hudson domine le jeune Tony Curtis et le encore plus jeune Robert Wagner. L'ensemble est amusant, renferme sans doute de nombreux sous-entendus qui durent bien faire rire (une fois de plus) les intimes de Rock mais un mystère demeure. Quiconque est déjà monté sur une échelle sait qu'en soit l'exercice n'est pas si drôle, et pour peu qu'on souffre de vertiges, encore moins hilarant lorsqu'on entreprend de ne s'y tenir que d'une main. Pourquoi ces trois messieurs semblent-ils donc si joyeux ?

Parce qu'en bas des barreaux, quelqu'un a reussi à empêcher Elizabeth Taylor d'y grimper elle-aussi. Elisabeth... Toujours partante... mais un peu collante ! Merci Montgommery Clift d'avoir permis, pour une fois, un moment de détente entre garçons.

La fin du quizz.




Notre mystérieuse décolorée ne l'est pas restée bien lontemps et c'est TJB, notre maître, qui remporte le Quizz de TJB... rendant presque naturelle cette répétition et qui voit son nom en blanc sur noir sur Soyons-Suave. Oui il s'agissait bien de Virna Lisi, l'actrice italienne que déteste le plus Isabelle Adjani depuis qu'elle lui souffla le prix d'interprétation à Cannes pour "La Reine Margot" et qui fut bel et bien importée à Hollywood à la fin des années 50 dans le but de remplacer Marilyn Monroe.


Mais Virna Lisi, en plus de donner son nom à un groupe de rock brésilien, posa pour l'une des couvertures les plus iconiques du magazine Esquire, qui en compte pourtant plus d'une. La résurrection pour les 70 ans du journal par Jessica Simpson laisse songeur. Rappelons-nous plutôt que c'est elle, une coupe de champagne à la main, qui vous accueillit dans l'un des premiers posts de Soyons-Suave.

Il aurait été suave qu'on pense à m'inviter !


Est-il suave d'être érotomane ?

"Là... Tu t'allonges... sur le tapis...Voilà... Etire-toi bien... Rêve que tu es une chatte... Oui, bouge bien... Creuse les hanches... Creuse-les... Là... Ahhh c'est beau.... Volupteux... Maintenant... Là.... Violente... Louve... Tigresse... Oui, c'est bien... Ahhh... Je m'approche... De toi... Doucement... Là... Plus près... Oui je suis tout près... Tout près... Ahhh... Tu es brûlante............."

Pas d'inquiétude, Soyons-Suave n'est pas en train de prendre un tournant inattendu, les quelques lignes qui précèdent n'étant nullement la retranscription d'égarements mais les douces et TRES SUAVES paroles de "Cover-Girl", inoubliable morceau tiré du non moins inoubliable album "Erotico Nicaud" de l'étonnant Philippe Nicaud. Et si tous ceux qui l'ignoraient sont en ce moment précis en train de lever au ciel les sourcils, c'est tout à fait naturel, nous en avons fait autant que vous.




Ainsi donc, l'interprète de "Miquette et sa mère" avec Danièle Delorme, de "Voulez-vous danser avec moi ? "avec Brigitte Bardot et, comment l'oublier, de "Pouic-pouic" avec Louis de Funes et Jacqueline Maillan eut une carrière cachée, enfin pas si cachée que cela puisqu'il sortit trois albums et quelques 45t qui firent finalement plus pour sa gloire que ses derniers films : "Plus beau que moi tu meurs" ou "Mon curé chez les nudistes".

Et quelle surprise de parcourir le catalogue discographique de cet homme qui chanta d'une voix grave et profonde de charmantes ritournelles ayant pour titre "le cul de ma soeur" ou "les amants de ma femme" signées Charles Aznavour, "La rencontre" ou "La rupture" accompagnées par Eddie Barclay quand ce n'est pas "Une fille doit savoir tout faire de ses dix doigts" et "la minette de l'archiduchesse", tirées de l'extraordinaire et déjà nommé "Erotico Nicaud".


Car ne devons-nous pas remercier un homme qui permet d'être fétichiste, d'afficher son priapisme, de s'annoncer échangiste, qui lève un petit bout du voile derrière lequel se cachent d'habitude les couples qui font l'amour au téléphone, les valets qui observent leur maîtresse par la serrure et même les ventriloques obsédés par leur poupée ?

Philippe Nicaud était un chanteur à part, il est en train de devenir un chanteur très demandé puisque ses albums, relativement introuvables, s'envolent sur les sites de ventes aux enchères et qu'ils commencent même à être reédités par des labels plus que pointus. Pour tout vous dire, on vend même "Erotico Nicaud" chez Colette, rue du Faubourg St Honoré à Paris ! Ce n'est donc plus simplement suave d'être érotomane, c'est presque un petit peu snob !


Quelques précisions s'imposent !



Certains, enfin disons-le plus clairement, certaines ont cru remarquer que Soyons-Suave souffrait depuis quelques jours de lenteurs inexpliquées. C'est un fait ! Il est inutile de nier l'évidence. On pourrait s'inquiéter d'ailleurs au lieu de vitupérer, se demander si quelque chose de grave ne se serait pas produit, comme une chute dans un escalier, une allergie fulgurante, une grippe de saison même, ou peut-être pire : le sot oubli d'un mot de passe permettant d'accéder à ce blog.

Rassurons-nous, surtout si vous n'êtes pas inquiets : il n'en est rien. Les températures sont moins clémentes, nous avons donc rendu sa liberté à notre garde-robe d'été, négligeant simplement qu'il n'est guère aisé de tapoter un clavier affublé de moufles en daim.