Ne nous emballons pas à la lecture du titre de ce billet : nous allons vraiment parler recyclage utile et environnement en célébrant l'artisanat de Margaux Lange, qui depuis 15 ans, sauve de la destruction et des usines d'incinération forcément polluantes, des milliers de Barbie et de Ken en bout de course.
Pourquoi ? Comment ? Les meilleures idées peuvent parfois venir d'un simple devoir donné à des étudiants d'une école de design, celle du Maryland en l'occurrence où la jeune Margaux étudiait afin de devenir créatrice de bijoux. Tirez le meilleur d'un objet destiné à disparaître dans une décharge. Telle était la consigne.
Dans le cas de Margaux ce fut une révélation. Illustrations :
Pins, bracelets, broches, pendentifs, bagues et épingles à cheveux, quand ce ne sont pas des boutons de manchettes, il semblerait que Margaux Lange ait décliné ses morceaux de poupées jusqu'à pratiquement l'infini, sans perdre de vue un certain sens du commerce.
Une visite sur son site vous montrera que pièce unique ne rime pas forcément avec bon marché (la preuve) et que récupération veut parfois dire que ça va coûter bonbon.
Les prix fort prohibitifs de ses créations qui sont, d'accord, d'accord, de... l'art, sont sans doute justifiés par le loyer conséquent qu'elle dépense chaque mois pour l’entrepôt où elle stocke ses fournitures. Enfin tout cela fait de jolies photos.
1 commentaire:
Les bras m'en tombent.
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