A moins que vous ne sortiez à peine d'une retraite spirituelle effectuée dans un monastère slovène, il n'est pas impossible que vous ayez ces derniers jours aperçu, même sans le vouloir, Armie Hammer (Armie pour Armand, son véritable prénom), que ce soit dans la presse, sur internet, les réseaux sociaux, bref environ partout et que par la même occasion, vous ayez enchaîné ces deux questions : "Qui est-ce ?" et "Pourquoi ?".
Rien de plus simple que d'apporter une réponse claire et synthétique à ces interrogations : Armie est un acteur, qui commença une carrière un peu chaotique il y a de cela 10 ans, que vous avez peut-être aperçu dans des films qui ont souvent été de gros échecs commerciaux ("The Lone ranger" avec Johnny Depp) et qui est issu d'une excellente famille américaine, comprenez pétrole, millions de dollars et université à votre nom. Et si on parle BEAUCOUP de lui en ce moment, c'est qu'il tient le rôle principal de cela :
Adaptation du roman d'André Aciman, "Call me by your name", découvert au festival de Sundance en début d'année, est peut-être le film bénéficiant du plus invraisemblable prestige alors que personne ou presque ne l'a encore vu. Car s'il vient à peine de sortir aux Etats-Unis où on lui promet déjà une flopée d'Oscars, on ne le verra en Europe qu'en 2018.
Armie y serait formidable, bouleversant, sexy en diable, d'accord. Mais comment le savoir puisqu'il nous faut encore attendre deux mois pour le découvrir dans l’hexagone ? Et comment donc, alors, comprendre le raz de marée Hammer ? Renseignons-nous et observons...
Semblant sortir à ses débuts d'une publicité pour Abercrombie, Armie Hammer est aujourd'hui un trentenaire qui assume ses poils et sa waspitude, généralement en marcel ou pantalon d'équitation. Il a la mèche alerte et le regard bleu océan, souvenir sans doute des Iles Caïmans où il passa son enfance. Et voilà.
Les documents iconographiques trouvés ne nous ayant pas permis de rejoindre la folie Arnie qui sévit actuellement, nous attendrons donc que "Call me by your name" soit en salle pour nous faire une idée. En attendant, nous préférons nous concentrer sur une valeur plus sûre et nous réjouir par avance de retrouver dans le même film la toujours surprenante Amira Casar, ce qui est toujours l'assurance de grands moments. Croyez-nous.
7 commentaires:
Je vous remercie pour ce billet d'information même si je ne reviens pas de Slovénie.
On va supposer que le film est bon parce que ouais ok c'est joli à regarder mais de là à se rouler par terre...
Voilà !
il n'a pas subi des attouchements, lui ?
Bon, il lit Kerouac. Big Sur. Le genre de littérature de rebelle dont il convient de s'imprégner à seize ans au plus tard. Après, c'est foutu : on dirait du Barbara Cartland noyé dans les Qualudes et l'Exta.
Cher(e) anonyme, attention, la supputation d’agression sexuelle vire à l'obsession.
Bonjour Monsieur Suave
Ce beau gars transforme une quelconque veste en laine couleur marron passepartout en objet du désir. C'est plus que suavissime !
peut-être, mais on voit que les frimas arrivent même ds les bureaux de So-Su, ses invités ne tombent plus la chemise depuis un moment...
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