lundi 1 avril 2019

La fin du Quizz d'Ivan.




















Parfois nous avons véritablement envie de vous embrasser tant vous êtes formidables. Et quand en plus il s'agit de Bruno, nous pouvons doubler l'embrassade d'une accolade qui saura s'arrêter avant de devenir potentiellement gênante. Car il s'agissait bien de Marisa Berenson dans "Opium" d'Arielle Dombasle et reconnaissons qu'il fallait le trouver. 

Bruno, admirez donc votre nom en noir sur gris sur nos page cette semaine et fêtez dignement votre victoire, d'un produit non illicite évidemment. Une bonne granny smith par exemple, ou un pomelo bien juteux. Mais de grâce restez éloigné des fumeries, nous avons encore besoin de vous. 




































Sorti en 2013 et occasionnant un fort beau numéro du magazine "L'officiel", "Opium" est l'une des curiosités cinématographiques signées Arielle Dombasle, à propos de la relation tumultueuse entre Cocteau et Radiguet et l'enfer de la drogue dans lequel Cocteau plongea après le décès de son jeune amant en 1923 à tout juste 20 ans. 

C'est de plus officiellement la dernière apparition sur grand écran de Marisa Berenson qui est pourtant loin d'avoir pris sa retraite alors qu'elle le pourrait aisément, non parce qu'elle file vers ses 73 ans (une jeunette donc) mais parce qu'elle possède une filmographie, courte, certes, mais qui pourrait pousser n'importe qui à dire "J'arrête !"




































Repérée par Visconti qui regardait, en fait et selon la légende, plutôt son compagnon d'alors Helmut Berger,  Marisa Berenson va commencer sa carrière au cinéma par un joli trio : "Mort à Venise", "Barry Lyndon" et "Cabaret", ce qui ferait crier à n'importe qui "Mazette !". 

Et tant pis si à peine trois ans plus tard, elle tournait dans "L'invasion des piranhas" et quatre ans plus tard dans "Madame est servie", avec Visconti, Kubrick et Bob Fosse dans sa manche, on peut être tranquille. 
























D'autant que personne n'ignore à priori que, petite-fille de Schiaparelli, Marisa fut à la fin des années 60 et au cours des années 70 l'un des mannequins non seulement les plus populaires mais les mieux payés, avec ses copines Jerry Hall et Pat Cleveland qu'elle retrouve toujours de temps à autre pour un lunch léger. 

Pour ne rien vous cacher, nous suivons avec délices Miss Berenson sur Instagram et c'est pourquoi nous pouvons affirmer qu'elle est tout sauf oisive. Parfois au théâtre, en mission à Marrakech, à New York pour un gala ou étincelante à un vernissage, Marisa continue d'être un modèle à suivre, jamais dépenaillée, toujours bien coiffée et parfois même enturbannée. 






































Il est tout de même amusant de découvrir que sa dernière aventure théâtrale s'est déroulée au théâtre de Poche à Paris dans un spectacle intitulé "Berlin Kabarett". Un retour aux sources, déjà ? 

Non, Marisa est bien trop jeune. 


2 commentaires:

★Bruno Lucas☆ a dit…

J'ai arrêté toutes sortes de fumeries il y a 30 ans déjà !
J'ai reconnu la pommette saillante de Marisa et l'éclat d'or dans l’œil.
Un soir, lors d'une avant-première, j'étais assis à quelques sièges d'elle, qui était assise à côté de Catherine Deneuve. Inutile de vous dire que j'ai passé plus de temps à les observer qu'à regarder l'écran.
Merci pour toutes vos suaves gentillesses.
Et je trépigne de ne pouvoir répondre au nouveau quizz, car j'ai la réponse !

soyons-suave a dit…

:) Nous en doutions un peu...