vendredi 17 juillet 2015

Et maintenant dansons !



On ne pourra pas reprocher à Claudia Cardinale de s'être engouffrée dans la vague disco qui en 1977 s'apprêtait à tout emporter sur son passage. Après tout, d'autres encore moins destinés à faire transpirer les foules se sont également lancés dans l'aventure et depuis les versions disco de "Night and day" de Frank Sinatra ou l'album surréaliste d'Ethel Merman, il était évident qu'à peu près tout était possible. 

Pur produit italien, et nous ne parlons pas que de Claudia, "Love affair" ne fera pas grand chose pour l'histoire de la musique mais beaucoup pour les écoles des métiers de l'image et du son, le clip étant finalement tout ce qu'il ne faut pas faire pour faire vendre un disque. Les écoles d'esthétique s'intéresseront, elles, aux pochettes des deux 45 tours que Claudia offrira à un monde qui n'en demandait pas tant. On les étudie toujours dans les cours de "maquillage lendemain de fêtes, option je ne me suis pas démaquillée avant de me coucher". Un classique donc. 



3 commentaires:

pruneauxyz a dit…

Ah ben tiens ! J'ai récupéré le " Love Affair" en déménageant de chez mes parents. Complètement oublié à quoi ça ressemblait, n'empêche.

Anonyme a dit…

Ah c'est vous qui l'avez acheté ?

pruneauxyz a dit…

Je n'avais pas accès à l'argent, en ce temps-là ( j'ai appris à rendre la monnaie aux alentours de mes 22 ans - profession oblige ! ).