Soyons-Suave est heureux de vous offrir un high kick.
lundi 29 juin 2015
Le Quizz de Dsata.
Pour le retour du Quizz, nous devons vous avouer que nous avons décidé de nous faire plaisir, avec un film que nous adorons et quelqu'un d'absolument fascinant. Mais déjà nous sentons que nous allons trop en dire...
Donc : qui fume le cigare ? Effectivement, c'est bref mais si vous connaissez l'oeuvre dont est tirée cette capture, cela vous prendre une seconde car comment oublier cette scène ? Un seul nom par proposition. Indices mercredi en cas de panne. Et bien sûr Dsata ne joue pas. A vos cellules grises.
17 fois Cécile Cassard ?
Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 7 fois Tura Satana, ce sera déjà hautement satisfaisant.
Et maintenant dansons !
"Goes down... goes down"... en attendant il nous parait encore bien haut. Et la vidéo commence après 30 secondes de mire.
La fin du Quizz de Josée.
Oui, cela fait très longtemps. Et il n'est pas impossible que, comme nous, vous ayez été obligé de faire un très gros effort de mémoire pour vous souvenir qu'un jour, il y eut un Quizz sur Soyons-Suave et, bien pire que cela, une photo mystère non dévoilée.
C'était le 18 mai dernier, Josée nous proposait une charmante naïade et après bien des efforts, Dsata assurait qu'il s'agissait de Deborah Kerr. Stupeur ?! Deborah ? Eh bien oui, Deborah, que nous n'avions guère vu en maillot que dans "Tant qu'il y aura des hommes" et ignorions qu'elle passa, elle aussi, par la case "cheesecake". Dsata le savait, mais Dsata sait tout. Voilà pourquoi elle voit son nom en noir sur gris cette semaine sur Soyons-Suave et a totalement le droit de crier "ENFIN !!!"
Dans le charmant message qui accompagnait son Quizz, Josée nous précisait qu'il s'agissait d'un scan tiré du magazine "Screenland", que d'ailleurs nous trouvions alors, le 18 mai, sur notre ami Internet, un article expliquant combien celle que l'on surnommait "La duchesse" allait étonner son public en se révélant diablement sexy en maillot.
Depuis l'article, en tout cas le lien, a disparu et il ne subsiste dans ce vague monde qu'une toute petite trace de cet instant sexy de la future "Elle" de "Elle et Lui". Mais voyez vous-mêmes :
On reconnait le bateau, le maillot et que celui qui vient de s'écrier "la tête à Toto" se dénonce immédiatement.
Le problème avec Deborah est que, débarrassée de son bulbe roux et d'une garde robe que de toute évidence, elle ne portait pas dans la vie, si on en croit le nombre de clichés fort coquins qui circulent d'elle sur Ebay notamment (enfin par coquin, entendez petit short et brassières), eh bien on ne la reconnait pas. Elle pourrait passer pour une Grace Kelly par exemple, ce qui est acceptable comme comparaison.
Ou alors Internet nous ment. Ce qui serait très décevant. Mais pas la première fois assurément.
Le String de la semaine.
Contrairement aux idées reçues, on peut être suave en string. Chaque lundi, la preuve en image.
Et cette semaine notre ami le String est désespéré : cinq jours simplement après le début des soldes et déjà plus sa taille ?
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette six cent soixante neuvième édition, Veronica Lake présente le modèle intitulé "Ah non, c'est fini depuis longtemps la mèche".
C'est lundi !
Et puisque météorologiquement parlant, la semaine s'annonce caniculaire, nous sommes obligés d'avoir une pensée émue pour celles et ceux qui vont souffrir. Pas tous les jours facile de porter la plume si vous voulez notre avis...
vendredi 26 juin 2015
Connaissez-vous Jean-Michel ?
Impossible d'envisager une fin de semaine sans notre cher ami Jean-Michel, qui chaque fin de semaine, partage avec nous, et le monde, les plus suaves clichés de son album photos.
Jean-Michel, 28 ans, adore qu'un inconnu frappe à sa porte avec un long drink.
Et maintenant dansons !
Le plus fou, c'est quand même ce bandeau certainement doré, à n'en pas douter.
La question suave du jour : peut-on suivre les conseils vestimentaires d'une icone country ?
Nos plus fidèles visiteurs le savent, nous n'avons rien contre un peu de bluegrass de temps à autre, un soupçon de hillbilly, voire une petite cuillère de honky tonk quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle. La musique country, consommée dans la mesure qui s'impose, permet parfois d'élever l'âme. Et quand vraiment ça ne va pas, un simple photomaton de Dolly Parton réveille les humeurs les plus sombres.
Et puisque cette musique des Appalaches est finalement par certains aspects thérapeutique, ne peut-on pas envisager la chanteuse country comme un modèle à suivre, une femme suave qui s'assume et ensoleille les yeux par ses tenues chamarrées avec la même dextérité que sa musique caresse les oreilles ?
Le problème, et il est de taille, est que la chanteuse country, en gros, ne sait pas s'habiller. Ou, si nous reformulons, elle s'habille "country" ce qui est impossible à faire dans la vie quotidienne, dès lors que vous n'habitez pas Nashville, n'enregistrez pas sur 12 pistes le récit de votre enfance entre mine de charbon et alcool et n'allez pas recevoir de prix lors de cérémonies dont personne n'a jamais entendu parler en dehors d'un saloon.
La chanteuse country, par définition, contrat ou masochisme, aime la dentelle et les franges, les robes de patineuse et les brushings atomiques. Elle aime aussi lutter de façon plus ou moins marquée contre les outrages du temps. Oui, parfois la chanteuse country semble venir de Mongolie, mais c'est uniquement parce que ses yeux sont à présent au niveau des tempes, d'où ce type asiatique qui n'a rien, en lui-même, de Tennessee.
Nous serions donc sur le point de crier "noooooooon" en réponse à la question du jour, si il n'y avait eu Patsy Cline, la chanteuse originelle, l'icone absolue, la pionnière.
Née en 1932 et décédée dans un accident d'avion en 1963 à simplement 30 ans, Patsy, non seulement ouvrit la voie à toutes celles qui, grâce à elle, se dirent un jour au beau milieu des Smoky Mountains et en grattant leur guitare qu'elles pouvaient faire autre chose que 10 enfants et la lessive, mais leur montra que la frange et le daim n'était pas une fatalité. Illustrations :
Tailleurs avec basques ajustées, fourreaux sirène, corsaires avec ballerines or, robes chemise, débardeurs à la limite de la marinière couture : Patsy traversa sa courte existence avec classe et audace, le cheveux à peine gonflé, l'accessoire toujours bien choisi.
Grâce à Patsy, nous pouvons donc dire, ouf, que oui, l'icone country peut être suivie vestimentairement. Regrettons simplement que ses consœurs ne l'aient pas plus observée.
Et terminons en précisant que ce billet n'aurait jamais vu le jour si nous n'étions pas partis à la recherche d'un Instant Drag pour mercredi prochain. Nous avons été à deux doigts de faire une grosse erreur, crazy non ?
Le Brushing du jour.
Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette six cent soixante huitième édition, Pier Angeli présente le modèle intitulé "Excusez-moi madame mais vous êtes en train de perdre votre chignon !".
mercredi 24 juin 2015
Entre nous...
Suaves visiteurs, vous n'avez pas été sans remarquer qu'une légère série de turbulences ne nous avait pas permis d'être présents de nombreux lundis.
Cette série est visiblement achevée. Yeah !
Et maintenant dansons !
Remerciements éternels pour la personne qui a posté cette introuvable version par la délicieuse Marthe Lagache d'une face B des Shangri-Las qui a jadis tant fait notre bonheur...
La question suave du jour : Diana Ross et les Supremes peuvent-elles nous aider en géométrie ?
Puisque Soyons-Suave tente de rester coûte que coûte à la pointe de la suavitude, il nous a semblé important, pour ne pas dire capital, de nous pencher sur cette suave et révolutionnaire théorie, qui pourrait entrer prochainement dans les nouveaux programmes suite à la réforme du collège, et qui voudrait que Diana Ross et les Supremes soient LA solution pour nos chers petits ayant des difficultés à appréhender l'espace.
On ne parle pas assez géométrie sur nos pages, comme le regrettait encore récemment une amie euclidienne, mais c'est tout simplement parce que nous attendions le bon sujet, capable de faire entrer ici-même, angles et distances sans que cela n'évoque de trop mauvais souvenirs à nos chers visiteurs.
Le grand jour étant arrivé, venons-en aux explications.
Quiconque connait les Supremes sait au moins une chose, non pas que Diana Ross était un chameau tyrannique mais que le groupe féminin ayant eu le plus de succès au monde maîtrisait à perfection la droite. Observez les clichés ci-dessus : rien ne dépasse, on part d'un point A pour parvenir à un point C sans accroc, généralement en passant par un point B parfaitement aligné. Notons que Diana est souvent ce point B mais ce n'est pas systématique, elle peut également être le point de départ, ou d'arrivée.
La ligne droite maîtrisée, les Supremes sont rapidement passées au parallélisme, notion un peu plus complexe mais toujours parfaitement effectuée.
Et c'est alors que survient l'idée de génie : trois points donc trois sommets, reliés entre eux, à des distances variables, n'est-ce pas la porte ouverte au triangle ? Aux triangles devrions-nous préciser, car là encore, nos demoiselles de Detroit réussissent un tour de force. Isocèles, rectangles, équilatéraux, scalènes même : ce n'est plus un girls band, c'est un cours magistral.
Quid du reste ? Mais il arrive. Que ce soit avec l'aide d'amis ou en y mettant beaucoup de bonne volonté, les Supremes sont également capables de nous offrir de très généreux carrés et quelques ovales que n'aurait pas renié Descartes. Illustrations :
Ajoutons pour finir quelques figures qui restent à déterminer et qui pourraient très bien se prêter à des analyses en classes supérieures, l'ensemble étant sans doute un peu complexe pour des pré-adolescents :
Si la dernière image représente sans doute un trapèze, c'est en tout cas un polygone, à n'en pas douter.
Il nous semble donc que l'on peut, sans hésiter, répondre oui à la question du jour : Diana Ross et les Supremes peuvent définitivement aider les plus récalcitrants en géométrie. Et au pire, elles peuvent permettre, à ceux qui ne comprendraient toujours rien, de réaliser que les matières générales ne sont pas pour eux. Car, rappelons-le, il n'y a pas de honte à choisir une filière professionnelle.
Voilà pourquoi très prochainement, nous nous demanderons en quoi Les Supremes peuvent nous aider à obtenir notre Bac "Métiers de la mode", option "Couture floue".
Inscription à :
Articles (Atom)