mercredi 30 octobre 2013

Pour le plaisir.





















Soyons-Suave est heureux de vous offrir une tartine beurrée. 

L'Instant Grrr


Et maintenant dansons !



Vous ne pouvez rien dire étant donné que cela fait des mois que nous vous avons épargné notre penchant incontrôlable pour la kpop mais si quelqu'un, par contre, pouvait décrocher le téléphone...

La question suave du jour : doit-on se ruer sur la vente Oprah Winfrey ?





















Remercions le hasard, la providence ou tout simplement notre sixième sens mais figurez-vous que notre retour "de l'étranger" coïncide exactement avec le début de la formidable vente aux enchères de biens divers appartenant à la seule et unique Oprah Winfrey, pour le compte, bien évidemment, de ses bonnes œuvres. 

Depuis ce matin et jusqu'au 2 novembre, vous pouvez vous offrir, en vous rendant sur le site approprié, un petit quelque chose ayant réellement appartenu à la femme la plus puissante des USA puisque, comme l'indique le catalogue de la vente, ce n'est pas une mais quatre de ses résidences que miss Winfrey a décidé de vider. 




















Si il est, en soi, toujours utile de posséder un landau victorien, une pétrolette électrique et un escalier de bibliothèque, il est évidemment nécessaire de se demander, avant de se livrer à un achat compulsif (une enchère en l'occurrence, ne vendons pas la peau de l'ours...), si acheter un bien touché et peut-être même caressé par Oprah est suave. 

Et en toute honnêteté, avouons que cette question est vraiment compliquée. Dans l'ensemble Oprah semble avoir traversé une phase antiquités qui s'est concentrée sur des valeurs, certes sûres, mais également très fin XVIIIe début XIXe et nous savons tous que le style Chippendale ou Empire ne va pas avec tout. 





















Et même si un Récamier est toujours confortable, nous sommes toujours tentés de l'entourer d'un cordon de sécurité et d'un panneau "Ne pas toucher". 

Heureusement, Oprah, qui possède un goût charmant, a su également s'entourer de pièces, non seulement plus accessibles en terme de prix mais surtout beaucoup plus facile à accessoiriser. Elles sont de style... Winfrey, qui est, nous semble-t-il, le terme qui convient. 




















Il faudrait franchement être difficile pour ne pas trouver une folie à s'accorder au milieu de ce déluge de chaises, de chandeliers, de tapis, de portraits... Voici d'ailleurs une modeste sélection de pièces dont la mise de départ n'est que de 100 dollars. 

Une babiole...


















Et nous avons tout de même lancé une petite recherche concernant le dernier bien : Marie Amélia n'est pas un pseudonyme du Douanier Rousseau. 

Sachez pour finir que les mastodontes de cette vente sont français : un lustre en cristal et un bureau Louis XVI estampillé, respectivement mis à prix 10 000 et 15 000 dollars, parfaits pour une résidence secondaire. 




















Si nous devions participer (ce que malheureusement, la réfection complète des sanitaires de nos locaux nous empêche de faire), c'est vers cette couverture de Vogue daté d'octobre 1998 que nous lorgnerions, non en raison de sa valeur marchande mais parce que nous pensons que c'est précisément cette pièce que Oprah va le plus regretter. 

En 1998 Oprah était mince et affûtée comme une amazone, grâce, entre autre, aux conseils de son gourou minceur le docteur Bob Greene, qui, par une étrange coïncidence, vend, lui-aussi, aux mêmes dates, l'ensemble de ses biens mais pour des raisons différentes : il est en faillite. Il faut dire que depuis, Oprah a repris 40 kilos. La publicité est décidément une arme à double tranchant. 


Mais avant de poursuivre, une retouche maquillage...


C'est mercredi : soyons LGBT !

Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne". 

C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.




Le Brushing du jour.

































Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq cent unième édition, Samantha Eggar présente le modèle intitulé "Après la tempête". 

mercredi 23 octobre 2013

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est heureux de vous offrir un très joli terminal. Nous serons de retour mercredi prochain et d'ici là, évidemment, soyez suaves. 

L'Instant Grrr


Et maintenant dansons !



Excusez-nous mais nous sommes déjà un peu partis...

La fin du Quizz de Claire.



















Suaves visiteurs, bouleversons nos habitudes et avouons immédiatement ce que nous ne comptions vous annoncer qu'en fin de journée : nous allons lâchement vous abandonner pendant une semaine et ce, à partir de ce soir. 

Comme nous serons encore absents lundi prochain, il ne nous semblait pas suave de vous laisser dans un suspense insoutenable, aussi voilà : le chignon tourbillonnant appartenait bien à Bette Davis et lançons qu'il s'agit d'une victoire collective. Nina a lancé des initiales, Céline de la Saga Bette Davis et Mo', enfin, a donné le tiercé dans l'ordre. Assisterions-nous à la création d'une coalition anti-Quizz ? 












La chose était bien extraite (nous parlons de la capture d'écran mais il en va de même pour la perruque) de l'extraordinaire "Where love has gone" de Edward Dmytryk, qui, en 1964, ne cherchait même pas à cacher qu'il n'était qu'une adaptation, à peine déguisée, de l'affaire Johnny Stompanato. 

Cheryl Crane, fille de Lana Turner, venait d'assassiner l'amant mafieux de sa maman. Dans "Where love has gone", la fille de Susan Hayward trucide l'amant peu recommandable de sa mère indigne, une traînée, comme elle l'avoue elle même. 














Il serait amusant de connaître le nombre de spectateurs qui, en 1964, crurent assister à la nouvelle production de Ross Hunter, tant "Where love has gone" en possède tous les signes caractéristiques : budget pharaonique, costumes de Edith Head, cast principalement féminin et ayant globalement dépassé la quarantaine, suffisamment de laque dans les cheveux de tout le monde pour ajouter une fissure à la couche d'ozone et l'atout vintage inévitable. Ici, nous parlons de Bette Davis. 

Ajoutons que le scénario, adapté du roman du même nom, se moque d'être vraisemblable et n'hésite pas à y aller franchement : Susan est une artiste moderne et délurée donc elle ne peint pas mais soude, Mike Connors n'est pas heureux car son épouse est nymphomane donc il devient alcoolique et surtout, Bette Davis est la mère de Susan Hayward alors que dans la vie seules neufs années les séparent donc elle arbore un chignon argenté. 























Nous reviendrons prochainement sur ce film tant il est miraculeux et tant l'inimitié entre les deux stars féminines fit les gros titres mais savourons le fait que, si, dans "Where love has gone", Bette Davis pouvait se targuer d'avoir eu son portrait, Susan prit sa revanche trois ans plus tard dans "La vallée des poupées". Et nous pouvons supposer en voyant le résultat qui, des deux, jugea judicieux d'acheter le-dit tableau à la fin du tournage. 

Ajoutons pour finir que Susan prit un avantage conséquent sur sa rivale le temps d'un tournage grâce à un accessoire pourtant généralement réservé à Joan Crawford. 


































Ne jamais mésestimer le potentiel suave de la hache; jamais ! 

Mais avant de poursuivre, une retouche maquillage...


C'est mercredi : soyons LGBT !

Chaque mercredi, Soyons-Suave propose une tribune aux minorités opprimées, puisque la suavitude passe aussi par le respect et la compréhension. Quelqu'un a dit : "Il faut commencer par s'aimer pour pouvoir aimer les autres", ajoutons "Il faut reconnaître la suavité de l'autre avant de s'attaquer à la sienne". 

C'est donc avec fierté que nous vous offrons un roman lesbien, une moustache et un instant transgenre.




Le Brushing du jour.
















Parce qu'on n'a jamais assez de hauteur, de laque et d'anglaises, revisitons les plus suaves créations capillaires. Et pour cette cinq centième édition, retrouvons celle avec qui tout a commencé le 26 avril 2010, Ann Miller, qui présente le modèle intitulé "Mon secret"... les modèles en l'occurrence mais maintenant nous savons comment être toujours bien coiffés. 

lundi 21 octobre 2013

Pour le plaisir.

































Soyons-Suave est très heureux de vous offrir la joie de la glisse facile. 

Le Quizz de Claire.





















Claire n'est pas seulement notre Maharané, c'est également une cinéphile convaincue qui a décidé de remettre ce soir le Quizz dans le droit chemin. Finies les âneries nous a-t-elle annoncés par email, il est temps de retourner au cinéma. 

Nous voici donc en présence d'un fort beau chignon poivre et sel sur lequel nous ne dirons rien de plus, sinon qu'il est très bien tourné. Qui n'a pas les cheveux dans les yeux ? Qui, par contre, héberge certainement des dizaines d'épingles ? Une idée ? Alors nous vous attendons. Indices mercredi en cas de panne. A vos cellules grises. 

17 fois Cécile Cassard ?






























Non, 17 fois Cécile Cassard, ce serait trop. Contentons-nous de 10 fois un classique hollywoodien revisité par la Suède, ce sera déjà hautement satisfaisant.