Bien sûr il y a le côté Rudolph Valentino du pauvre ou Poulidor du muet si vous êtes amateur de vélocipède mais en y regardant de plus près, il est possible que nous soyons passés à côté d'une certaine fragilité, de mélancolie dans le regard, voire une certaine détresse qui se révélera définitivement tragique en 1968. Nous nous rachetons un peu aujourd'hui. Et puis Ramon fut Ben-Hur et il est toujours très suave de gagner une course de chars.
3 commentaires:
C'est Ramon NOvarro, mes amis.
Bruno
Alors, on n'écoute pas Bruno ?
On vous dit que c'est NOvarro. Le responsable de la mise à jour qui n'arrête pas de se tirlipoter va finir par se faire choper.
Prends garde à toi.
Ton ami Randolph
"Rudolph Valentino du pauvre" ? Grrr !
Il était doté d'une énergie inconnue chez Valentino et ses films sont encore regardables, son jeu est moins daté, pas du tout caricatural.
"Ben Hur" est un peu lourd (le remake aussi), mais "Le Prince étudiant" de Lubitsch est une merveille d'émotion.
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