Il est toujours intéressant de découvrir qu'on ne sait pas toujours tout sur les gens qu'on aime, même lorsqu'on croit bien les connaître. On pense ne rien ignorer des goûts d'untel, du caractère de machin, il est une évidence pour nous que chose aime la tarte aux fraises et truc ne déteste pas être fessé.
Et arrive le jour où le hasard, la chance, parfois l'alcool, nous fait envisager une facette jusque là totalement obscure de ceux dont on aurait pu dire : "c'est comme si je l'avais fait". Prenons Marlon Brando. Acteur méthodique totalement voué à son art, il était certain que l'art dramatique coulait dans ses veines. On ne pouvait également passer à côté de sa passion pour les grosses cylindrées... ni la cause des natifs américians que certains appellent encore les indiens. Vers la fin de sa vie il avait développé une certaine tendresse pour la crème glacée. Et tout cela on le sait.
Et pourtant non, c'est avec surprise que la véritable passion de Marlon est apparue aux détours de photographies. Ce n'était ni les sioux, ni les Harley Davidson, ni la Macadamia Nutt Brittle. C'était le bongo.
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