vendredi 11 décembre 2015

La question suave du jour : mais comment va Barbra Streisand ?


































Franchement, s'il y a quelque chose que nous ne regrettons pas dans les petits arrangements que nous avons opérés dernièrement (passage à Windows 10 forcé, installation de thermostats connectés dans nos locaux et abandon du gluten... non, c'est une blague), c'est bien la création d'une alerte "Barbra Streisand" sur Google. 

D'accord, cela n'a l'air de rien, mais cette fonctionnalité nous a permis, ces dernières semaines, de vérifier l'étonnante vitalité de celle qu'on imaginait, à 73 ans, s'occuper simplement de ses bichons frisés ou, par habitude, récolter quelques fonds pour les démocrates entre 2 et 3. 






















Merci Google, nous savons à présent qu'il n'en est rien. 

Décorée fin novembre par le président Obama de la Médaille de la Liberté (en compagnie de Steven Spielberg et Gloria Estefan), elle était il y a trois jours l'invitée d'honneur du déjeuner des 100 femmes les plus influentes d'Hollywood, accueillie pour son discours par Robert Redford, recréant par la même occasion un couple qui est... toujours aussi charmant, non ? 


















Mais loin de se contenter d'activités caritatives, philanthropiques ou simplement honorifiques, Barbra annonçait il y a deux jours au monde qu'elle entendait retourner derrière les caméras, ce qu'elle n'a pas fait depuis 20 ans. 

Son projet de réalisatrice : un biopic sur Catherine II de Russie, dont on ignore encore à l'heure actuelle le casting (jouera-t-elle la tzarine ?), le calendrier et surtout si on y chantera. 

































Nous ignorions que la presse était encore intéressée par un entretien, hors promotion, de la Diva Ultime. C'était le cas, hier en tout cas, du magazine Variety qui souhaitait, comme ça, soudainement, savoir ce que miss Streisand pensait de la musique actuelle. 

Pas grand chose en fait puisqu'elle n'a pas de temps pour cela, travaillant à un nouvel album, ce qui est donc la quatrième nouvelle streisandienne en 15 jours. Elle lançait tout de même être très admirative du combat de Taylor Swift contre Apple, rappelant qu'elles étaient d'ailleurs les deux seules femmes dont les albums avaient été certifiés platine en 2015.  Car oui, "Partners" et ses improbables duos (Elvis Presley ???) s'est bien vendu à plus d'un million d'exemplaires. 









































Et pour finir en musique, ajoutons qu'il nous est tombé entre les mains par un hasard qu'il serait trop long à expliquer, un 45 tours sur lequel figure deux chansons qui ne parurent jamais sur le moindre album. 

C'était en 1968, Barbra s'essayait à quelque chose de plus "contemporain", avec un succès très modéré mais qui payera trois ans plus tard avec l'album "Stoney end", la faisant passer de Broadway à Woodstock. 




Définitivement suave.

Donc dans l'ensemble, Barbra Streisand va très bien. La suivre est juste épuisant. 

2 commentaires:

★Bruno Lucas☆ a dit…

Evergreen.

Anonyme a dit…

...et toujours pas d'alerte pour "Gypsy"???