Voilà ce que c'est lorsqu'on s'absente : la fin de Quizz traîne et finit d'ailleurs par refroidir. Est-ce pour cela qu'il faut passer sous silence une victoire ? Bien sûr que non ! Rappelons donc qu'il fallut moins de 2 heures à Marianne pour démasquer Albert Finney dans "Two for the road", avec la bénédiction (désespérée, certes, mais sincère) de Bruno.
Marianne, c'est donc votre nom qui s'inscrit aujourd'hui en noir sur gris sur nos pages. Vous recevez nos félicitations, notre admiration et du muguet un peu défraîchi mais cela n'enlève rien à ses effets porte-bonheur. Ne dîtes rien, nous savons que cela vous fait plaisir.
Si vous n'avez jamais vu "Two for the road / Voyage à deux", réalisé par Stanley Donen en 1967, vous loupez un de ces films qu'on adore ou qu'on déteste avec le même enthousiasme et qui a donc déjà le mérite de ne pas laisser totalement indifférent.
"Two for the road" reste d'ailleurs le plus gros échec d'Audrey Hepburn au cinéma, un film que pas grand monde ne comprit lors de sa sortie mais qui demeure le préféré du réalisateur, tout comme sa bande-originale était celle dont Mancini était le plus fier. Un film paradoxal par conséquent. Mais comme la vie, qui est, comme personne ne l'ignore depuis la scène finale de "La Fleur de mon secret" d'Almodovar, cruelle ET paradoxale.
Quoi qu'on en pense, "Voyage à deux" est effectivement un voyage très nostalgique, au look et à l'esthétique d'un chic rare, avec Audrey Hepburn en Paco Rabanne, Jacqueline Bisset en quasi figurante et une musique envoûtante. Et c'est si suave qu'on ne voit pas comment ne pas aimer.
Pour revenir à notre inconnu, Albert Finney, avouons deux choses. Tout d'abord, il fait partie des acteurs dont nous sommes toujours persuadés qu'ils sont décédés alors que pas du tout. Mais surtout, en relation peut-être avec le premier point, nous le prenons toujours pour quelqu'un d'autre, avec une prédilection pour Bobby Darin, Dennis Hopper et Telly Savalas.
Et voici à présent pourquoi :
Nous sommes fous ou nous sommes fous ?
2 commentaires:
Albert Finney a été avant Terence Stamp le plus bel anglais du monde...
http://romances.com/movie-freezes/Tom%20Jones/tomjones65.jpeg
j'espere que ça marche...
C'est gag, sur la photo où il tient si fermement la petite Annie, on dirait qu'il lutte contre l'envie irrépressible de l'écrabouiller sur place... Un peu comme n'importe qui ayant eu la malheureuse occasion de visionner le film OUARF !
Pruneauxyz.
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