La légende veut que le jeune Gary Cooper du sa carrière impressionnante, 36 années d'activité et 3 Oscars, à ses talents auprès des dames (et des messieurs), qui reconnurent toutes, de Marlène Dietrich à Mae West en passant par Paulette Goddard ou Clara Bow (à qui on doit l'immortelle réflexion sur Gary "Trop de beauté et trop de pénis"), que la nature avait été avec lui outrageusement généreuse. Débonnaire, Gary reconnaissait humblement qu'il ne devait ses performances qu'à l'assiette de choucroute qu'il dévorait chaque matin.
Les simples spectateurs que nous sommes ne pouvons admettre qu'une chose : que Gary Cooper était invraisemblablement beau, trop beau même, ce qui n'est presque pas suave. Car c'est ce qu'il y a d'injuste avec la beauté, au même titre que la cellulite ou la bosse des maths, lorsqu'elle s'abat sur une victime qui n'a rien demandé, il n'est pas rare qu'elle s'acharne.
1 commentaire:
On dirait un des mes cousins du Cantal après la traite !
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