dimanche 16 août 2009
Le quizz de Tom.
Pour ce dernier quizz de l'été, changeons nos habitudes : ne cherchez pas la star en devenir dans un visage juvénil mais la gloire passée dans un visage vieillissant. Immense star, elle sortit de sa retraite pour une dernière apparition sur un écran dans les années 60 et c'est cela que vous avez à présent sous les yeux. Pas d'indice, parce que cela suffit de trouver rapidement et surtout parce qu'il va falloir vous occuper pendant 15 jours puisque SOYONS-SUAVE PART EN VACANCES !!! Mais nous penserons à vous...
Bonne fin d'été, soyez suaves et rendez-vous en septembre.
La fin du quizz
D'accord, d'accord, il s'agissait bien de Natalie Wood, nous pensions que les lunettes de soleil freineraient un peu votre perspicacité mais non et donc félicitations, aux anonymes mais surtout à Tom qui voit donc son nom en blanc sur noir sur Soyons-Suave. Comme Claire avant lui, il devient le héros du prochain quizz, en espérant que lui-aussi trouve cela suave. Claire ne nous en a dit que du bien.
Les archives secrètes de Soyons-Suave.
La vie de Natalie Wood, notre dernière invitée mystère rapidement identifiée, pourrait facilement alimenter de nombreuses archives secrètes de Soyons-Suave. Nous pourrions évoquer le mystère entourant sa mort par noyade en 1981 (accident, suicide, meurtre ?). Il serait intriguant de revenir sur l'étrange prédiction de la diseuse de bonne aventure annonçant à sa mère qu'elle aurait une fille qui toute sa vie devrait se méfier de l'eau. Et que penser de ses années d'escort girl pour Henri Willson, l'agent qui lança Rock Hudson et une dizaine de stars masculines totalement gays auxquelles Natasha Gurdin (son véritable nom) servit de couverture ?
Tout cela serait bien sûr passionnant mais ne perdrions-nous pas un peu de cette suavitude qui fait que bientôt 2000 personnes nous auront visité (c'est une métaphore) ? Il reste heureusement une facette woodienne à explorer : le mystère des bracelets.
Scrutez attentivement ses films, observez à la loupe ses photos, surfez pendant des heures sur Google, jamais vous ne verrez Natalie Wood sans bracelet au poignet gauche. Coquetterie, superstition, que nenni, il s'agissait en fait d'une simple politesse de la part de l'actrice, afin d'épargner aux spectateurs ceci : c'est au niveau du poignet gauche que cela se passe.
A l'âge de 11 ans, sur le plateau de "The Green promise" en 1949, la petite Natalie déjà vétérante, se cassa le poignet. Mais craignant que cela ne ralentisse le tournage, ou pire, qu'on remplace sa fille, madame Wood, aimante, décida qu'on ne ferait rien et que Natalie poursuivrait en serrant les dents. Sans soin adéquat, l'os dévia légèrement. Et jusqu'à la fin de sa vie, l'héroïne de "La fureur de vivre" ne fut plus jamais vu le poignet nu, afin de dissimuler sa malformation.
Les mères peuvent être cruelles, les enfances hollywoodienne difficiles mais il faut être extrêmement suave pour transformer une légère difformité en leçon de style. Car si Natalie ne fut jamais sans son bracelet, ce ne fut jamais le même non plus.
mardi 11 août 2009
Le quizz anonyme
Qui se cache derrière ces lunettes, ce foulard... et c'est tout puisque le reste est assez révélateur et, notons-le, coordonné ? Une silhouette parfaite, presque féline ! D'ailleurs cette charmante actrice n'aimait pas l'eau. Comme quoi on peut n'envisager la piscine qu'en tant que solarium. A vos claviers. Le titre de cette rubrique est à prendre. Et la révélation donnera lieu à une étonnante archive secrète de Soyons-Suave.
dimanche 9 août 2009
Le string de la semaine.
Dans quelles situations est-il suave de prendre sa bien-aimée dans les bras ?
Imaginons : c'est dimanche, l'air est doux, le temps lent, parce qu'elle finit de cuire une tarte aux pommes dans la cuisine, parce qu'elle a mis un twin-set qui lui va bien ou tout simplement parce qu'elle est vôtre, l'envie irrésistible vous prend de saisir votre bien-aimée dans vos bras. Mais l'amour et surtout les démonstrations d'affection étant une affaire de timming, il n'est pas pensable de fondre sur elle sans réfléchir. Voici donc, en images, quelques situations propices et d'autres qui ne le sont pas du tout.
Vous pouvez la prendre dans vos bras :
Lorsqu'elle épluche consciencieusement des légumes pour son fameux tian...
Lorsqu'elle pousse une brouette...
Alors qu'elle loupe une des marches de l'entrée, votre geste n'en sera que plus héroïque...
Lorsque vous la découvrez, de biais, à genoux sur le gazon.
Lorsqu'un arbre vous sépare, un calin se fait à deux, pas à trois et encore moins avec un hêtre...
Alors qu'elle se sert une tasse de café, on ne surprend pas une femme lorsqu'elle manipule un liquide à plus de 40 °...
A la fin d'une mélodie romantique car même si elle est conquise, le contact de la guitare risque de la surprendre...
Alors qu'elle apporte la touche finale à votre futur chandail, une femme ne supporte pas qu'on lui fasse sauter une maille.
Finalement, il est beaucoup plus suave d'attendre que ce soit elle qui vous manifeste son désir. Elle tournera légèrement la tête et vous proposera sa tempe, pour que vous y appliquiez la vôtre. Elle posera sa main frèle sur votre épaule, signe que vous pouvez lui agripper l'omoplate. Et vous connaîtrez alors la félicité.
La fin du quizz.
Il s'agissait bien de l'homme qui contribua à faire des années 80 une décennie que le bon goût oublia : Don Johnson, le flic à Miami, l'homme aux manches retroussées. Mais à sa décharge, sa contribution à la mode s'inscrivait dans un élan général, aux côtés du tee-shirt déchiré de Jennifer Beals dans "Flashdance" et de la mèche de cheveux dépassant du tchador de Sally Field dans "Jamais sans ma fille".
Les photos surprenantes étaient tirées de la pièce de théâtre qui allait le révéler au monde et à Mélanie Griffith : "Fortune and men's eyes", produite, mise en scène et interprétée par Sal Mineo, un drame gay en prison dont les scènes de viol, nombreuses, ne rivalisaient qu'avec les scènes de douche où les acteurs apparaissaient nus.
Félicitations à notre visiteur anonyme qui pourra, dans les prochains jours, remettre son titre en jeu face à, entre autre, Claire, dans notre prochain : "Le quizz anonyme". Mais en attendant, ne nous privons pas d'autres clichés de cette pièce dans laquelle il était, semble-t-il, suave d'être en slip kangourou.
Choisissez un chapeau avec Joan Crawford.
Chaque semaine, comme son homologue le string, Joan Crawford, une des femmes les plus élégamment chapeautées, vous apprend à choisir un bibi. Pour cette troisième leçon, les mots à retenir sont : "faisan, turban et géant, mais vraiment géant". Tous ensemble : "faisan, turban et géant, mais vraiment géant". Merci Joan.
Est-il suave d'être trop beau ?
La légende veut que le jeune Gary Cooper du sa carrière impressionnante, 36 années d'activité et 3 Oscars, à ses talents auprès des dames (et des messieurs), qui reconnurent toutes, de Marlène Dietrich à Mae West en passant par Paulette Goddard ou Clara Bow (à qui on doit l'immortelle réflexion sur Gary "Trop de beauté et trop de pénis"), que la nature avait été avec lui outrageusement généreuse. Débonnaire, Gary reconnaissait humblement qu'il ne devait ses performances qu'à l'assiette de choucroute qu'il dévorait chaque matin.
Les simples spectateurs que nous sommes ne pouvons admettre qu'une chose : que Gary Cooper était invraisemblablement beau, trop beau même, ce qui n'est presque pas suave. Car c'est ce qu'il y a d'injuste avec la beauté, au même titre que la cellulite ou la bosse des maths, lorsqu'elle s'abat sur une victime qui n'a rien demandé, il n'est pas rare qu'elle s'acharne.
samedi 8 août 2009
Le quizz de Claire. Nouvel indice.
Cédant devant la pression, voici un nouvel indice pour le quizz de Claire qui risque d'être prochainement rebaptisé... Ce nouvel angle, disons-le assez osé, met-il plus en lumière cet acteur alors débutant qui lança à la télévision dans les années 80 la mode des manches de vestes de costume retroussées ?
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