Martine Carol était l'invitée de la semaine...

 

Oui mais voilà, c'est fini. De toutes les façons, il fallait bien que cela s'arrête un jour, un peu comme "Soyons-Suave en vacances" d'ailleurs. Nous la remercions du fond du coeur d'avoir accepté de passer cette dernière semaine en notre compagnie, c'était un plaisir, que nous avons trop longtemps retardé. 

Un peu comme le moment cruel où nous allons nous dire au revoir. Mais franchement, nous sommes un peu trop avancés dans septembre pour continuer à lancer des billets intitulés "C'est l'été...". 

Aussi Suaves visiteurs, nous allons vous embrasser sur les deux joues, tous, vous redire à quel point cela fut une joie de passer ce nouvel été en votre compagnie. Et espérer, à priori il n'y a pas de raison, vous retrouver pour fêter encore Noël ensemble.  D'ici là portez-vous bien, soyez sages et évidemment, soyez suaves. 

"Et le Quizz ???" s'écrient les plus mordus d'entre vous ! Bon dieu vous avez raison. A lundi donc pour couronner le ou la gagnante. 

Chouette, un jour de plus ! Donc une Martine de plus aussi. Mais c'est bien parce que c'est vous. 

 

Nous sommes vendredi : sortons dîner !

 

Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !

Nous avons débuté notre nouvelle saison estivale en sa compagnie (et celle de Jocelyn Brown), il était donc logique de clôturer cet été House avec, une fois encore, une déclaration d'amour à Martha Wash, la reine absolue des dancefloor, la diva House ultime, celle dont la voix fut 10 000 fois pillée mais qui jamais ne se laissa faire, et gagna donc autant sa vie grâce à ses disques qu'aux énormes compensations financières reçues à chaque fois qu'elle fit un procès, et elle en fit beaucoup. 

Difficile de croire que c'est bien la même personne qui fut choriste pour Sylvester, puis une des deux Weather Girls du mythique "It's raining men". La même qui fut en fait la voix de Black Box et leur millions d'albums, celle de "Everybody dance now" de C&C Music Factory. Et qui est toujours là, solide, souriante, engagée. 

Martha, on ne peut que vous dire merci. Et dansons, évidemment. 

Que manger ce weekend ?

 

Des côtelettes et de la purée ? Oh, ça sent la rentrée ! 

Le trio du jour.

 

Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois idées lecture pour prolonger l'été. 

Soyons plastique !

 

Pendant ce temps, à la piscine...

 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

Et elle vous dit bonjour ! 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

 

Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes jeudi : sortons dîner !

 

Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !

Le titre House du jour est un monument qui va faire que ce billet sera sans doute le plus court de l'été. Signé Hercules & Love Affair, collectif new-yorkais créé en 2004 qui invite pour chacun de ses morceaux un artiste qu'il admire, en 2008, c'est vers Antony de Antony and the Johnsons que se tourne HLA (oui, on peut dire HLA, c'est plus court et encore plus chic que Hercules & Love Affair" et cela donnera "Blind", à ce jour leur plus gros succès. 

Mais, pour que le triomphe soit total, ajoutons que c'est avec le remix de Franckie Knuckles que le titre se hissera vers le panthéon de la House, Franckie, celui avec qui tout a commencé, y compris notre été House le 8 juillet dernier.  

Est-ce à dire que HLA est moins percutant sans un remix génial ? Pas du tout. Et même s'ils sont un peu plus sombres depuis ces dernières années, ils restent fort dansant. Et si en plus il y a Antony...

C'est l'été : assommons un mammouth !

 

Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolitique. 

Le trio du jour.

Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous rappeler que Martine était vraiment la reine des couvertures. Jusqu'au bout... 

Soyons plastique !

 

Pendant ce temps, à la piscine...

 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

 

Et elle vous dit bonjour ! 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes mercredi : sortons dîner !

 

Et si en plus le restaurant, là-bas, tout là-bas fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !

Une nouvelle fois, le hit House du jour est une "escroquerie" et bien entendu, vous aurez remarqué les guillemets. Ce mot veut simplement dire que Soulsearcher n'existe pas, c'est un pur produit de studio fomenté par le dj et producteur de Miami Marc Pomeroy, qui compte au moins 15 alias sur sa page Discog.  

Si par contre vous ajoutez un espace à ce nom, vous tomberez sur les Soul Searchers qui, eux, furent un véritable groupe de funk des années 70 qui offrirent de nombreux samples à la House Music. Si enfin vous omettez totalement le "Soul", vous serez alors face aux Searchers, quatuor britannique des années 60 auquel nous devons "Sweets for my sweet" qui deviendra "Biche ô ma biche" pour Franck Alamo. 

Anyway, "Can't get enough" est un titre suffisamment suave pour que nous vous en proposions le mix original. Enfin presque. Sorti en version instrumentale dans l'indifférence en 1998, Marc Pomeroy comprit qu'il manquait quelque chose et ce furent les voix de Donna Allen, qu'il emprunta au Miami Sound Machine de Gloria Estefan et de Thea Austin qui sera 4 ans plus tard la vocaliste de Snap !  sur "Rhythm is a dancer". Avec des paroles, ce sera un triomphe et sa "suite" en 2003 avec les mêmes sera presque aussi bien. Non, aussi bien en fait. 

C'est mercredi : sortons les ficelles !

 

Et aujourd'hui, notre ami le string est un peu marri : il aurait bien aimé une dernière baignade mais il a bêtement oublié ses brassards. 

Le trio du jour.

 

Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois Martine pas du tout blonde. 

Soyons plastique !

 

Pendant ce temps, à la piscine...

 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

 

Et elle vous dit bonjour ! 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

 

Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes mardi : sortons dîner !

 

Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !

Nouveau jour, nouveau hit et là, nous sommes presque face à un phénomène avec le "Shine on me" de Praise Cats et la participation vocale d'Andrea Love, qui, pour cette dernière, va décorer une dizaine de titres dans les années 2000, rejoignant ainsi le club très fermé des "Voix qu'on connait sans savoir à qui elles appartiennent". 

Nous sommes en 2002, la House envahit le monde et la vidéo qui tournera en boucle sur MTV nous rappelle qu'à la même période, la branche Acid de la House est déjà en activité. Ce n'est plus un clip, c'est un trip. 

En fait Praise Cats n'existe pas. Derrière ce nom se cache le producteur américain originaire de Chicago (forcément) Eric Miller, qui va contribuer à l'explosion de la House sous son nom mais surtout sous celui de E-Smoove. Et c'est finalement récemment que nous avons fait le rapprochement en voulant en savoir plus sur Latanza Waters, autre diva dans l'ombre, et en découvrant qu'elle était son épouse. Un couple suave par conséquent. Et très deep house.

Souffrant sans doute d'un trouble de la personnalité, et d'un vraisemblable problème d'ego, Eric Miller connaîtra également le succès sous le nom de Thick Dick, poliment "Pénis épais" et produira pour "Insatiable" un clip qui est un who's who de la House en ce début des années 2000 : tout le monde y fait une apparition, c'est à dire quiconque se trouvait dans les 20 premières places du classement dance en 2002. 

Pour revenir à "Shine on me", il est possible qu'il ait été le titre le plus remixé depuis l'invention du remix, ce qui est d'après nous une bonne chose puisque, à sa sortie même, la version originale semblait déjà datée. Il y a deux ans, c'est le duo de dj français Les Bisous qui s'y est attelé et c'est depuis la version qui tourne dans notre campagne verdoyante. Les vaches adorent. 

C'est l'été : assommons un mammouth !

 

Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolithique.

Le trio du jour.

 

Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous prouver que Martine Carol était en fait une actrice très littéraire. 

Soyons plastique !

 

Pendant ce temps, à la piscine...

 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

 

Et elle vous dit bonjour ! 

Martine Carol est l'invitée de la semaine...

Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Le Quizz de l'été volume 7

 

Suaves visiteurs, nous allons finir par devoir nous tourner vers la chimie pour calmer nos nerfs car cette fin d'été est terrible. En identifiant "Une place au soleil", Nina, non seulement reçoit notre admiration enthousiaste mais de plus 3 points, ce qui la place à égalité avec LouisD. Si si ! Nous avons compté et recompté et c'est bien cela. 

Voyez plutôt : avec 6 points, nous avons à égalité Nina et LouisD, suivis par Irène à 3 points et enfin Gatsby à deux points. Le quizz de ce soir va-t-il enfin permettre de voir se dégager un gagnant ou une gagnante ? C'est à peine supportable ! 

Tout aussi insupportable est l'envie, lorsqu'on évoque "Une place au soleil", de poster tout ce que nous avons sous la main de Liz et Monty, parce qu'une telle beauté au carré, c'est littéralement inhumain. N'oublions donc pas que pour son rôle fort ingrat, Shelley fut nommé pour l'oscar de la meilleure actrice, pendant qu'Elizabeth n'avait rien. 

De toutes les façons, en 1952, c'est "Un tramway nommé désir" qui rafla tout ou presque. Le film de George Stevens repartit tout de même avec 6 statuettes, dont une énième pour la costumière Edith Head. Et cette musique ! Devons-nous en parler de cette musique ? 

Ainsi donc voici un nouveau Quizz, qui devrait normalement séparer les amateurs des professionnels du film mystère, et voilà ce que cela donne : 

Une idée ? Une intuition ? Une certitude ? Ne tardez pas ! A vos cellules grises ! 

Et maintenant dansons !

Pour cette nouvelle semaine de tube House, voici encore un titre que nous glisserions bien dans nos bagages en direction d'une île déserte, déjà parce qu'il est formidable, et surtout parce qu'il ne nous a jamais déçu depuis 2003, date de sa sortie. 

Il n'est pas impossible d'ailleurs que "Butterflies" ait été le premier morceau interprété par Dyanne Fearon, qui va de sa voix douce enchanter toute la décennie 2000, et continue encore, d'ailleurs. Le collectif anglais Reel people fut d'ailleurs une sorte de radar à voix à la même période, collaborant avec des artistes en devenir comme Omar, Angela Johnson ou Vanessa Freeman. Et si tout ceci ne vous dit rien, alors vous avez un peu loupé la coolitude du début du nouveau millénaire. 

Une fois encore, il existe des dizaines de remix de "Butterflies" mais croyez-nous lorsque nous affirmons que seul le Soul Heaven Mix dégage cet essentiel degré de suavitude. A l'inverse, et par un phénomène que nous ne comprenons pas, tous les "Butterflies" sont suaves. Lorsqu'ils s'énoncent en anglais, évidemment. Quoi que...

Soyons plastique !

 

Le trio du jour.

 

Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir l'occasion de ne plus se tromper : Marcel, c'est Merkes, et Paulette, c'est Merval.