lundi 2 mars 2020

La fin du Quizz de Nina.




































Décidément, se diront certains et certaines, les Quizz sont en ce moment des feuilletons fleuves, non qu'ils mettent des années à tomber mais des semaines à être solutionnés. Normalement, Soyons-Suave reprend ses parutions régulières aussi attendons-nous à une régularité toute helvétique, jusqu'à la prochaine interruption, bien entendu. 

En tout cas, notre dernier invité mystère était bien Colin Farrell dans la version 2012 de "Total Recall", ce qui n'échappa pas à Gatsby qui enchaîne les victoires comme un invité affamé les toasts au tarama lors d'un vernissage. Cher ami, recevez nos félicitations les plus sincères ainsi que nos remerciements émus pour les propositions de Quizz qui ne manquent jamais de suivre de près vos victoires. C'est très chic et suave. Merci. 




































Parmi les choses que nous aimerions pouvoir connaître, parmi lesquelles la maîtrise des langues celtiques, savoir si "pâté croûte" prévaut sur "pâté en croûte" ou la date de fin des travaux de ravalement de nos locaux, il en est une qui se trouve très en haut de la liste : les raisons profondes qui poussent un studio à se dire que le remake (ou reboot, plus 2020) d'un "classique" récent est forcément une bonne idée. 

Cela ne fit en tout cas aucun doute aux dirigeants de Sony qui en 2012, et alors que personne ne demandait rien, choisirent de refaire "Total Recall", sorti tout de même sur les écrans en 1990, une éternité pour un jeune producteur, avant-hier pour un cinéphile plus confirmé. 

Car c'est tout de même cela le fond du problème, le fait qu'à ce jour, aucune manifestation de spectateurs réclamant à l'aide de mégaphones un nouveau "Carrie" ou un autre "Freddy" n'ait été observée, alors que les reboots continuent d'arriver. 





   
Nous pouvons cependant comprendre l'envie de donner à Colin Farrell un rôle de premier plan, surtout si sa prestation est précédée d'un entrainement intensif en vue de scènes sans chemise, puisqu'il demeure agréable à observer sur grand écran et qu'il permet de faire passer relativement facilement 120 minutes.

Car, rumeurs d'alcoolisme, de drogues et sex-tape mises à part, Colin semble être un garçon très sympathique, avec lequel on peut imaginer partager un moment au pub (il est irlandais) ou même une semaine de vacances, quant on songeait à peine à éventuellement une séance de renforcement musculaire avec Arnold. 

Un moment de qualité avec Colin nous permettrait par exemple d'évoquer avec lui ses jeunes années de mannequin à Dublin, dont étrangement il parle peu, par modestie, certainement.





    































Vous nous direz alors qu'Arnold pourrait, lui, nous éclairer sur la bonne température de la poêle lors de la réalisation de Wiener Schnitzel maison. Mais étrangement cela nous excite moins. Ce qui est sans doute stupide... 

Car c'est excellent, une bonne escalope. 


2 commentaires:

Gatsby a dit…

♫ Doorbells and sleigh bells and schnitzel with Arnold ♫

Nombreux, en effet, sont ceux qui apprécient l'escalope avec une belle salade.

soyons-suave a dit…

:)