vendredi 25 juillet 2025

Cary Grant était l'invité de la semaine...


Oui mais voilà, c'est fini. Il fume une dernière cigarette avec l'aimable participation de Randolph Scott, qui se devait d'être là et il s'en va vers de nouvelles aventures. C'était en tout cas formidable de l'avoir avec nous pendant cette semaine, d'autant qu'il a vraiment de très suaves amies.

Mais ne soyons pas tristes puisqu'il sera remplacé, non pas dès lundi puisque nous serons absents, mais dès mardi par... Ginette Leclerc ! Rien à voir donc. Inutile de vous dire qu'il va y avoir des sourires à pleines dents et des tenues légères. 

D'ici là nous vous embrassons. Soyez sages et évidemment, soyez suaves.




Nous sommes vendredi : sortons dîner !


 









Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Terminons cette nouvelle semaine consacrée aux Divas de la House par quelques contre-exemples qui ne manqueront pas de vous interpeler. Soyons cependant précis : nous sommes toujours en compagnie de divas et nous dansons toujours sur des rythmes house. Disons que nos trois invitées sont parvenues jusqu'à notre été un peu par accident, sans forcément en avoir été prévenues et même bien après leur disparition : magie du remix. 

Dusty Springfield, qui fit en son temps beaucoup danser, était décédée depuis presque 20 ans lorsque "Spooky", qui date de 1968, refit son apparition grâce au DJ peut-être néerlandais Quinten 909, qui lui offrit une seconde jeunesse. Enfin une troisième, et sans doute même plutôt une dixième, le titre ayant été copieusement pillé depuis son lancement. 

Pour Barbara St Clair, nous pouvons parler d'une résurrection puisque surnommée la reine de la soul de Buffalo, après une carrière plus que confidentielle (sauf évidemment à Buffalo), elle coulait une retraite paisible lorsque son unique petit succès, "Teacherman", de 1976, donna naissance au gigantesque tube "Epsilon Girls" tiré de l'album du DJ allemand Andy Hart en 2014. Et c'était très très bien. Sauf que Barbara venait juste de nous quitter lorsque la chose sortit dans les bacs. 


Nous ne savons pas exactement ce qui se passa dans la vie de Randy Crawford en 1998, Randy Crawford qui nous accompagne depuis que nous avons 12 ans, mais soudain, elle eut envie de faire danser. 

Ou plutôt, le DJ turc Mousse T, à peine sorti de son tube mondial "Horny" (Je suis excité), eut envie de faire bouger Randy et lui produisit un album entier, dont le bijou est la reprise du slow de Rose Royce "Wishing on a star", transformé en hymne pour club, ce qu'il va devenir assez vite. Randy avait été une des déesse de la soul, elle devenait à présent house. 

Un an plus tard, Mousse T approchera Tom Jones et parviendra à le convaincre d'enregistrer "Sex Bomb". Carton intersidéral. Entre "Horny" et "Sex bomb", la prière à une étoile de Randy était nettement moins débridée, dans les paroles en tout cas. Et un bonheur n'arrivant jamais seul, en plus du mix original, un remix club de 9mn fut mis à la disposition des foules en délire, dont nous avons fait partie. Vous savez quoi, voici les 2 : 

Que manger ce weekend ?




 

















Une grande salade à la mayo ? C'est pratique, c'est frais et c'est beau ! 

Le trio du jour.








































Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir un peu de rab'. Sinon franchement, c'est gâcher ! 

Soyons plastique !


 

Pendant ce temps, à la piscine...



Cary Grant est l'invité de la semaine...


 


















Et avec l'aimable participation colorisée de Carole Lombard et Marlene Dietrich, il vous dit bonjour ! 

jeudi 24 juillet 2025

Cary Grant est l'invité de la semaine...


 


















Et avec l'aimable participation de Grace Kelly et dans un style très collé-serré aujourd'hui, il vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes jeudi : sortons dîner !


 








Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Si la diva du jour de notre été House est bien née à Philadelphie, a été biberonnée au gospel et a très vite compris que la piste de danse était l'avenir de la chanteuse au début des années 90, elle n'est pas à proprement parler une diva de la House mais de la Dance. 

Nous espérons que vous ne verrez rien d'insultant dans cette petite restriction mais ce n'est pas exactement la même chose. Pourtant Lonnie Gordon a une grosse voix, elle affectionne particulièrement les "yeahyeahtyeahohoh" que nous entendons depuis presque trois semaines et elle a très peu enregistré de slow larmoyant. 

Cela tient donc au fait que, mariée à un britannique et donc expatriée en Angleterre à la fin des années 80, Lonnie va être signée par le label de Stock, Aitken et Waterman, le trio derrière Rick Astley, Kylie Minogue, les Bananarama et des dizaines d'autres chanteuses et chanteurs oubliés et qu'ils vont lui offrir un numéro 1, qui aurait tout autant pu être chanté par n'importe quel poulain de leur écurie. Cela fonctionne, cela fait danser, c'est un peu électronique mais c'est tout de même plus pop que techno. 


Après un nombre surprenant de tubes, qui n'obtiendront cependant jamais la popularité de "Happenin' all over again", Lonnie va décider de prendre sa carrière en main. Elle rejoindra le cirque du soleil à Las Vegas puis va fonder son propre label. L'aventure ne sera pas exceptionnelle mais cela lui permettra de continuer à enregistrer des disques jusqu'au début des années 2010. Depuis c'est moins folichons. Heureusement, on inventa un jour la gaypride.

Mais que fait donc Lonnie dans cet été et au beau milieu des ces renversantes divas ? Une réponse : "I'm gonna catch you". En 1991, souhaitant peut-être un break dans l'enchaînement des ritournelles un peu prévisibles de Stock, Aitken et Waterman, elle céda aux appels de producteurs italiens et enregistra ce gospel house sur lequel nous avons beaucoup, mais alors beaucoup dansé. 

Et nous sommes certains que nous ne sommes pas les seuls. 

C'est l'été : assommons un mammouth !

Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolithique !

Le trio du jour.




 












Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous offrir de quoi finir le mois sans difficulté. 

Pendant ce temps, à la piscine...


 

Soyons plastique !