jeudi 21 août 2025

Yvonne de Carlo est l'invitée de la semaine...


Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes jeudi : sortons dîner !




 

















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Voilà bien longtemps que nous n'avons pas évoqué cette épineuse question mais il est évident que si quelqu'un nous demandait la liste des disques à emporter sur une île déserte, un album de King Britt figurerait forcément dans nos bagages, tout en précisant que nous n'avons aucune aspiration à un exil insulaire... Les Maldives peut-être...

Anyway, originaire de Philadelphie, producteur, compositeur, dj, King Britt apparut au début des années 90 lorsqu'il était parfois compliqué de différencier l'acid jazz de la NuSoul de la House. Peu importe, ou peut importe, comme le dirait notre moitié qu'une liaison imaginaire n'a jamais effrayé, ce fut, avec King, l'amour à la première écoute et nous passâmes, ensemble, de merveilleuses années 90.  


Que ce soit sous son pseudonyme, ou son alias Sylk 130, King Britt nous fit découvrir qu'on pouvait aimer de la même façon, mais pour des raisons différentes, un original et son remix, et qu'il y a toujours quelque part un dj pour nous sauver la vie. 

Toujours actif, avouons que si nous nous sommes un peu perdus de vue à l'orée des années 2000, nous revenons régulièrement vers monsieur Britt, avec lequel nous ne sommes jamais à l'abri d'être passé à côté de quelque chose, tant il a produit ou remixé. 

Il y a seulement quelques mois, nous avons découvert ainsi une collaboration avec Lizz Fields datant de 2005 et qui nous évoque mystérieusement Sergio Mendes. Pourtant en 2005, nous étions là et à l'affut. Et Liz Fields était déjà l'une de nos amies. Parfois la vie vous échappe. Mais parfois on peut aussi parvenir à la rattraper :) Alors dansons ! 

C'est l'été : assommons un mammouth !


 


















Et n'oublions pas que ce n'était pas tous les jours facile au néolithique !

Le trio du jour.




 


















Parce qu'à trois, c'est aussi bien qu'à deux, sinon mieux, Soyons-Suave est heureux de vous prouver que le désert seyait à Yvonne. 

Soyons plastique !


 

Pendant ce temps, à la piscine...


 

Yvonne de Carlo est l'invitée de la semaine...


 


















Et elle vous dit bonjour ! 

mercredi 20 août 2025

Yvonne de Carlo est l'invitée de la semaine...


Et elle vous dit bonsoir. Et à demain. 

Nous sommes mercredi : sortons dîner !


 


















Et si en plus le restaurant fait hôtel, soyons fous : restons dormir ! 

Et maintenant dansons !


Nous sommes toujours sidérés par la créativité (certains parleront au contraire de manque d'originalité mais vous connaissez tous le problème du verre à moitié vide ou bien à moitié plein) de certains groupes de House, ou plus généralement de musique électronique, capables de saisir au vol dans une obscure chanson une phrase, un accord, un gimmick et en retravaillant la chose, d'en faire un tube imparable. 

L'année dernière encore, le duo britannique Disclosure s'emparait du refrain de "Dance on" d'Ennio Morricone, sympathique disco composé pour la bande originale de "La Fille", drame italien de 1978 dans lequel Marcello Mastroianni tombait amoureux de Nastassja Kinski avant de se demander si elle n'était pas éventuellement sa fille (!). 

"Dance on" n'était que la 5e plage de la face A de la bande originale. Ce ne fut jamais un tube et la chanson trouva rapidement sa place dans les compilations "Obscurs hits des années 70" quand ce n'était pas "Fordidden disco songs". Alors que franchement, on ne peut, une fois encore, qu'applaudir Ennio. 


Pour revenir aux deux frères Lawrence qui composent Disclosure, depuis leur apparition dans le monde musical en 2012, leur CV ressemble à une sorte de Who's Who de première catégorie. Compositeurs poussés vers l'électronique mais avec un certain goût pour la chanson (dans son format en tout cas), ils font constamment appel à des chanteurs puisqu'ils apprécient la musique mais aussi les paroles. 

Accrochons-nous à nos écouteurs : Sam Smith, Lorde, Fatoumata Diawara (bien avant M), London Grammar, notre amie Jessie Ware, Gregory Porter, c'est à se demander qui n'a pas collaboré avec le duo. En 2020, en l'invitant à revisiter l'un de leurs premiers tubes, ils transformèrent même Mary J Blige en diva House. Ce qui manquait à nos 3 semaines consacrées au sujet, non ? 

C'est mercredi : sortons les ficelles !


 


















Et cette semaine, notre ami le string ne comprend pas pourquoi on le surnomme "La Moule", surtout lorsqu'il est surpris à contempler l'horizon, accroché à un rocher. 

Le trio du jour !





















Et aujourd'hui, Soyons-Suave est heureux de vous offrir trois photos dédicacées. 
 

Soyons plastique !





Pendant ce temps, à la piscine...