jeudi 8 juillet 2021

Et maintenant dansons !


Une nouvelle fois, nous allons pouvoir vérifier aujourd'hui ce que nous écrivons chaque année, à savoir que le véritable succès d'une chanson, avant 1980, bien entendu, se calcule bien plus au nombre de versions instrumentales enregistrées qu'au nombre réel de 45 tours vendus. Souvenons d'un temps où un hit, même modéré, était aussitôt repris par d'innombrables orchestres de danse, dont les noms sont aujourd'hui oubliés à jamais. Enfin presque. 

Jazzman, compositeur, chef d'orchestre et créateur de la marque de consoles et amplificateurs Freevox (nous acceptons plus de renseignements sur le sujet qui nous échappe un peu), Gérard Poncet et son orchestre évolua, et ceci est précisé sans méchanceté aucune, dans une sorte de catégorie bis tout en étant extraordinairement actif. Il y eut Raymond Lefebvre et Dalida, Franck Pourcel et Lucienne Boyer, Paul Mauriat et Mireille Mathieu. Il y eut aussi Gérard Poncet et des tas de gens certainement formidables.




































































En 1961, Gérard enregistrait donc forcément le succès de l'année, en nous permettant de le placer enfin dans une catégorie définie : le slow moderato. 

Le second d'une longue liste de chefs d'orchestre se tournant également vers "Nous, les amoureux" a sans doute moins besoin d'une présentation. La moustache, certainement. 






















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