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Nous sommes absolument navrés d'avoir à le dire mais il n'y aucun moyen suave, répertorié à ce jour, permettant de mettre fin à une obsession passagère. Il faut être tranchant, violent, définitif. Charles Farrell restera dans nos coeurs mais il n'est pas possible de continuer ainsi. Alors voilà : les années 30 ont passé, il a vieilli, il a changé et il est mort.
C'est dur !
Sa moustache de vieux gentleman est pourtant suave.
RépondreSupprimerPour l'oublier, il faut penser à quelqu'un d'autre de plus suave... Errol Flynn, par exemple
RépondreSupprimerhttp://www.flynncentenarycelebration.com.au/
@Symphazium : certes, c'est exact, nous essayons mais sans trop de succès.
RépondreSupprimer@Josée : Mais quitte-t-on une moustache pour une autre moustache ?